26 research outputs found

    Le médecin remplaçant (qui est-il ? que fait-il ?)

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    ROUEN-BU Médecine-Pharmacie (765402102) / SudocPARIS-BIUM (751062103) / SudocSudocFranceF

    Effet de l'âge sur les modifications anatomiques des voies aériennes supérieures induites par l'extension de la tête chez l'enfant (étude en imagerie par résonance magnétique chez 155 patients)

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    AIX-MARSEILLE2-BU Méd/Odontol. (130552103) / SudocPARIS-Bib. Serv.Santé Armées (751055204) / SudocSudocFranceF

    Les médecins généralistes face à la mort subite (évaluation de leurs connaissances dans la prise en charge des arrêts cardio-respiratoires conformément aux recommandations 2005 de L'ILCOR)

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    Les médecins généralistes ont-ils assimilé les changements intervenus fin 2005 dans la prise en charge des arrêts cardiorespiratoires? Une enquête épidémiologique descriptive transversale fut réalisée auprès de 100 médecins généralistes libéraux de Haute-Garonne en novembre 2007.Un questionnaire auto administré s'intéressait à leurs connaissances et leurs pratiques de la réanimation cardio-pulmonaire.Une note sanctionnait les questions se référant aux changements intervenus. Avec une moyenne de 3,19/20, ils n'étaient pas en mesure de réaliser une réanimation cardio-pulmonaire conformément à ces nouvelles recommandations.59% d'entre eux n'en avaient même pas eu connaissance.7% connaissaient le concept de la chaîne de survie. Aucun ne possédait de défibrillateur automatisé externe. Une prise de conscience par les médecins généralistes de leur rôle important dans la lutte contre la mort subite est indispensable et doit être encouragée par des campagnes de sensibilisation et d'information.TOULOUSE3-BU Santé-Centrale (315552105) / SudocPARIS-BIUM (751062103) / SudocSudocFranceF

    Implication des pompes à efflux dans les mécanismes de résistance aux antibiotiques

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    REIMS-BU Santé (514542104) / SudocSudocFranceF

    Précarité et recours aux soins (le rôle du médecin généraliste)

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    Une des principales préoccupations actuelles est d'accéder à une meilleure justice sociale. Pour cela, de nombreuses mesures d'aide sociale sont mises en place pour aider la population. Mais il persiste, dans le domaine de la santé, de fortes inégalités sociales. Ce travail, à travers l'étude d'une population de 280 patients choisis de manière aléatoire, montre concrètement l'importance du statut socio-économique dans la consultation de médecine générale. En effet, la précarité du patient influence l'état de santé, le motif de consultation, les pratiques préventives et les prescriptions. La connaissance de ces inégalités de santé permettra au médecin d'adapter sa prise en charge, en particulier préventive, au public démuni.ROUEN-BU Médecine-Pharmacie (765402102) / SudocPARIS-BIUM (751062103) / SudocSudocFranceF

    Les effets des neuroleptiques sur la cognition des schizophrènes

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    La schizophrénie est une maladie psychiatrique qui touche environ 1% de la population. Depuis Kraepelin, les systèmes de classification des malades se succèdent devant la complexité de la symptomatologie de la maladie. On retient aujourd'hui : les symptômes positifs, négatifs, les troubles cognitifs et les épisodes dépressifs. Les neuroleptiques de première génération (halopéridol, chlopromazine...), découverts en 1952, ont permis aux schizophrènes de sortir des hôpitaux psychiatriques où ils étaient confinés, de part l'amélioration spéctaculaire des symptômes positifs. Cependant, 50% des patients ont une amélioration insuffisante ne permettant pas le retour à une vie socio-professionnelle, les effets indésirables, notamment neurologiques, sont fréquents et les neuroleptiques typiques ne semblent pas améliorer les troubles cognitifs. Or, les troubles cognitifs (en particulier troubles de l'attention, de la mémoire et des fonctions exécutives) sont un handicap majeur dans la réinsertion socio-professionnelle et, de ce fait, la nécessité de développer d'autres substances mieux tolérées et plus efficaces s'est rapidement imposée. Alors que les neuroleptiques typiques ont une forte affinité pour le récepteur dopaminergique D2, les neuroleptiques atypiques (clozapine, olanzapine, rispéridone, ziprasidone, quétiapine, aripiprazole, amisulpride...) se caractérisent par une affinité plus faible pour le récepteur D2, par une forte affinité pour les récepteurs sérotoninergiques 5TH2a, par une forte affinité pour le récepteur D3 ou encore par une dissociation rapide du récepteur D2 selon les molécules considérées. Il est difficile de répondre à la question de l'amélioration des troubles cognitifs chez le schizophrène par les neuroleptiques typiques ou atypiques. Un des problèmes principaux rencontrés lors de la comparaison des études entre elles est celui de leur inhomogénéité (types d'études différents (randomisée, en double aveugle, cas-témoin...), durée de l'étude, nombre depatients) et les biais d'analyses (statut cognitif de base du patient avant l'étude, traitement concomitants, dose des médicaments...). Ainsi, l'efficacité des neuroleptiques atypiques, et surtout leur tolérance, semblent meilleures, comparativement aux antipsychotiques de première génération (toutefois, certaines études montrent que si la dose du neuroleptique typique est minimale, l'efficacité est identique). Il est beaucoup plus difficile de conclure en ce qui concerne l'amélioration des troubles cognitifs. les études sont nombreuses, se contredisent et souvent incomplètes même si une certaine spécificité dans l'amélioration de certains troubles cognitifs semble se dessiner avec les neuroleptiques atypiques.ROUEN-BU Médecine-Pharmacie (765402102) / SudocPARIS-BIUM (751062103) / SudocSudocFranceF

    L'Hygiène en médecine ambulatoire (résultats d'une enquête réalisée auprès de 226 médecins généralistes de Haute-Normandie)

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    La transmission d'infections liées aux soins en médecine ambulatoire est-elle une réalité? Quels sont les moyens à notre disposition pour la prévention de ce risque infectieux ? Qu'en est-il en région Haute-Normandie ? La prévention de la transmission iatrogène de germes au cabinet médical commence par un respect des règles de base d'hygiène, c'est-à-dire un bon lavage des mains, une stérilisation correcte et une utilisation adéquate des produits à notre disposition en terme d'hygiène. Un questionnaire sur l'hygiène a été réalisé auprès de 426 médecins généralistes de Haute-Normandie. Sur les 53 % de répondants, les pratiques d'hygiène semblent bien respectées hormis une utilisation non adéquate des produits antiseptiques et désinfectants ainsi qu'une décontamination trop prolongée. L'hygiène est un problème de santé publique. Il est regrettable de ne retrouver aucune étude microbiologique prouvant la iatrogénicité des pratiques en médecine générale. Mais l'hygiène des médecins généralistes n'est-elle pas suffisante pour les germes rencontrés en cabinet médical.ROUEN-BU Médecine-Pharmacie (765402102) / SudocPARIS-BIUM (751062103) / SudocSudocFranceF

    Evaluation de la satisfaction des médecins généralistes travaillant avec un réseau de soins palliatifs à domicile (A propos du réseau )

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    Les soins palliatifs existent en France depuis une trentaine d'année. Il sont devenus il y a vingt ans une priorité affichée de santé publique. La population attend d'eux soulagement des souffrances, accompagnement et respect de leur choix de lieu de fin de vie et et de décès. Les réseaux de soins palliatifs sont des structures recentes dont I objectif, en plus d'un bénéfice économique, est de répondre à ces attentes. Le but de l'étude est de recueillir l'opinion des médecins généralistes sur leur collaboration avec un réseau de soins palliatifs à domicile. EIIe cherche à connaïtre leurs satisfactions mais aussi les contraintes et les difficultés qu'ils rencontrent. Cette recherche est I'un des éléments de l'évaluation des réseaux qui permet de juger de leur légitimité et de leur perennité. - Méthode : Il s'agit d'une enquête effectuée en deux temps. Le premier temps est le recueil de questionnaires envoyés auprès de tous les généralistes travaillant sur le secteur d'AMADéUS afin de comparer leur travail et les difficultés qu'ils orit rencontrées, en dehors du réseau et lors de l'intervention de celui-ci. La seconde partie de l'enquête est basée sur un procédé de recueil à visée qualitative. Vingt entretiens semi-directifs ont été réalisés auprès des médecins adhérents avant répondu au questionnaire. Résultats : Le message principal qui ressort des entretiens est que les médecins adhérents sont très, satisfaits du réseau AMADéUS. Ils sont convaincus de la réalité d'un bénéfice pour le patient, son entourage et enfin pour eux-mëmes. Ils estiment effectuer un travail de meilleure qualité et se sentir moins seuls et démunis face à la situation difficile de la fin de vie. Depuis la création du réseau en 2000; les médecins se sont adaptés à une nouvelle méthode de travail pluridisciplinaire. Cependant ils pointent des éléments encore perfectibles dans le fonctionnement du réseau et la difficulté à concilier leur exercice libéral et l'activité de réseau. Enfin il ressort de cette enquête que les médecins connaissent au final peu ce qu'est réellement un réseau et les impératifs nécessaires à la pérennité de celui-ci. Ainsi la formalisation et l'intervention de l'hôpital suscitent des méfiances de leur part. Conclusion : AMADéUS est un outil utile au patient et à son médecin généraliste à de nombreux niveaux. Cependant il persiste des éléments perfectibles que nous pouvons comprendre du fait du jeune âge des réseaux. Des efforts sont encore à faite de la part de l'équipe coordinatrice et des pouvoirs publics pour répondre au mieux aux attentes des malades et des praticiens. Enfin, certaines méfiances de la part des généralistes existent encore. Des explications claires à leur égard mériteraient d'être réalisées pour une meilleure collaboration.ROUEN-BU Médecine-Pharmacie (765402102) / SudocPARIS-BIUM (751062103) / SudocSudocFranceF

    Du plaisir de vivre après 85 ans (enquête qualitative auprès d'un groupe de personnes âgées habitant l'agglomération rouennaise)

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    ROUEN-BU Médecine-Pharmacie (765402102) / SudocPARIS-BIUM (751062103) / SudocSudocFranceF

    Prévention alcoolique (état des lieux et proposition d'étude)

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    Le traitement de l'alcoolisme commence par une prévention qui consiste à repérer les buveurs à risques (consommation pour un homme de 28 verres/sem et pour une femme de 14 verres/sem sans alcoolodépendance). Je réalise une étude que ce dépistage est simple à faire à l'aide d'une enquête alimentaire qui quantifie la consommation en nombre de verres par semaine. En pratique cela est peu réalisé à cause de la réticence des médecins. Je propose un projet d'étude avec pour objectifs, d'essayer de déterminer les cause de survenue d'une alcoolodépendance des buveurs à risques d'une part, et observer l'attitude des médecins face à cette pratique qu'ils ont du mal à intégrer dans leur mode d'exercice pour beaucoup d'autre part.ROUEN-BU Médecine-Pharmacie (765402102) / SudocPARIS-BIUM (751062103) / SudocSudocFranceF
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