1,904 research outputs found

    An experimental study of the atmospheric boundary layer modified by a change in surface roughness and surface temperature

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    Turbulent flow, resembling an on-shore flow from the ocean crossing the beach at an oblique angle, is investigated. Measurements of this flow have been taken at high sample rates and include measurements at various heights, high enough to describe the portion of the mean wind and temperature profiles and fluxes that are of interest for the solution of practical engineering problems. These problems could include air pollution (fumigation and plume trapping), operation of low flying aircraft, crop-spraying and crop-dusting operations

    Improving the outcomes for Gypsy, Roma and Traveller pupils : literature review

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    La fausse simplicité du discours direct. Propriétés de la parole alternée dans le dialogue romanesque

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    Titre du fascicule : Dialogues / études réunies par Jean-Charles Margotton en hommage au Professeur René GirardInternational audienceAmong the studies on represented speech in fiction, free indirect discourse has been the most analysed form. This is certainly because its seems to reflect the constitutive dialogical nature of the subject, thanks to his indeterminacy, the overlapping of the voices/thoughts of the characters and that of the narrator. In contrast, direct discourse is considered to be a simple, transparent system that alternates the voices/thoughts of the characters and that of the narrator in a clear and unambiguous manner. This article shows how direct discourse and its complexity has been underestimated in narratology: fictional speech is always an intricate, three-levelled enunciation, made up with that of the characters, that of the narrator and, last but not least, that of the author. The duality of the directed speech dissimulates the author's implicit third level and allows him to play hide-and-seek with the reader and take up positions from the perspective of the narrator or the characters. This would not be possible with the indefinite polyphony of the free indirect discourse.Au sein des études sur le discours rapporté, le discours indirect libre est valorisé parce qu'il semble refléter la pluralité du sujet : son " hétérogénéité constitutive ". Avec le discours direct, on se trouve en revanche confronté à un système apparemment ancré dans la transparence et la simplicité d'une " hétérogénéité montrée ". L'article revient sur la méconnaissance de la complexité du discours direct dans le dialogue romanesque. En fiction, l'énonciation est toujours triple, divisée entre les personnages, le narrateur et l'auteur. Dans le discours direct, ce n'est jamais que l'alternance de la parole qui est univoque. La dualité du discours direct, la nécessaire mise en rapport du citant et du cité autorise de subtils jeux de cache-cache, des prises de position de la part de l'auteur, qui peut à son gré se placer du côté de la parole du narrateur ou de celle des personnages, prises de position qu'il serait impossible de rendre au moyen du discours indirect libre, mode de l'intrication des voix et des pensées

    Composition nominale et répétition chez Thomas Bernhard

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    LYLIA (LYon-LInguistique-Allemande) Travaux de linguistique allemande en ligneThomas Bernhard gilt als einer der sprachlich experimentierfreudigsten zeitgenössischen Autoren und seine ad hoc-Kompositionen gehören zu den am deutlichsten sichtbaren Zeichen dieser Experimentierfreudigkeit. Der Autor soll damit die Logik der Syntax verlassen haben, um Irrationalität und Emotionen in den Vordergrund zu rücken. Die Analyse verschiedener Formen nominaler Kompositionen zeigt jedoch, dass die Formen bzw. Prozeduren Teil des Spiels zwischen Wiederholung und Variation sind, welches Bernhard sowohl auf formeller (Laute, Worte, Sätze), als auch auf Sinnebene (Motive, Strukturen) benutzt. Bernhards Nominalkomposita tauchen nicht urplötzlich aus dem Nichts auf, sondern sind das Ergebnis langfristiger Entwicklungen im Text und haben insofern anaphorische und rekapitulative Funktionen. Unabhängig davon ob sie reformulieren, kategorisieren, abschließen oder Isotopieketten konstruieren, sie dienen immer der Kohäsion des Textes.Parmi les auteurs de langue allemande, Thomas Bernhard est souvent considéré comme l'un des écrivains contemporains les plus innovants et les plus créatifs en matière d'expérimentation langagière et la création de composés ad-hoc est l'une des caractéristiques les plus visibles de cette expérimentation. On a pu écrire à leur propos que l'auteur abandonnait avec eux la logique de la syntaxe pour laisser surgir les émotions et l'irrationnel. A travers l'étude de plusieurs procédés de composition nominale, il s'agit de montrer que ces procédés s'insèrent au sein du principe général de répétition/variation utilisé par Bernhard de manière systématique, tant au niveau de la forme (sons, mots, phrases) que du sens (motifs, structure). Les composés nominaux bernhardiens, loin de surgir à l'improviste pour surprendre le lecteur, n'apparaissent jamais qu'au terme de longs développements, dans une fonction récapitulative et anaphorique. Qu'il s'agisse de reformuler, de sous-catégoriser, de clôturer ou de construire une isotopie, ils sont toujours mis au service de la cohésion du texte, comme forme lexicale du principe musical de la répétition

    Thomas Bernhard, la répétition impertinente ou le refus de reformulation : l'exemple du récit autobiographique 'La cave'

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    Cette étude questionne l'envers de la reformulation : la répétition à l'identique. Car si la reformulation, c'est deux mots pour une chose, comment voir une nomination plurielle là où il n'y a qu'un mot, répété, certes, mais le même. La répétition est à la reformulation ce que l'écriture blanche était à Barthes : son impossible "degré zéro". L'auteur autrichien Thomas Bernhard use et abuse de la répétition, de manière obsessionnelle, dans tous ses écrits. Chez lui, la répétition est un procédé subversif, qui équivaut à un choix de non-reformulation. Alors que la reformulation ne questionne jamais le dit sans donner une réponse (contenue dans l'écart entre le dit et le re-dit), la répétition, elle, questionne, mais ne répond pas. L'analyse du texte autobiographique 'La cave' met à jour l'ambivalence fondamentale de la répétition chez Bernhard : en même temps qu'elle menace la cohésion du texte, c'est elle qui construit l'architecture de sa cohérence

    Property and Thomas Piketty: Casting the Lens of Thomas Piketty\u27s Capital in the Twenty-first Century on Inequality in the Urban Built Environment

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    Currently, there exists a disturbing urban problem exemplified by the excessive luxury apartments and glamorous office towers being built in cities around the world in the face of the increasing unaffordability of housing and low-cost work, trade or craft space. Seeking to address this complex problem, this paper proposes a theoretical framework that uniquely addresses both the capitalist economic structure that drives the development process and the Marxist-based urban theory by which the socio-economic outcomes are currently evaluated. This framework takes as its meta-theory, the approach of Thomas Piketty in his recent treatise, “Capital in the Twenty-First Century”, since he deftly employs the Marxist dialectic of labor/capital while investigating the persistent inequality in the history of capitalism by interrogating that system itself. This bifurcated framework of economic analysis affords a new format for examining real estate returns, how they are represented in the market place, who benefits from them, and how resultant inequalities might be avoided in urban development

    Anaphora, Epiphora & Co.: Figures of Repetition in Textualization

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    International audienceAu sein du champ figural, la répétition a souffert du primat des tropes, d’une définition de la figure comme écart, comme substitution. Une approche contextualisée des figures permet de redéfinir la répétition et de l’appréhender comme un phénomène réticulaire en mettant à jour ses capacités de structuration textuelle, qui étaient restées sous-estimées dans une approche décontextualisante. Cet article propose de distinguer nettement « répétition-substitution » et « répétition », cette dernière seule impliquant la reprise des signes. Il s’agit de montrer comment les répétitions, toujours dispersées dans les taxinomies traditionnelles, fonctionnent, en contexte, de concert. L’étude d’un passage du célèbre discours de Martin Luther King, « I have a dream » (1963) montre comment le déploiement réticulaire des répétitions co-textuelles joue un rôle décisif dans l’accès de ce texte au statut de « discours-monument ».Among figures of speech, repetition has suffered from the pre-eminence of tropes and the definition of the figure as a substitution. Repetition's function in lending structure to text has been largely under-estimated. Contextualization allows an evolution of the definition of repetition as a reticulated phenomenon that is tightly bound to its capacity to structure text. Here we elucidate the concept of repetition and distinguish ‘substitutive repetition’ from ‘repetition’ in which signifiers are reiterated. The traditional taxonomy of repetitive figures is criticized and an alternative is proposed to allow the understanding of repetition as a network, leading to the emergence of a ‘macro-figure’. This approach is illustrated by the analysis of repetition in a passage of the famous ‘I have a dream’ speech of Martin Luther King (1963). The complex play of repetitions has a decisive role in allowing this text to become a ‘monumental speech’ that transcends its original historical context

    : "Je sais que tu reviendras"

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    On sait que le langage n'a pas seulement une fonction de représentation. Les mots peuvent consoler, blesser, menacer, apaiser... Ils peuvent aussi, dans certains contextes, sauver. Dans une approche à la croisée de la linguistique, la psychanalyse et la création littéraire, l'article aborde la problématique de la langue qui sauve : quand dire, c'est survivre. La phrase " Je sais que tu reviendras ", est tirée du roman La bascule du souffle de Herta Müller (prix Nobel de littérature en 2009), qu'elle parcourt tel un fil rouge. Le héros Leo affirme que c'est elle qui l'a sauvé de l'univers concentrationnaire. L'article montre comment et pourquoi la répétition d'une simple phrase peut se transformer en l'ultime et dernier lieu de la sauvegarde du sujet
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