1,165 research outputs found

    Agroecology and ecological engineering for pest management. Cotton protection as a case study

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    This synthesis provides an annotated guide to the thinking and publications behind the evolution of concepts in cotton pest management over the last fifty years. The first movement was from the concepts of Pest Control to those of Integrated Pest Management (IPM). It was soon appreciated that advantage needed to be taken of the beneficial aspects of agro-ecological biodiversity, leading to concepts of Agro-Ecological Engineering. This required action beyond the immediate cotton field and of many players other than the recommending scientist. Area-wide and Community-based management, incorporating the lessons learnt from Farmer Field Schools (FFS) made this a more genuinely participatory process. It soon became apparent that biodiversity in itself does not deliver improved pest management and the practice of Landscape Farming came to involve the manipulation of spatio-temporal crop geometries, in turn leading to Better Cotton Management Practices (BMPs) aiming to capitalise on functionally useful biocomplexity rather than simple biodiversity as such and explicitly incorporating wider environmental concerns. More recent developments along this pest management continuum include the idea of New Cotton Cultivation (NCC) emphasising the interactions between the plant, the technical context and the natural and sociological environment of particular cultivators. With improvements in our understanding of the scale and complexity of the practices required to optimise cotton production systems we will continue to move towards more genuinely sustainable and lower physical-input systems. (Résumé d'auteur

    Structure and diversity of dung beetles communities (Coleoptera: Scarabaeoidea) in southern Larzac (France)

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    Introduction: The ecosystems of Southern Larzac (France) have experienced an evolution of pastoral practices which progressively led to a change of landscape structure. With the disappearance of transhumance and the decrease of grazing, the landscape tends to close up and it ancestral equilibrium is changed. Thus, the role of dung beetles (Coleoptera: Scarabaeoidea) and the organization of their communities are strongly modified. The aim of this work is to analyse the structure of these communities and their diversity according to this global evolution. Methods: The study was carried out during the year 2005. The insects were collected with attractive baited pitfall traps in six sites during four periods of the year. The Motomura model was used to analyse the diversity and the organization of communities. The distribution of the main species was described with correspondence analysis taking into account climatic parameters and pastoral practices. Results: 4582 insects were collected. The study of the communities showed a wide range of 46 species belonging to four families (Aphodiidae, Scarabaeidae, Geotrupidae, Trogidae). The functional groups differed depending on the seasons, the pedoclimatic characteristics and their breeding requirements. Conclusion: These preliminary results on the seasonal and spatial structure of the populations of dung beetles highlight the significant role of dung beetle communities in Larzac ecosystems. From a Biological Conservation point of view, our results can help to take decisions for a sustainable management of these ecosystems. (Texte intégral

    Observations sur des carabiques prédateurs de chenilles déprédatrices du cotonnier au Nord Cameroun

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    Des observations ont été réalisées sur différentes espèces de Carabidae prédatrices de larves de plusieurs lépidoptères ravageurs du cotonnier (H. armigera, D. watersi, Earias, S. derogata, A. flava, S. littoralis). Bien que peu nombreuses, les espèces les plus fréquemment rencontrées sont Lissauchenius venator (Laferté) (Carabidae, Chlaeninae) et Graphipterus absoletus (Olivier) (Carabidae, Graphipterinae). (Résumé d'auteur

    Etude du recouvrement des cotonniers par les techniques de pulvérisation à très bas volume (TBV) et à ultra bas volume (UBV) au moyen de traceurs fluorescents

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    Les comparaisons portent sur le nombre de gouttelettes au cm2 et la proportion de feuilles recevant au cm2 un certain nombre de gouttelettes, en tenant compte de la position des feuilles sur les plants et de leurs faces supérieure et inférieure. Avec la pulvérisation à TBV (10 litres/ha), le recouvrement est meilleur pour chaque niveau d'observation. Toutefois la face inférieure est insuffisamment recouverte dans les positions médiane et basse du plan

    Les journées coton de juillet 1998 : propos d'étape

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    Le nouveau programme coton du CIRAD

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    Au sein du Cirad, le programme coton est un programme filière et sa vocation est d'améliorer, de manière durable, la compétitivité des filières coton. En fonction des situations, il s'agit d'adapter les itinéraires techniques et le matériel végétal aux besoins des producteurs qui s'organisent de plus en plus et dont les demandes sont de plus en plus diversifiées; de proposer des produits et des sous-produits (graines) de qualité et adaptés à la demande; de connaître et de contribuer à l'évolution organisationnelle et institutionnelle des filière

    Bilan de la protection des cultures cotonnières au Tchad par la technique UBV

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    Etude des avantages et des inconvénients de la technique de pulvérisation à bas volume, à 3 litres et à 1 litre à l'hectare. Les effets sur les différents ravageurs du cotonnier sont étudiés en plus des aspects technico-économique

    Les bases stratégiques de la recherche cotonnière au Cirad

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    La culture cotonnière des pays du Sud subit une conjoncture mondiale difficile. Dans ce contexte, la recherche cotonnière du Cirad renouvelle ses orientations en visant les objectifs suivants : une compétitivité forte dans un environnement difficile, une responsabilité accrue dans la gestion des ressources naturelles, une culture plus rémunératrice pour l'agriculteur. Trois projets sont privilégiés : la nouvelle culture du cotonnier, le projet de gestion de la résistance chez les insectes du cotonnier, la technologie des produits. La nouvelle culture du cotonnier introduit la gestion des interactions entre la plante, les conditions du milieu et la conduite de la culture de façon à élaborer une gamme d'itinéraires techniques diversifiés pouvant satisfaire les attentes des producteurs. Elle s'appuie sur une pratique interdisciplinaire et participative. Elle constitue un lieu privilégié d'échanges et de formation. Le projet Gerico, dévolu à l'Afrique, allie la recherche scientifique sur la résistance des ravageurs (Helicoverpa armigera, Bemisia tabaci, Aphis gossypii) aux insecticides et une formation complète des partenaires du Sud. En matière de technologie du coton, la réputation du Cirad est mondiale. Les évolutions de la classification internationale de la fibre imposent des avancées permanentes dans les domaines de la qualité des fibres et des performances des appareils de contrôle ; resserrer les relations entre le champ et l'industrie textile devient de ce fait une conséquence inéluctable. (Résumé d'auteur

    L'homme et l'animal dans le bassin du lac Tchad

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    Le glossaire (encore incomplet) du vocabulaire des Mofu de Douvangar recense près de 140 mots désignant des insectes et autres anthropodes. Ce vocabulaire est analysé d'un point de vue exclusivement entomologique. Certains mots peuvent être rapprochés des taxons de la classification zoologique (au niveau des groupes espèce, sous-famille, famine ou ordre). Mais serait-il pertinent de confondre des concepts issus d'approches aussi différentes de la nature ? Il ne suffit pas qu'un terme vernaculaire désigne un animal ou un groupe d'animaux précis pour être assimilable à un taxon ! Un taxon est un concept qui n'existe que dans le cadre d'une théorie scientifique. Les Mofu ne nomment pas tous les insectes qu'ils côtoient : certains les intéressent beaucoup et d'autres pas du tout. Leur grille d'analyse, logique, cohérente et non dépourvue d'efficacité pratique, s'inscrit dans une conception du monde très différente de la nôtre, fondée sur le paradigme scientifique contemporain (le monde "désenchanté"). L'entomologiste à l'écoute du discours des Mofu sur les insectes est ballotté entre ce qu'il perçoit d'une part comme des observations souvent fines de la réalité objective, et d'autre part comme relevant d'une riche mythologie qui lui est étrangère. Il ne peut s'empêcher de s'interroger : "Et si notre paradigme scientifique était lui aussi une mythologie" ? Mais ceci est une autre histoire. (Résumé d'auteur
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