Food systems emission and climate change consequences

Food systems are responsible for up to one-third of anthropogenic greenhouse gas (GHG) emissions. These emissions include carbon dioxide (CO2), methane (CH4) and nitrous oxide (N2O) and are therefore a major driver of climate change. The environmental pressures on food systems are likely to intensify, as humanity is arguably already operating beyond planetary boundaries. The projection for changes between 2010 and 2050 shows that these pressures will result in an increase of between 80 and 92 percent in GHG emissions in the absence of technological change and other mitigation measures. Apart from being a significant source of GHG emissions, food systems are significantly impacted by climate change. Uneven climate change effects, in combination with differences in adaptation capacity, could exacerbate existing inequalities between High-Income (HI), Low-Income (LI) and Lower Middle-Income (LMI) countries

An analysis of Japanese foreign exchange interventions, 1991-2002

The effectiveness of Japanese interventions over the past decade depended in large part on the frequency and size of the transactions. Prior to June 1995, Japanese interventions only had value as a forecast that the previous day's yen appreciation or depreciation would moderate during the current day. After June 1995, Japanese purchases of dollars had value as a forecast that the yen would depreciate. Probit analysis confirms that large, infrequent interventions, which characterized the later period, had a higher likelihood of success than small, frequent interventions.Foreign exchange - Japan

Enquête sur les petits métiers de la pêche en Languedoc-Roussillon

Le programme de recherche POLYPECHE, réalisé avec le support financier de la Fondation de France, a comme objet principal l'étude de la polyvalence de la pêche aux petits métiers dans la région Languedoc-Roussillon et ses implications en termes de durabilité et de gestion. Une connaissance actualisée des formes techniques et organisationnelles de cette polyvalence nous est apparue nécessaire. L'enquête présentée ici entend répondre à ce besoin. Elle a été réalisée d'octobre 2012 à janvier 2013 dans l'ensemble des prud'homies de la région auprès d'un échantillon de patrons pêcheurs. Les questions posées concernent les moyens humains et matériels des entreprises individuelles de pêche, les conditions d'accès et de maintien dans la profession, les pratiques de pêche, la perception des patrons pêcheurs sur les milieux exploités, leurs ressources, le système de gestion de l'activité. Elle a été complétée par une étude plus spécifique sur les conditions d'installation dans la profession de patron pêcheur petits métiers. Ce rapport présentera dans un premier temps les aspects méthodologiques de l'enquête et de son traitement statistique. Les résultats d'ensemble seront ensuite présentés et discutés. Des annexes présenteront ensuite l'étude sur les conditions d'installation dans la pêche aux petits métiers et enfin les résultats obtenus par prud'homie

Consommer de la crevette à Madagascar : l'exemple des marchés d'Antananarivo et Mahajanga

Dans le cadre des travaux de recherche menés depuis deux ans sur la pêche traditionnelle au PNRC, une attention particulière a été accordée à l'étude de la filière de commercialisation et de valorisation des produits. Jusqu'ici le marché intérieur a été relativement négligé dans les diagnostics socio-économiques portés sur la filière crevettière. La contribution proposée ici présente les principales conclusions des recherches récentes menées au PNRC sur la consommation intérieure de crevette. Elles débouchent sur des estimations, certes ponctuelles dans le temps et dans l'espace, qui remettent en cause la vision passéiste d'un marché étroit et peu rémunérateur. Il n'en reste pas moins que le marché intérieur devra désormais être mieux intégré dans la représentation que les acteurs privés et publics se font du secteur crevettier à Madagascar. (Résumé d'auteur

Approche socio-économique de l'exploitation du milieu aquatique casamançais

En Casamance, jusqu'à ces dernières années, s'opposent deux types de système d'exploitation du milieu aquatique : d'une part, en Basse Casamance, les eaux intérieures sont exploitées par les Diola, paysans-pêcheurs, au moyen de techniques traditionnelles (nasses, barrages, bassins piscicoles, cueillette des huîtres), dans le cadre d'une économie domestique. D'autre part, les formes de pêches modernes - que ce soit la pêche au filet dormant en mer ou la pêche à la crevette et à la senne en Moyenne Casamance ainsi que la filière du poisson frais et transformé - sont entre les mains de populations originaires des autres régions sénégalaises (Niominka, Toucouleur, Walo-Walo ...). (Résumé d'auteur