404 research outputs found

    How and what did we do in 1999

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    Acceleration of High Intensity Proton Beams

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    In 1998 the CERN SPS accelerator finished a five years long program providing 450GeV proton beams for neutrino physics. These experiments required the highest possible beam intensity the SPS can deliver. During the last five years the maximum proton intensity in the SPS has steadily been increased to a maximum of 4.8 1013 protons per cycle. In order to achieve these intensities a careful monitoring and improvement of the vertical aperture was necessary. Improved feedback systems on the different RF cavities were needed in order to avoid instabilities. Also the quality (emittance and extraction spill) of the injector, the CERN PS, had be optimised

    Analyse des propriétés de sorption de la silice vis-à-vis des bases et des espèces cationiques par les méthodes diélectriques et électrochimiques

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    Non disponible / Not availableL'étude du comportement des silices synthétiques vis-à-vis des bases et des ionscuivriques a été réalisée dans le but de mieux connaître les interactions ayant lieu à l'interface solide-solution. Deux types de silices ont été considérées, un gel de silice à grande aire spécifique et une silice dite de Stôber qui se caractérise par une microporosité. Deux méthodes ont été principalement mises en oeuvre pour permettre l'analyse des phénomènes dans des conditions in situ et non destructives : la diélectricité et l'électrochimie aux électrodes à pâte de carbone modifiées par la silice. Il a été montré pour la première fois que la mesure des pertes diélectriques sur la silice décantée dans une solution basique rend directement compte de la quantité de groupements silanol ionisés. De même, il a été démontré que l'évolution du taux d'ionisation est peu liée à la force de la base mais est fortement dépendante du degré de dissociation des groupements silanol conformément au modèle de Sonnefeld. La spectroscopie Raman confirme la présence de groupements silanol de réactivité différente. Les billes de Stüber se comportent tout à fait différemment. En effet, en faisant réagir des bases moléculaires de différentes tailles, la propriété de tamis moléculaire a été mise en évidence pour la première fois. L'ouverture des pores de ce matériau a été estimée à 0,3 nm. Ses groupements silanol, majoritairement situés à l'intérieur de sa structure, sont chimiquement réactifs et se comportent comme des groupements de surface lorsque le réactif est suffisamment petit que pour entrer librement dans la structure. L'application de la diélectricité pour suivre la fixation du cuivre(ll) en milieu ammoniacal démontre sans ambiguïté le caractère covalent de la liaison SiO-Cu. L'insertion de la silice dans une électrode à pâte de carbone a permis d'étudier les processus d'adsorption-désorption du cuivre sur ce matériau en milieu ammoniacal. Elle démontre une sélectivité très marquée de la silice pour les ions cuivriques. Cette propriété a d'ailleurs été exploitée pour la mise au point d'un capteur ampérométrique du cuivre(ll) sur base du schéma «accumulation en milieu ammoniacal - détection voltampérométrique en milieu acide ». La limite de détection obtenue pour un temps d'accumulation de 2 minutes a été estimée à 10-8 mol l-1

    Efficacité de l'utilisation d'un support de signes ou de pictogrammes en compréhension syntaxique chez l'enfant TSL

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    Dans la pratique clinique, l’utilisation d’un support multimodal dans la prise en charge des enfants ayant un trouble spécifique du langage (TSL) est souvent préconisée. Dans ce contexte, un ensemble de travaux menés à l’Université Catholique de Louvain (UCL) en collaboration avec l’Institut Royal pour Sourds et Aveugles (IRSA) tentent de valider scientifiquement l'efficacité de supports gestuels dans la prise en charge des difficultés langagières des enfants TSL. La recherche expérimentale présentée dans ce mémoire a pour objectif d’évaluer l’apport potentiel des signes et des pictogrammes en compréhension syntaxique chez les enfants TSL. 12 enfants TSL âgés de 6 à 11 ans ont participé à cette étude. Chaque enfant TSL a été apparié à un enfant du même âge chronologique et à un enfant du même âge linguistique. Une tâche de désignation d’images a été créée et proposée aux participants dans trois conditions. Dans la première condition, les phrases étaient présentées oralement tandis que dans les deux autres conditions, un support de signes ou de pictogrammes était fourni en plus du message oral. Les résultats n’ont pas permis de mettre en évidence un apport significatif des signes et des pictogrammes pour les différents groupes d’enfants testés (TSL, AL, AC). Cependant, des différences individuelles ont été mises en évidence. Ainsi, certains participants ont obtenu un score en compréhension de phrases plus élevé quand un support de signes ou de pictogrammes était disponible. Des recherches ultérieures sont nécessaires pour comprendre dans quelles conditions les supports de signes et de pictogrammes sont susceptibles d’aider les enfants TSL dans leur compréhension de phrases.Master [120] en logopédie, Université catholique de Louvain, 201

    Lettre de M. Despas à Monseigneur l'Evêque de Bayonne.

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    Forma colección facticia con otros documentos del mismo temaDigitalización Vitoria-Gasteiz Fundación Sancho el Sabio 2012Carton

    Une nouvelle ""page"" RF FILES

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