195 research outputs found

    Effect of Three Diets on Growth and Survival Rates of African Catfish Heterobranchus bidorsalis Larvae

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    Investigations are underway in the Centre de Recherches Océanologiques d’Abidjan (Côte d’Ivoire) to find whether the catfish (Heterobranchus bidorsalis) could be an interesting aquaculture species. Within this framework a 28-day aquarium culture feeding trial was conducted to investigate the effects of three diets (Artemia salina nauplii, beef brain enriched with vitamins, and a compound food) on the growth and survival rates in 2-day post hatch H. bidorsalis. The feeding experiments started after the yolk sac of the larvae was absorbed (initial mean weight = 2.03±0.38 mg). Larvae fed Artemia nauplii had a higher growth rate (final mean weight = 708.60±411.61 mg] than those fed beef brain (381.81±118.88 mg) or compound food (102.72±48.09 mg). Conversely, the beef brain diet yielded a better survival rate (70.47±9.48%) than the Artemia nauplii (38.72±7.74%) or the compound diet (5.37±2.24%). Thus, beef brain can be used as a starter food for larval rearing of H. bidorsalis

    Etude de la fécondité du silure Africain Heterobranchus bidorsalis (Geoffroy Saint-Hilaire, 1840) en conditions d'élevage

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    Artificial Reproduction and Fecundity of the African Catfish Heterobranchus bidorsalis (Geoffroy Saint- Hilaire, 1840). Through the artificial reproduction of Heterobranchus bidorsalis, fecundity of females, characteristics of oocytes and larvae after hatching were determined. Mean absolute and relative fecundity were respectively 140,440 ± 82,168 oocytes and 47.30 ± 17.94 oocytes per g of body weight. Hormonal injection to females increased weight and diameter of oocytes. Fertilization and hatching rates were significantly correlated (r= 0.93) but were relatively weak. The mean value of larval length, weight and their yolk sac diameter were respectively 4.37 ± 0.20 mm; 1.42 ± 0.13 mg and 1.95 ± 0.14 mm

    Stratégie de reproduction du carangidae Trachinotus teraia cuvier, 1832 dans la lagune ebrié (Côte d’Ivoire)

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    La reproduction de Trachinotus teraia a été étudiée dans la lagune Ebrié au cours de campagnes mensuelles pendant deux années consécutives (février 2004 à janvier 2006). Cette étude se situe dans le cadre d’acquisition de connaissances sur la biologie de Trachinotus teraia en vue d’évaluer son potentiel aquacole. Au total, 1806 spécimens dont 739 mâles, 746 femelles et 321 juvéniles ont été capturés à l’aide de filets maillants (mailles : 10, 14, 20, 25, 30, 35, 40, 50, 80 et 100 mm) et examinés. En ce qui concerne les paramètres déterminés, le sex-ratioest 1 : 1. La taille de première maturité sexuelle (LF50) est atteinte à 199 mm et 212 mm respectivement chez les mâles et les femelles. Le plus petit individu mâle mature capturé mesure 154 mm (LF) et pèse 86,85 g tandis que la plus petite femelle mature capturée mesure 170 mm (LF) et pèse 118,24 g. Les variations mensuelles des indices gonadosomatique(IGS), hépato-somatique (IHS), du facteur de condition (K) et des stades de maturité indiquent deux périodes de reproduction. La longue période de ponte se situe de février à avril tandis que la courte période de ponteintervient de septembre à octobre. Les réserves hépatiques semblent être mobilisées pour assurer le coût énergique de la reproduction. La fécondité absolue varie entre 15 053 et 2 058 907 ovocytes pour des femelles de tailles comprise entre 260 et 582 mm. Les moyennes des diamètres ovocytaires de ces femelles sont deReproductive biology of Trachinotus teraia was studied in the Ebrié lagoon during two years (from February 2004 to January 2006) by monthly sampling using gill nets with stretched mesh sizes 10, 14, 20, 25, 30, 35, 40, 50, 80, and 100 mm). Basic biological information was collected to describe some aspects of reproductive biology of T. teraia for use in aquaculture programmes. A total of 1806 specimens were examined (739 males, 746 females and 321 juveniles. The sex ratio was 1:1. The size at first sexual maturity (LF50) is reached at 199 mm and 212 mm respectively for the males and females. The smallest mature male was 154 mm (LF) and weighed 86.85 g while in female, this maturity occurred at 170 mm and 118.24 g. The monthly variations of the gonado-somatic index (GSI) and hepato-somatic index (HSI), the condition factor (K) and maturation stages indicated two periods of reproduction. The long period and the short period were respectively from February to April and from September to October. The hepatic reserves seem to be mobilized to ensure the energetic cost of the reproduction. The absolute fecundity was ranged from 15 053 to 2 058 907 oocytes for females of 260 and 582 mm (FL). The averages of the oocytes diameters ranged between 449.53 ± 152.49 μm and 393.29±126,85 μm, respectively for the large and the short periods of reproduction.Mots clés : Carangidae, Trachinotus teraia, reproduction, sex-ratio, fécondité, Côte d’Ivoire.

    信号と雑音の相関性に基づく -地点及び多地点のノイズキャンセラの特性解析

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    取得学位:博士(工学),学位授与番号:博乙第117号,学位授与年月日:平成8年3月25日,学位授与年:199

    Etat des connaissances sur la pisciculture en Cote d'Ivoire

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    La pisciculture a été amorcée en Côte d’Ivoire en 1955. Cependant, la production de l’aquaculture demeure faible. Une enquête a été réalisée sur le profil socio-économique des promoteurs, l’activité piscicole et la production des fermes. Il ressort de cette enquête que la pisciculture en Côte d’Ivoire est pratiquée sur presque toute l’étendue du territoire ivoirien. La majorité des fermes (65,4 %) ont une superficie en eau exploitée inférieure à un hectare. La durée d’existence est inférieure à 10 ans pour 53,8 % des fermes. Les pisciculteurs sont majoritairement des agriculteurs (60,8 %), ivoiriens (87,4 %) de sexe masculin (94,0 %) âgés de plus de 40 ans (83,7 %). Les systèmes d’élevage les plus pratiqués sont le semi-intensif (51,8 %) et l’extensif (42,9 %). Le tilapia Oreochromis niloticus (96,68 % ) et l’hétérotis  Heterotis niloticus (56,81 %) sont les espèces de poissons les plus élevées. Les étangs de dérivation (93,69 %) et les étangs de barrages (47,84 %) sont les principales structures d’élevage. Les aliments utilisés seul ou en association sont les aliments commerciaux (27,57 %), produits par les pisciculteurs eux-mêmes (17,94 %), les sous-produits agroalimentaires (71,10 %) et les aliments non conventionnels (22,26 %). Le développement de la pisciculture en Côte d’Ivoire devrait passer par la promotion de la pisciculture intensive et semi-intensive auprès des salariés et des opérateurs économiques nationaux et internationaux.Mots clés : Pisciculture, pratique, région, production, Côte d’Ivoir

    Etude comparative de la commercialisation et la consommation du tilapia eleve en Cote d’ivoire et importe de la chine

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    La production aquacole en Afrique subsaharienne, en général, et en Côte d’Ivoire, en particulier, est faible, malgré de nombreuses années de pratique. En effet, la pisciculture ivoirienne ne contribue qu’à hauteur de 4,12 % de la production nationale. Une telle situation oblige le  gouvernement ivoirien a  importé de la Chine des poissons congelés, notamment le tilapia Oreochromis niloticus. Cette situation crée une compétition entre le tilapia élevé en Côte d’Ivoire et le tilapia importé de la Chine sur le marché ivoirien. La présente étude vise à comparer la commercialisation et la consommation du tilapia élevé en Côte d’Ivoire et du tilapia importé de Chine. Une enquête a été réalisée à l’aide d’un questionnaire auprès de 479 personnes dans les marchés locaux, les restaurants, les maquis et chez les consommateurs, de février 2017 à novembre 2018, dans les dix communes d’Abidjan. Les résultats ont montré que 74,95 % des détaillants sur les marchés locaux vendent le tilapia en provenance de la Chine. Seulement 25,05 % de détaillants enquêtés vendent du tilapia élevé et/ou pêché en Côte d’Ivoire. Concernant les restaurants et les maquis, l’enquête a montré que 73,77 %de ces derniers cuisinent du tilapia importé de la Chine. Les autres 26,23 % de restaurants et maquis utilisent le tilapia produits en Côte d’Ivoire. En ce qui concerne les consommateurs, l’enquête a montré que 83 % des ménages consomment le tilapia d’élevage ou pêché en Côte d’Ivoire. Seulement 17 % des ménages disent avoir consommé régulièrement du tilapia importé de Chine. L’étude a révélé que le tilapia importé de la Chine est rentré dans les habitudes culinaires des ménages ivoiriens. Il est commercialisé sur les marchés locaux et servi en consommation dans les restaurants et les maquis des communes d’Abidjan.Mots clés : Compétition, Tilapia élevé, Tilapia importé, Côte d’Ivoire, Chine. English title: Comparative study of the marketing and consumption of high tilapia in Côte d’Ivoire and importy of ChinaAquaculture production in sub-Saharan Africa, in general, and in Côte d’Ivoire, in particular, is low, despite many years of practice. In fact, Ivorian fish farming contributes only 4.12% of national production. This situation forces the Ivorian government to import frozen fish from China, including the tilapia Oreochromis niloticus. This situation creates competition between tilapia grown in Côte d’Ivoire and tilapia imported from China into the Ivorian market. The present study aims to compare the marketing and consumption of high tilapia in Ivory Coast and tilapia imported from China. A survey was conducted using a questionnaire with 479 people in local markets, restaurants, maquis and consumers, from February 2017 to November 2018, in the ten municipalities of Abidjan. The results showed that 74.95% of retailers in local markets sell tilapia from China. Only 25.05% of retailers surveyed sell tilapia high and / or caught in Côte d’Ivoire. Regarding restaurants and maquis, the survey showed that 73.77% of them cook tilapia imported from China. The remaining 26.23% of restaurants and maquis use tilapia products in Côte d’Ivoire. With regard to consumers, the survey showed that 83% of households consume farmed tilapia or caught in Côte d’Ivoire. Only 17% of households say they have regularly consumed tilapia imported from China. The study revealed that tilapia imported from China has returned to the culinary habits of Ivorian households. It is marketed in local markets and served in consumption in restaurants and scrub in the municipalities of Abidjan.Keywords: Competition, High Tilapia, Imported Tilapia, Ivory Coast, China

    Contamination aux metaux lourds de la matrice eau-sediment et muscle du tilapia Oreochromis niloticus de trois fermes piscicoles en Cote d’Ivoire

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    La présente étude a pour objectif de déterminer le niveau de contamination du mercure, du cadmium, de l’arsenic et du plomb dans l’eau, les sédiments et le muscle du tilapia Oreochromis niloticus dans trois fermes piscicoles en Côte d’Ivoire. L’eau, les sédiments et les spécimens de poisson ont été prélevés par mois de février à juillet 2017 en cage dans la lagune Aghien (ST1), en étang continental (ST2) à Agboville et en cage dans le barrage de Taabo (ST3). Les paramètres physico-chimiques mesurés ont montré qu’à l’exception de la conductivité, des matières en suspension et des solides totaux dissous, aucune variation saisonnière n’a été observée. En revanche, les valeurs moyennes des paramètres physico-chimiques calculées sont significativement différentes entre les fermes. Les valeurs de chaque métal mesurées dans la matrice eau-sédiment-muscle varient significativement entre les deux saisons dans toutes les fermes. Cependant, aucune différence entre les fermes échantillonnées n’a été observée. Les concentrations des métaux lourds mesurées dans le muscle sont inférieures aux valeurs seuils établies par l’OMS à l’exception de l’As. Cette contamination élevée en arsenic pourrait porter atteinte à l’intégrité biologique et à la santé humaine.Mots clés : Métaux lourds, Accumulation, Oreochromis niloticus, Ferme piscicole ivoirienn

    Survie et croissance des juvéniles hybrides issus du croisement intergénérique Oreochromis niloticus (linnaeus, 1758) et Sarotherodon melanotheron (rüppel, 1852) en milieu lagunaire

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    Cette étude a évalué les performances zootechniques des hybrides F2 issus du croisement intergénérique entre Oreochromis niloticus et Sarotherodon melanotheron et comparé à celles des parents en élevage en milieu lagunaire. Des essais de pré grossissement en élevage monosexe mâle et femelle ont été réalisés pendant 112 jours en bacs en béton (4 m3) avec des juvéniles (9±1 g) à la densité de 11,3 poissons/m3. Les hybrides ♀O. niloticus x ♂S. melanotheron (OS) et ♀S. melanotheron x ♂O. niloticus (SO) et le parent S. melanotheron ont eu des taux de survie de 100 ± 0,00% contre 88,05 ± 0,25% (femelles) et 89,70 ± 2,07% (mâles) pour O. niloticus. Les paramètres de croissance sont cependant plus élevés chez O. niloticus lorsque les sexes sont comparés. Les femelles des deux groupes d’hybrides ont enregistré les plus faibles valeurs de croissance. En revanche, chez les mâles, la croissance des deux groupes d’hybrides a été significativement plus élevée (P<0,05) que celle du parent S. melanotheron. Par ailleurs, les hybrides mâles OS ont eu de meilleures performances de croissance par rapport aux hybrides mâles SO. L’hybride mâle ♀O. niloticus x ♂S. melanotheron serait donc un meilleur candidat pour l’aquaculture lagunaire.Mots clés : hybridation, poisson, tilapia, élevage, eau saumâtre
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