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    Thermodynamics of SU(N) Yang-Mills theories in 2+1 dimensions II - The deconfined phase

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    We present a non-perturbative study of the equation of state in the deconfined phase of Yang-Mills theories in D=2+1 dimensions. We introduce a holographic model, based on the improved holographic QCD model, from which we derive a non-trivial relation between the order of the deconfinement phase transition and the behavior of the trace of the energy-momentum tensor as a function of the temperature T. We compare the theoretical predictions of this holographic model with a new set of high-precision numerical results from lattice simulations of SU(N) theories with N=2, 3, 4, 5 and 6 colors. The latter reveal that, similarly to the D=3+1 case, the bulk equilibrium thermodynamic quantities (pressure, trace of the energy-momentum tensor, energy density and entropy density) exhibit nearly perfect proportionality to the number of gluons, and can be successfully compared with the holographic predictions in a broad range of temperatures. Finally, we also show that, again similarly to the D=3+1 case, the trace of the energy-momentum tensor appears to be proportional to T^2 in a wide temperature range, starting from approximately 1.2 T_c, where T_c denotes the critical deconfinement temperature.Comment: 2+36 pages, 10 figures; v2: comments added, curves showing the holographic predictions included in the plots of the pressure and energy and entropy densities, typos corrected: version published in JHE

    La question du juste soin dans la prise en charge bucco-dentaire des patients présentant des limitations durables de leurs capacités de décision : des tensions éthiques aux perspectives d’évolution

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    In France, under the impulse of the Law of 4 March 2002 on patients' rights and the quality of the health system, deep changes have been undertaken in the care relationship for a more active participation of patients. This imposes a repositioning of each individual involved in the relationship. The law specifies that the involvement of patients in decision-making should be sought even when they present limitations of their decision-making abilities. The affirmation of these rights is consistent with the recognition of patients' decision-making abilities and the development of a shared decision. Nevertheless, when the limits of these abilities are reached, it leads to practical difficulties in the consent of patients and/or legal guardians and caregivers. It is now recognized that the oral health needs of patients with enduring limitations of their decision-making abilities are not satisfied, and are increased compared to those of the general population. These health inequities result from many barriers in access to care and prevention, but also during care, and yet the principle of equal access to care for all citizens is recognized as a national legal principle. This situation constitutes a loss of opportunity for these people - especially as, beyond its local impacts, impaired oral health may have impacts on their overall health and particularly on their quality of life and social integration. These limitations, which accumulate day after day, may lead to symptomatic therapies being favoured without concerted thinking on a global functional rehabilitation. Yet it is recognized that the fight against health inequalities requires the development of comprehensive overall health care. This means that, relying on the participation of the different stakeholders including patients in decision-making, the barriers separating areas concerning health, social and educational care have to be abolished for a continuum by priority. The aim of this work is to explore, by qualitative and participatory research, the reasons for the limitations of the therapeutic response from each member of the care relationship - patients, caregivers and dentists. Once these reasons have been better understood, the different representations are considered face to face and the ethical tensions that emerge are discussed. Then, ways in which the management of oral health can be improved and, beyond this evolution, ways in which society could change are proposed with the ultimate hope of reducing health inequalities.En France, sous l'impulsion de la loi du 4 mars 2002 relative aux droits des malades et à la qualité du système de santé, des modifications profondes de la relation de soin en faveur d'une participation plus active des patients ont été engagées imposant un repositionnement de chaque acteur de cette relation. La loi précise que l'implication des patients dans les processus de prise de décision doit être recherchée y compris lorsque les patients présentent des limitations de leurs capacités de décision. L'affirmation de ces droits va de pair avec la reconnaissance de capacités de décision aux patients et le développement d'une décision médicale partagée. Elle entraîne néanmoins, lorsque ces capacités sont atteintes, des difficultés concrètes dans le recueil du consentement du patient et/ou de ses représentants légaux et aidants. Il est aujourd'hui reconnu que les besoins en santé orale des patients présentant des limitations durables de leurs capacités de décision sont non satisfaits et augmentés par rapport à la population générale. Ces inégalités de santé résultent de nombreux obstacles dans l'accès aux soins et à la prévention, mais aussi dans la prise en charge, et alors que le principe d'égal accès au soin de tous les citoyens est reconnu comme un fondement juridique national. Cette situation constitue une perte de chance pour ces personnes d'autant plus qu'une santé bucco-dentaire dégradée peut avoir, au-delà des conséquences locales, des répercussions sur la santé générale et plus particulièrement sur la qualité de vie et l'intégration sociale. Ces difficultés cumulées quotidiennement conduiraient donc à privilégier des thérapeutiques symptomatiques sans réflexion de l'ensemble des acteurs autour d'une réhabilitation fonctionnelle globale. Pourtant, il est reconnu que la lutte contre les inégalités de santé passe par le développement d'une prise en charge globale de la santé. S'appuyant sur une participation des différents acteurs et notamment des patients aux prises de décision, celle-ci prévoit un décloisonnement entre les domaines relevant du sanitaire, du social et de l'éducatif pour un continuum par priorité. Ce travail, par une recherche qualitative et participative, a pour objectif d'explorer les raisons des limitations de réponse thérapeutique auprès de chaque acteur de la relation de soin - les patients, les aidants et les chirurgiens-dentistes. Une fois celles-ci mieux comprises, les différentes représentations sont confrontées et les tensions éthiques qui s'y dégagent discutées. Puis, des pistes d'évolution de la prise en charge de la santé orale, et au-delà, des évolutions sociétales sont proposées pour espérer à terme réduire les inégalités de santé

    Fair and appropriate oral health care for patients with enduring limitations of their decision-making abilities : from ethical tensions to outlook

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    En France, sous l'impulsion de la loi du 4 mars 2002 relative aux droits des malades et à la qualité du système de santé, des modifications profondes de la relation de soin en faveur d'une participation plus active des patients ont été engagées imposant un repositionnement de chaque acteur de cette relation. La loi précise que l'implication des patients dans les processus de prise de décision doit être recherchée y compris lorsque les patients présentent des limitations de leurs capacités de décision. L'affirmation de ces droits va de pair avec la reconnaissance de capacités de décision aux patients et le développement d'une décision médicale partagée. Elle entraîne néanmoins, lorsque ces capacités sont atteintes, des difficultés concrètes dans le recueil du consentement du patient et/ou de ses représentants légaux et aidants. Il est aujourd'hui reconnu que les besoins en santé orale des patients présentant des limitations durables de leurs capacités de décision sont non satisfaits et augmentés par rapport à la population générale. Ces inégalités de santé résultent de nombreux obstacles dans l'accès aux soins et à la prévention, mais aussi dans la prise en charge, et alors que le principe d'égal accès au soin de tous les citoyens est reconnu comme un fondement juridique national. Cette situation constitue une perte de chance pour ces personnes d'autant plus qu'une santé bucco-dentaire dégradée peut avoir, au-delà des conséquences locales, des répercussions sur la santé générale et plus particulièrement sur la qualité de vie et l'intégration sociale. Ces difficultés cumulées quotidiennement conduiraient donc à privilégier des thérapeutiques symptomatiques sans réflexion de l'ensemble des acteurs autour d'une réhabilitation fonctionnelle globale. Pourtant, il est reconnu que la lutte contre les inégalités de santé passe par le développement d'une prise en charge globale de la santé. S'appuyant sur une participation des différents acteurs et notamment des patients aux prises de décision, celle-ci prévoit un décloisonnement entre les domaines relevant du sanitaire, du social et de l'éducatif pour un continuum par priorité. Ce travail, par une recherche qualitative et participative, a pour objectif d'explorer les raisons des limitations de réponse thérapeutique auprès de chaque acteur de la relation de soin - les patients, les aidants et les chirurgiens-dentistes. Une fois celles-ci mieux comprises, les différentes représentations sont confrontées et les tensions éthiques qui s'y dégagent discutées. Puis, des pistes d'évolution de la prise en charge de la santé orale, et au-delà, des évolutions sociétales sont proposées pour espérer à terme réduire les inégalités de santé.In France, under the impulse of the Law of 4 March 2002 on patients' rights and the quality of the health system, deep changes have been undertaken in the care relationship for a more active participation of patients. This imposes a repositioning of each individual involved in the relationship. The law specifies that the involvement of patients in decision-making should be sought even when they present limitations of their decision-making abilities. The affirmation of these rights is consistent with the recognition of patients' decision-making abilities and the development of a shared decision. Nevertheless, when the limits of these abilities are reached, it leads to practical difficulties in the consent of patients and/or legal guardians and caregivers. It is now recognized that the oral health needs of patients with enduring limitations of their decision-making abilities are not satisfied, and are increased compared to those of the general population. These health inequities result from many barriers in access to care and prevention, but also during care, and yet the principle of equal access to care for all citizens is recognized as a national legal principle. This situation constitutes a loss of opportunity for these people - especially as, beyond its local impacts, impaired oral health may have impacts on their overall health and particularly on their quality of life and social integration. These limitations, which accumulate day after day, may lead to symptomatic therapies being favoured without concerted thinking on a global functional rehabilitation. Yet it is recognized that the fight against health inequalities requires the development of comprehensive overall health care. This means that, relying on the participation of the different stakeholders including patients in decision-making, the barriers separating areas concerning health, social and educational care have to be abolished for a continuum by priority. The aim of this work is to explore, by qualitative and participatory research, the reasons for the limitations of the therapeutic response from each member of the care relationship - patients, caregivers and dentists. Once these reasons have been better understood, the different representations are considered face to face and the ethical tensions that emerge are discussed. Then, ways in which the management of oral health can be improved and, beyond this evolution, ways in which society could change are proposed with the ultimate hope of reducing health inequalities

    soft skills in dental education

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    Revue systématique sur les connaissances des patients diabétiques en matière de relation diabète/pathologies bucco-dentaires et création d'un questionnaire

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    Cette thèse établit un bilan des connaissances qu ont les personnes diabétiques au sujet des relations entre la maladie dont elles souffrent et leur santé bucco-dentaire. Le diabète, maladie chronique qui touche 2 millions de personnes en France et engendre des complications associées aux troubles du métabolisme de la glycémie : notamment la maladie parodontale, reconnue aujourd hui comme la sixième complication du diabète. Les rapports à double sens entre cette maladie (ainsi que les autres pathologies buccales) sont bien connus des chirurgiens-dentistes et considérées comme très importants, mais qu en est-il du point de vue du patient atteint de diabète ? C est une des questions auxquelles tente de répondre ce travail à travers une recherche menée dans la littérature médicale internationale. Il s avère que le niveau de conscience de ces personnes est bien en deçà de ce à quoi on pourrait s attendre étant donné la sévérité des atteintes parodontales dues au diabète ainsi que la quantité d informations délivrées aux diabétiques. Ce qui est regrettable. Autre constat qui a été fait au cours de ces recherches : Très peu d études françaises ont été publiées à ce sujet, ce qui a amené l idée de créer un questionnaire destiné aux personnes diabétiques afin d effectuer un recueil de données le plus complet possible sur cette thématique. Questionnaire qui est une prémisse à la parution d une étude sur les comportements et connaissances des diabétiques français en matière de santé bucco-dentaire ; ainsi qu à la mise en place d un programme d éducation adapté aux réels besoins de ces personnes.LILLE2-UFR Odontologie (593502202) / SudocSudocFranceF

    Parodontite et maladies cardiovasculaires (relation d'association et méta-analyse des études observationnelles)

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    Ce travail concerne les relations d'association entre parodontite et maladies cardiovasculaires.Beaucoup de recherches, fondamentale et épidémiologique, ont été entreprises afin de statuer sur la nature et la force de ces liens mais leurs résultats restent hétérogènes. C'est pourquoi après avoir brièvement rappelé les phénomènes survenant au cours de l'athérosclérose, et développé les différents types d'association possibles nous avons conduit une méta-analyse des études observationnelles entre parodontite et évènements cardiovasculaires. Celle-ci tend à mettre en évidence une association significative entre ces deux pathologies tant en regroupant des études transversales, cas témoins que des études de cohorte.TOULOUSE3-BU Santé-Centrale (315552105) / SudocPARIS-BIUM (751062103) / SudocSudocFranceF

    L'handicap auditif est-il un frein à l'accès aux soins buccodentaires?

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    La surdité est définie par la perte totale ou partielle du sens de l ouïe. L organe de l ouïe est constitué d un appareil de transmission et de réception. Suivant le lieu de l atteinte, différents types de surdité peuvent exister. Aujourd hui les médecins sont encore dans l impossibilité de guérir la surdité mais ils peuvent y pallier grâce à diverses aides auditives. La surdité est non seulement un état pathologique mais aussi un état social avec lequel l individu doit vivre. De part le monde environnant, créé et adapté pour les entendants, cet handicap auditif devient un handicap social à part entière. L accès à la santé, et en particulier aux soins buccodentaires sont entravés par les difficultés de communication. A travers une enquête d observation qui a consisté en l analyse de 50 questionnaires, nous avons voulu appréhender les obstacles ressentis face à l accès aux soins buccodentaires rencontrés par les personnes sourdes. A terme, le but de cet état des lieux serait de pouvoir proposer des stratégies simples et adaptées afin de résoudre ces obstacles et ainsi améliorer la santé buccodentaire de ces personnes.LILLE2-UFR Odontologie (593502202) / SudocSudocFranceF
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