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Analysis of job stress in workers employed by three public organizations in Serbia
Objectives: The present study analyzes job stress in terms of education, age and the presence of cardiovascular and endocrine/metabolic diseases. Material and Methods: A total of 411 workers employed by three public organizations completed the Job Content Questionnaire to classify their jobs based on the job strain model. Data about health condition, education and habits was obtained by the use of medical examinations and an interview. Results: The analysis of the completed Job Content Questionnaires indicates that workers with high education have significantly higher decision latitude (DL) than low-educated workers (one-way ANOVA, p < 0.0001). DL was also different between age groups (one-way ANOVA, p < 0.0001) - the highest DL values were observed in the oldest group, while the lowest DL mean was found in the youngest group. Psychological job demands (PJD) and social support (SS) were not significantly different between educational and age groups. The frequency of job stress categories was significantly different between low and highly-educated workers (χ2 test, df = 3, p < 0.0001) and also between different age groups (χ2 test, df = 6, p < 0.0001). The majority of highly-educated men were exposed to "active" jobs (high PJD and high DL). Most frequently, men older than 45 years experienced jobs with high DL ("active" and "low strain"), men aged 35 to 45 years were exposed to jobs with high PJD ("high strain" and "active") while the majority of men younger than 35 years were exposed to jobs with low DL ("high strain" and "passive"). No association between cardiovascular and endocrine/metabolic disorders and different job stress categories was observed. Conclusion: "High strain" and "passive" jobs were most frequently identified among low-educated and young men. Despite the absence of association between job stress and cardiovascular and endocrine/metabolic diseases, we recommend prevention of work stress, particularly in the case of low-educated workers and workers younger than 45 years exposed to unfavorable job stress categories
Aquaresponsabilité municipale. Rapport final de l’audit de la Ville de Québec sur l’eau
L'aquaresponsabilité est un concept qui englobe toutes les actions qu'une ville devrait entreprendre pour assurer une saine gestion de ses ressources en eau. Ces actions assureront la pérennité de la ressource tout en permettant un partage équitable et une utilisation rationnelle. Fondamentalement, l’aquaresponsabilité est une démarche de développement durable qui s’inscrit dans un contexte de gestion intégrée des ressources en eau.
Ce rapport présente les résultats de l’audit de la Ville de Québec sur l’aquaresponsabilité municipale. Comme en témoignent les différents constats que nous avons réalisés au cours de cet audit, on peut souligner dans un premier temps que la Ville de Québec : déploie des efforts importants pour réaliser une gestion rationnelle de l’eau sur son territoire; a réalisé des efforts financiers significatifs pour améliorer les infrastructures et ainsi réduire le déficit accumulé en ce qui a trait à leur détérioration; a le souci de respecter les normes et tous les règlements en vigueur tant pour l’eau potable que pour le traitement des eaux usées; met en place des mécanismes pour communiquer avec ses citoyens; et, finalement, a clairement indiqué sa vision concernant la gestion de l’eau.
La gestion de l’eau demeure une opération complexe pour une municipalité, qui requiert une continuité d’actions à court, moyen et long termes. La fourniture d’une eau potable de qualité, le traitement des eaux usées satisfaisant les normes de rejet, le transport des eaux potable, pluviales et usées, la protection des ressources et l’accessibilité à l’eau, entre autres, impliquent de nombreuses opérations et de nombreux intervenants.
Une ville aquaresponsable a le devoir d’exceller dans tous les aspects de la gestion de l’eau. Il va de soi qu’il s’agit là d’un objectif ultime vers lequel une ville doit tendre. On doit souligner, à la lumière des constats que nous avons réalisés au cours de cet audit, que la Ville de Québec doit, dans un processus d’amélioration continue, corriger certaines lacunes et perfectionner certaines de ses façons de faire. Nous avons donc choisi, parmi l’ensemble des recommandations que nous avons émises pour chacun des éléments de l’audit, celles qui à notre avis permettraient à la Ville à la fois de maintenir sa performance et de l’accroître le plus rapidement possible dans les domaines où il y a place à amélioration. Ces recommandations ne sont pas données par ordre de priorité. À notre avis, elles sont aussi importantes l’une que l’autre. Ainsi, la Ville doit :
1. Déployer les ressources et actions nécessaires pour effectuer des bilans de consommation en eau réalistes, en vue d’améliorer la connaissance des différents types de consommation, d’améliorer la connaissance des pertes réelles et de prioriser les interventions afin de faciliter une gestion durable.
2. Revoir la méthode d’estimation du coût de l’eau et la facturation pour les consommateurs industriels, commerciaux et institutionnels (ICI).
3. Évaluer de façon précise l’état des diverses infrastructures d’eau afin d’être en mesure de planifier les besoins financiers pour en assurer la pérennité.
4. Maintenir un niveau suffisant d’investissements liés à l’entretien, à la réhabilitation et au remplacement des infrastructures, en tenant compte de l’impact des changements climatiques.
5. Regrouper dans un seul système l’ensemble des données sur les infrastructures d’eau, de façon à faciliter l’accès, la mise à jour et l’exploitation des informations concernant l’état et la valeur des infrastructures, en vue d’une meilleure planification des budgets requis pour l’entretien, l’opération, la réhabilitation et le remplacement de ces infrastructures.
6. Poursuivre, dans l’esprit de la politique actuelle de la Ville, le déploiement des mécanismes d’information aux citoyens, particulièrement en ce qui concerne les économies d’eau potable, et améliorer le système de gestion des plaintes.
7. Définir un ensemble d’indicateurs sur la gestion de l’eau en lien avec la base de données mentionnée ci-haut, lesquels serviraient en temps réel de tableau de bord pour la gestion de l’eau.
8. Mettre en place une politique intégrée de gestion des risques, qui comprend l’identification des risques, les mesures de prévention et d’atténuation, et les protocoles d’intervention.
9. Prioriser la formation et la qualification des employés, compte tenu des nombreux départs à la retraite. La transmission du savoir et de l’expertise des anciens doit être assurée par un programme de transition adapté.
10. Mettre en place un contrôle de qualité pour vérifier et harmoniser les travaux réalisés par les Divisions des travaux publics des Arrondissements.
11. Poursuivre les projets d’amélioration dans tous les aspects de la gestion de la neige et de la glace (façons de faire, intégration des technologies, impacts environnementaux, etc.).
12. Accroître la contribution et la participation de la Ville dans la gestion intégrée de l’eau par bassin versant, afin de s’assurer que la planification de l'utilisation du territoire contribue à protéger la qualité des ressources en eau et des écosystèmes aquatiques
Patterns of smoking and its association with psychosocial work conditions among blue-collar and service employees of hospitality venues in Shenyang, PR China
Guidelines for the management of point-of care testing nonconformities according to the EN ISO 22870
A quantitative evaluation of human coordination interfaces for computer assisted surgery
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