18 research outputs found

    Logiques d\u27usage en bibliothèque publique. Etude d\u27une pratique culturelle

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    Mémoire de fin d\u27étude du diplôme de conservateur, promotion 22 étudiant les logiques d\u27usage des bibliothèques publiques et la manière dont les usagers s\u27approprient ces équipements culturels

    Targeted Therapy for Older Patients with Non-Small Cell Lung Cancer: Systematic Review and Guidelines from the French Society of Geriatric Oncology (SoFOG) and the French-Language Society of Pulmonology (SPLF)/ French-Language Oncology Group (GOLF)

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    Systematic molecular profiling and targeted therapy (TKI) have changed the face of Non-Small Cell Lung Cancer (NSCLC) treatment. However, there are no specific recommendations to address the prescription of TKI for older patients. A multidisciplinary task force from the French Society of Geriatric Oncology (SoFOG) and the French Society of Pulmonology/Oncology Group (SPLF/GOLF) conducted a systematic review from May 2010 to May 2021. Protocol registered in Prospero under number CRD42021224103. Three key questions were selected for older patients with NSCLC: (1) to whom TKI can be proposed, (2) for whom monotherapy should be favored, and (3) to whom a combination of TKI can be proposed. Among the 534 references isolated, 52 were included for the guidelines. The expert panel analysis concluded: (1) osimertinib 80 mg/day is recommended as a first-line treatment for older patients with the EGFR mutation; (2) full-dose first generation TKI, such as erlotinib or gefitinib, is feasible; (3) ALK and ROS1 rearrangement studies including older patients were too scarce to conclude on any definitive recommendations; and (4) given the actual data, TKI should be prescribed as monotherapy. Malnutrition, functional decline, and the number of comorbidities should be assessed primarily before TKI initiation. © 2022 by the authors. Licensee MDPI, Basel, Switzerland

    Which data in the French registry for advanced chronic kidney disease for public health and patient care?

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    International audienceChronic kidney disease is a chronic non-transmittable disease of increasing incidence. The advanced stages are complicated by high morbidity and mortality, and individual management is complex due to the various treatments required at stage 5 including renal replacement. For the healthcare system, this disease also requires complex care organization. National registers of patients on renal replacement therapy have been developed to improve patient management and care arrangements. The purpose of our review was to report on the history of the French registry, its organization, the information collected and its evolution in response to the stage 5 problem. We successively detail the information system with its inclusion criteria, architecture and tools developed, its security rules, mode and type of information collected, its quality controls and, finally, the glossary of data available within the registry

    Enquête Archives Ouvertes COUPERIN 2017 : résultats de l’enquête

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    Les archives ouvertes s’inscrivent de plus en plus solidement et durablement dans le paysage documentaire de l’enseignement supérieur. Si les organismes de recherche ont été précurseurs pour la création d’archives ouvertes, les grandes écoles, mais surtout les universités ont désormais massivement rejoint le mouvement. Signe de cette progression notable, 82 % des répondants disposent en 2017 d’une archive en production ou en cours de mise en œuvre, contre 62 % en 2014. L’adoption majoritaire de la plate-forme HAL (qui représente 79 % des archives en production et 84 % des archives des universités parmi les répondants) se renforce encore depuis 2014. La structuration d’un réseau des utilisateurs de HAL au sein du club utilisateur CasuHal, même si elle est relativement récente (septembre 2016), semble portée par une vraie dynamique puisque 68 % des établissements ayant une archive ouverte adhèrent ou projettent d’y adhérer.L’intégration des archives ouvertes à leur environnement technique progresse globalement mais toujours partiellement depuis 2014. L’intégration aux sites web institutionnels ainsi qu’aux catalogues de bibliothèques est désormais majoritairement effective, mais elle reste insuffisante vers les systèmes d’information des établissements, ENT, SI Recherche et outils de gestion RH. La place des archives ouvertes dans le contexte global d’un marché de la publication scientifique en plein questionnement (conflits ouverts avec les éditeurs, généralisation du Gold Open Access, questionnements autour de nouveaux modèles possibles de publication et d’évaluation, Open Science) progresse depuis 2014 mais semble encore insuffisamment prise en compte par les établissements porteurs, seule une petite majorité d’entre eux (53 %, contre 30,6 % en 2014) ayant inscrit en 2017 leur Archive Ouverte dans une politique globale d’établissement. D’où des freins récurrents au développement des projets, que l’on observe d’une part via des politiques de dépôt encore majoritairement, et notamment pour les universités, peu contraignantes et peu efficaces, mais aussi par la constance des obstacles identifiés pour la réussite des projets qui restent les mêmes depuis 10 ans : manque d’implication politique, communication institutionnelle insuffisante, faiblesse des moyens humains dédiés mais surtout et structurellement une trop faible implication des chercheurs dans la démarche. Resserrer toujours plus les liens entre les acteurs les plus actifs du développement des archives ouvertes que sont les bibliothèques et services de documentation (72 % des répondants 2017 ne travaillent qu’en bibliothèque) et les organes scientifiques, politiques et décisionnels des établissements semble donc plus que jamais de mise pour que ce mouvement se pérennise et continue durablement de croître

    Les archives ouvertes : état des lieux en 2017

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    International audienceLes archives ouvertes s’inscrivent de plus en plus solidement et durablement dans le paysage documentaire de l’enseignement supérieur. Si les organismes de recherche ont été précurseurs pour la création d’archives ouvertes, les grandes écoles, mais surtout les universités ont désormais massivement rejoint le mouvement. Signe de cette progression notable, 82 % des répondants disposent en 2017 d’une archive en production ou en cours de mise en œuvre, contre 62 % en 2014. L’adoption majoritaire de la plate-forme HAL (qui représente 79 % des archives en production et 84 % des archives des universités parmi les répondants) se renforce encore depuis 2014. La structuration d’un réseau des utilisateurs de HAL au sein du club utilisateur CasuHal, même si elle est relativement récente (septembre 2016), semble portée par une vraie dynamique puisque 68 % des établissements ayant une archive ouverte adhèrent ou projettent d’y adhérer.L’intégration des archives ouvertes à leur environnement technique progresse globalement mais toujours partiellement depuis 2014. L’intégration aux sites web institutionnels ainsi qu’aux catalogues de bibliothèques est désormais majoritairement effective, mais elle reste insuffisante vers les systèmes d’information des établissements, ENT, SI Recherche et outils de gestion RH. La place des archives ouvertes dans le contexte global d’un marché de la publication scientifique en plein questionnement (conflits ouverts avec les éditeurs, généralisation du Gold Open Access, questionnements autour de nouveaux modèles possibles de publication et d’évaluation, Open Science) progresse depuis 2014 mais semble encore insuffisamment prise en compte par les établissements porteurs, seule une petite majorité d’entre eux (53 %, contre 30,6 % en 2014) ayant inscrit en 2017 leur Archive Ouverte dans une politique globale d’établissement. D’où des freins récurrents au développement des projets, que l’on observe d’une part via des politiques de dépôt encore majoritairement, et notamment pour les universités, peu contraignantes et peu efficaces, mais aussi par la constance des obstacles identifiés pour la réussite des projets qui restent les mêmes depuis 10 ans : manque d’implication politique, communication institutionnelle insuffisante, faiblesse des moyens humains dédiés mais surtout et structurellement une trop faible implication des chercheurs dans la démarche. Resserrer toujours plus les liens entre les acteurs les plus actifs du développement des archives ouvertes que sont les bibliothèques et services de documentation (72 % des répondants 2017 ne travaillent qu’en bibliothèque) et les organes scientifiques, politiques et décisionnels des établissements semble donc plus que jamais de mise pour que ce mouvement se pérennise et continue durablement de croître

    juillet-octobre 2022

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    Ressentir le musée Allez-y ; touchez, sentez, goûtez, écoutez. Ce numéro de La lettre de l’Ocim rassemble des contributions qui explorent chacune à sa façon les manières dont une visite au musée peut être aujourd’hui bien plus qu’une expérience qui se fait en silence et avec la passivité d’un regard curieux, mais en retrait. Sujet phare dans le monde muséal et patrimonial, la muséologie des sens – ou muséologie sensible – dépasse une pratique muséale focalisée sur la seule mise en exposition de l’objet pour rendre compte d’une expérience fondée sur les différentes manières dont les visiteurs perçoivent et assimilent les contenus en faisant appel à tous leurs sens. Longtemps absents dans les pratiques de médiation au musée, le toucher, l’odorat ou l’ouïe permettent un contact sensoriel intime entre le visiteur et ce qui est exposé. Cela crée ainsi un rapprochement physique et émotionnel qui se traduit en une visite plus mémorable et, par conséquent, une meilleure compréhension des thèmes exposés. Une telle approche multisensorielle éveille ainsi un autre sens jusqu’ici peu exploité au musée : l’intuition du visiteur ; ce ressenti qui nous permet de dépasser la seule information qui nous est présentée et de lier celle-ci à notre propre vécu et nos expériences personnelles. Cela nous amène à interpréter et comprendre les contenus selon notre propre intelligence émotionnelle. Aujourd’hui la muséologie sensible est en plein essor, avec l’implication stratégique de tous les sens comme fondement du design universel ; la possibilité de créer des reproductions pour toucher et sentir les œuvres ; l’incorporation des odeurs dans les salles d’exposition pour mieux appréhender le passé (et même le futur) ; l’impact des tonalités de couleurs et des jeux de lumières dans la création de cartes mentales (mental maps) pour mieux situer le visiteur dans l’espace et dans le temps ; l’écoute pour évoquer des mémoires ou nous connecter à des espaces lointains… La réponse de nos collègues à notre appel à articles a été telle qu’il nous est apparu tout naturel de produire ce numéro double de La lettre de l’Ocim. Plutôt que de tenter d’en faire une sélection, nous avons souhaité laisser toute la place à la mise en valeur de la créativité dans le secteur. Nous remercions les auteurs et autrices pour leurs contributions et leur engagement continu à partager leurs expériences, projets et innovations avec les lecteurs de la revue. Mathieu Viau-Courville, directeur de l’Oci

    Obesity paradox in older cancer patients for middle and long-term mortality: A prospective multicenter cohort study of 2,071 patients.

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    11555 Background: Overweight and obesity are associated with numerous adverse health outcomes. However, among older adults, substantial literature suggests an improved survival among overweight and obese patients. This phenomenon, referred to as the “obesity paradox” remains controversial. In the context of cancer, the association between overweight/obesity and mortality is complex due to the concomitant weight loss and cachexia. We aim to assess the impact of high Body Mass Index (BMI) on mortality in a large population of older cancer patients. Methods: We studied patients aged ≥70 from the ELCAPA prospective open-cohort (2007-2016; 10 geriatric oncology clinics, Great Paris urban area). Endpoints were 12- and 48-months mortality. A variable combining BMI at cancer diagnosis and weight loss (in the 6 months preceding the diagnosis) was created. BMI categories considered: underweight, (BMI &lt; 22.4kg/m²), normal weight (BMI 22.5-24.9), overweight (BMI 25-29.9), and obese (BMI ≥30); weight loss (WL) categories: &lt; 5%, 5- &lt; 10%, ≥10%. Univariate and multivariate Cox proportional-hazards analysis were conducted in males and females. Results: A total of 2071 patients were included (mean age, 81; female, 48%; metastases, 49%; main localizations: digestive (37%), urinary (26%), breast (16%); underweight (30%), normal weight (23%), overweight (33%), obese (14%)). After adjustment for age, smoking, inpatient status, cancer site, metastasis, performance status and comorbidities, overweight women with &lt; 5% WL were at lower risk of 12- and 48-months mortality compared to normal weight women with &lt; 5% WL (aHR = 0.56; p = 0.043 and 0.65; p = 0.031, respectively). Obese women with &lt; 5% WL had a lower mortality risk only at 48-months (aHR = 0.63; p = 0.036). The obesity paradox was stronger in overweight metastatic women. Overweight or obese women with 5- &lt; 10% or ≥10% WL had no reduced risk of mortality compared to normal weight women. Overweight and obese men had no reduced risk of mortality irrespective of weight loss. Conclusions: By taking into account initial weight loss, we did not found evidence for obesity paradox in older patients with cancer except in the subgroup of women with minimal weight loss. Clinical trial information: NCT02884375. </jats:p

    The obesity paradox for mid- and long-term mortality in older cancer patients: a prospective multicenter cohort study

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    International audienceABSTRACT Background Overweight and obesity are associated with adverse health outcomes. However, substantial literature suggests that they are associated with longer survival among older people. This “obesity paradox” remains controversial. In the context of cancer, the association between overweight/obesity and mortality is complicated by concomitant weight loss (WL). Sex differences in the relation between BMI (in kg/m2) and survival have also been observed. Objectives We studied whether a high BMI was associated with better survival, and whether the association differed by sex, in older patients with cancer. Methods We studied patients aged ≥70 y from the ELCAPA (Elderly Cancer Patients) prospective open cohort (2007–2016; 10 geriatric oncology clinics, Greater Paris urban area). The endpoints were 12- and 60-mo mortality. We created a variable combining BMI at cancer diagnosis and WL in the previous 6 mo, and considered 4 BMI categories—underweight (BMI &lt; 22.5), normal weight (BMI = 22.5–24.9), overweight (BMI = 25–29.9), and obesity (BMI ≥ 30)—and 3 WL categories—&lt;5% (minimal), 5% to &lt;10% (moderate), and ≥10% (severe). Univariate and multivariate Cox proportional hazards analyses were conducted in men and women. Results A total of 2071 patients were included (mean age: 81 y; women: 48%; underweight: 30%; normal weight: 23%; overweight: 33%; obesity: 14%; predominant cancer sites: colorectal (18%) and breast (16%); patients with metastases: 49%). By multivariate analysis, obese women with WL &lt; 5% had a lower 60-mo mortality risk than normal-weight women with WL &lt; 5% (adjusted HR: 0.56; 95% CI: 0.37, 0.86; P = 0.012). Overweight/obese women with WL ≥ 5% did not have a lower mortality risk than normal-weight women with WL &lt; 5%. Overweight and obese men did not have a lower mortality risk, irrespective of WL. Conclusions By taking account of prediagnosis WL, only older obese women with cancer with minimal WL had a lower mortality risk than their counterparts with normal weight. This trial was registered at clinicaltrials.gov as NCT02884375
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