87 research outputs found

    Daily rhythms of the sleep-wake cycle

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    The amount and timing of sleep and sleep architecture (sleep stages) are determined by several factors, important among which are the environment, circadian rhythms and time awake. Separating the roles played by these factors requires specific protocols, including the constant routine and altered sleep-wake schedules. Results from such protocols have led to the discovery of the factors that determine the amounts and distribution of slow wave and rapid eye movement sleep as well as to the development of models to determine the amount and timing of sleep. One successful model postulates two processes. The first is process S, which is due to sleep pressure (and increases with time awake) and is attributed to a 'sleep homeostat'. Process S reverses during slow wave sleep (when it is called process S'). The second is process C, which shows a daily rhythm that is parallel to the rhythm of core temperature. Processes S and C combine approximately additively to determine the times of sleep onset and waking. The model has proved useful in describing normal sleep in adults. Current work aims to identify the detailed nature of processes S and C. The model can also be applied to circumstances when the sleep-wake cycle is different from the norm in some way. These circumstances include: those who are poor sleepers or short sleepers; the role an individual's chronotype (a measure of how the timing of the individual's preferred sleep-wake cycle compares with the average for a population); and changes in the sleep-wake cycle with age, particularly in adolescence and aging, since individuals tend to prefer to go to sleep later during adolescence and earlier in old age. In all circumstances, the evidence that sleep times and architecture are altered and the possible causes of these changes (including altered S, S' and C processes) are examined

    Psychiatrie et sommeil.

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    Identité, destin et schizophrénie

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    Privation de sommeil dans la dépression

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    RésuméBien que la maladie dépressive se manifeste par des troubles majeurs du sommeil, reposant sur une désorganisation architecturale assez spécifique, la privation totale du sommeil (DTS) d’une nuit apporte un allègement symptomatique notable le plus souvent immédiat, contemporain de la privation.A la suite des observations fortuites de Schulte, des séries systématiques et contrôlées ont défini le cadre et les limites de l’efficacité de la PTS et diverses investigations biologiques ont cherché à identifier des variables prédictives de son activité.La PTS apporte une amélioration dans environ 60% des cas, plus régulièrement dans les formes endogènes et lorsqu’il y a des variations diurnes de l’humeur. Cette amélioration est globale et elle apparaît le plus souvent aux heures de l’aube mais elle est transitoire, le bénéfice étant perdu au lendemain de la nuit de récupération d’où la nécessité de répéter la privation ou d’y associer une chimiothérapie antidépressive.Les investigations neurobiologiques situent la réponse clinique en rapport avec diverses modifications sur les paramétres catécholaminergiques et neuro-endocriniens ainsi que sur la structuration du sommeil.L’activation thymique se corrèle avec une facilité relative à maintenir l’éveil et se manifeste à un horaire particulier qui correspond à une époque circadienne critique. La PTS produirait une réorganisation des rapports entre la veille et le sommeil et parviendrait à rétablir les coïncidences de phases des rythmes biologiques. Ces données apportent une contribution nouvelle à la notion spécifique d’instabilité dépressive.</jats:p

    Les privations du sommeil dans ladépression: une voie thérapeutique nouvelle

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    SPCDN – Une phénoménologie de la rencontre en psychiatrie

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    Les progrès de la technique dans notre discipline redoublent l’exigence d’une attention soutenue dans l’usage de nos outils thérapeutiques, ce qui requiert une reprise attentive des aspects relationnels de la prise en charge. L’évidence clinique, les enquêtes formelles et la demande de formation des plus jeunes en attestent. Il est dès lors souhaitable de revoir sur le terrain le fonds du talent thérapeutique depuis la clinique psychiatrique et d’illustrer la nécessité d’une phénoménologie de la rencontre comme condition nécessaire à l’ajustement interpersonnel créatif de toute relation de soin. Bruno Giordana envisage de montrer comment toute rencontre se fonde sur la catégorie du sentir et en quoi son rapport au fond de la vie en vue d’une co-constitution d’un « nous » étaye les notions d’alliance et de partenariat. Si la rencontre dispose de ressorts biopsychosociaux souvent perfectionnés pour faire œuvre commune de compréhension et de projet, Frédéric Jover se propose d’explorer son urgence dans la crise de l’entre-deux qui marque parfois violemment les contours d’une fabrique de l’identité, en quoi l’impératif d’une décision existentielle marque un tournant biographique qu’il faut savoir accompagner. L’accueil institutionnel s’opère désormais sous l’aspect moderne du contrôle « Qualité » mais Dominique Pringuey veut reprendre utilement le principe originaire de « permissivité » thérapeutique faisant valoir que tout procédé thérapeutique tient dans ce qu’il permet du travail relationnel qui inscrit l’hospitalisation dans l’ordre de l’hospitalité. Nous conforterons la thèse selon laquelle la rencontre porte en elle la dynamique de la puissance vitale seule capable de s’opposer aux forces de destruction, de soutenir l’échange et la parole, d’accompagner le souci et de promouvoir le rétablissement.</jats:p

    Phénoménologie de la subjectivité : Tatossian et la clinique psychiatrique

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    SPCDN – Phénoménologie du corps et implications cliniques et thérapeutiques

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    Versée dans les discussions conceptuelles, causales et plus récemment critériologiques, la psychiatrie séjourne dans des modèles psychopathologiques toujours plus élaborés mais aussi trop éloignés des « choses elles-mêmes » de la clinique quotidienne à commencer parce qu’elle y rencontre, un patient/une patiente « en chair et en os » et son corps qui pour être souffrant parle à sa manière et pour certains jusqu’à être contraint au soin, voire au séjour hospitalier. Or le corps, objet et sujet, est leur équilibre maintenu face aux vicissitudes de l’existence. Il est objet, forme de l’avoir comme instrument, et il peut être douloureux, épuisé, exalté… et par là modifié et secouru techniquement. Mais il est aussi sujet, forme d’existence, corps vivant qui est « chair » et multiple, corps pluriel qui assume les changements d’une position d’existence à l’autre jusqu’à l’impossible, l’impuissance ou l’échec. La proportion est fragile entre corps porteur de l’expérience et corps en apparition dans ses significations comme en attestent ses aléas déclinant les grandes dimensions de la pathologie en psychiatrie, où du royaume des idées nous devons toujours savoir revenir à ce qui les permet. À des fins d’ajustements thérapeutiques, nous proposons une approche méthodologique du corps vécu comme chair et réversibilité dans la perspective de Maurice Merleau Ponty [1] (Dr F. Jover Bureau de la SPCDN, CHU de Nice), du vécu de collection du corps hypocondriaque d’après Arthur Tatossian [2] (Dr B. Giordana) et des dysharmonies entre corps-idem et corpsipse dans les cyclothymies et les schizophrénies d’après les travaux de Paul Ricoeur [3] (Pr D. Pringuey, Président de la SPCDN ou Dr C. Rometti membre de la SPCDN).</jats:p

    1er Congrès Français de Psychiatrie (2–5 décembre 2009, Nice)

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