73 research outputs found

    Closed medial total subtalar joint dislocation without ankle fracture: a case report

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    INTRODUCTION: Total subtalar dislocation without fracture of the ankle is a rare clinical entity; it is usually due to a traumatic high-energy mechanism. Standard treatment is successful closed reduction under general anesthesia followed by non-weight bearing and ankle immobilization with a below-knee cast for 6 weeks. CASE PRESENTATION: We present the case of a 30-year-old Moroccan woman who was involved in a road traffic accident. She subsequently received a radiological assessment that objectified a total subtalar dislocation without fracture of her ankle. She was immediately admitted to the operating theater where an immediate reduction was performed under sedation, and immobilization in a plaster boot was adopted for 8 weeks. The management of this traumatic lesion is discussed in the light of the literature. CONCLUSIONS: Medial subtalar dislocation is a rare dislocation and is not commonly seen as a sports injury because it requires transfer of a large amount of kinetic energy. The weaker talocalcaneal and talonavicular ligaments often bear the brunt of the energy and are more commonly disrupted, compared to the relatively stronger calcaneonavicular ligament. Urgent reduction is important, and closed reduction under general anesthesia is usually successful, often facilitated by keeping the knee in flexion to relax the gastrocnemius muscle. Long-term sequelae include talar avascular necrosis and osteochondral fracture, as well as chronic instability and pain

    Les complications tardives de prothèse totale de la hanche: à propos de 42 cas

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    L'arthroplastie de la hanche est un moyen fiable dans le traitement des affections de la hanche. En lui rendant sa mobilité sa stabilité et son indolence. Cependant cette chirurgie prothétique expose au risque de la survenue des complications qui peuvent engager le pronostic fonctionnel. Nous avons réalisé une étude rétrospective sur une durée de 8 ans de janvier 2004 au janvier 2012 au service de traumatologie-orthopédie de CHU HASSAN II FEZ. Pendant cette période nous avons opéré 240 patients pour PTH. Après un recul moyen de 5 ans nous avons noté chez 42 (17,4%) patients une complication tardive. Nous noté 13 cas de descellement aseptique soit 5,4%. Cette complication a été survenue dans notre série sur une prothèse cimentée dans 8 cas et non cimentée dans 5 cas. Le traitement que nous avons adopté dans notre série a été une reprise de PTH sans greffe osseuse ni anneau de reconstruction dans 4 cas, reprise avec mise en place d'anneau de Kerboull dans 7 cas et reprise avec greffe osseuse et anneau de kerboull dans 2 cas. Nous avons trouvé 11 cas de sepsis tardive soit 4,6 % des cas. Nous avons le diabète comme facteur de risque chez 3 malades. L'agent causal a été staphylococcus épdermidis dans 5 cas, colibacille dans 2 cas et association staphylococcus-BGN dans 1 cas. Les différentes modalités que nous avons utilisé pour traiter l'infection dans notre ont été un lavage simple, système d'irrigationdrainage et réimplantation simple en un seul temps ou en 2 temps avec couverture systématique par une antibiothérapie adaptée selon l'antibiogramme. Nous avons noté également 11 cas de fracture sur PTH intéressant dans tous les cas le fémur, nous avons traité ce type de fracture dans notre série par une tige fémorale prothétique longue dans 4 cas, une plaque vissée cerclée dans 3 cas et cerclage simple dans 4 cas. La consolidation a été obtenue chez 9 patients avec 2 cas de pseudarthrose. Nous avons noté 7 cas de luxation tardive de PTH. Comme facteur de risque dans notre série nous avons trouvé le sexe féminin et le surpoids. Sur le plan technique la malposition de cotyle a été constituée l'étiologie principale avec 4 cas. Nous avons traité les cas de luxation par réduction simple avec traction dans 3 cas et une reprise chirurgicale pour corriger la malposition de cotyle dans 4 cas. Nos résultats sont comparables avec ceux de la littérature. Selon les résultats de la littérature le descellement aseptique constitue la complication la plus fréquente. Pour traiter cette complication les 2 modalités la plus fréquemment utilisées dans a littérature sont la reprise avec des greffes et anneaux de reconstruction ou fixer la nouvelle cupule sur os sain de néocotyle créé par descellement. Le résultat de la littérature objective aussi la responsabilité de staphylococcus comme agent causal la plus fréquent. Il montre également l'efficacité de traitement chirurgical par réimplantation de la prothèse en un seul ou en 2 temps. L'étude de la littérature objective aussi que La prise en charge des fractures sur PTH est difficile en raison de l'âge souvent avancé et de la fragilité des patients, de l'ostéoporose, et de la menace que ces fractures font peser sur la fixation de la prothèse parfois déjà défaillante. Les complications tardives de PTH sont fréquentes et sont causes de reprises de chirurgie prothétique et rendent leur prise en charge très difficile. Elles peuvent transformer les légitimes espoirs fonctionnels en catastrophe invalidante.Pan African Medical Journal 2013; 14:1

    Pseudarthrose de l’extrémité inférieure du fémur traitée par mégaprothèse: à propos d’un cas et revue de la littérature

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    Les pseudarthroses de l'extrémité distale du fémur sont relativement rares du fait de la qualité de la vascularisation de cette région. La prise en charge d'une telle complication pose un certain nombre de difficultés. Le traitement chirurgical fait appel à plusieurs techniques conservatrices, le traitement par prothèse peut s'avérer utile quand la perte de substance est importante chez le sujet âgé. L'objectif de ce travail est de discuter l'intérêt de la mégaprothèse du genou dans le traitement de la pseudarthrose de l'extrémité distale du fémur, à travers l'étude de l'observation d'une patiente et revue de la littérature. Il s'agit d'une patiente âgée de 62 ans qui présente une pseudarthrose de l'extrémité distale du fémur gauche. Sur le plan clinique la patiente présente des douleurs du genou gauche, avec gène fonctionnelle importante. Le score de l'IKS préopératoire était de 60. Elle a bénéficié d'un remplacement prothétique par une mégaprothèse du genou. En postopératoire la flexion du genou était à 90°, le score de l'IKS était de 130. A travers l'étude de cette observation, et la revue de la littérature, nous pensons que l'utilisation de mégaprothèse du genou, constitue une solution efficace et durable pour le traitement des pseudarthroses du fémur distal et particulièrement chez le sujet âgé. Cette technique permet de répondre aux impératifs d'un tel aléa de la consolidation: lutter contre la douleur et garantir une mobilité satisfaisante permettant de répondre aux besoins de la vie quotidienne du patient et ainsi améliorer sa qualité de vie.Key words: Pseudarthrose, mégaprothèse, fémur, geno

    Les fractures distales de la clavicule type II de Neer: plaque à crochet versus brochage transacromiale

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    Cette étude a été menée afin de faire une comparaison entre deux techniques chirurgicales différentes : la plaque à crochet et l'embrochage dans les fractures instables du quart externe de la clavicule. Nous avons mené une étude prospective entre 2009 et 2013, incluant deux groupes depatients : un premier groupe de 14 patients traités par plaque à crochet par voie d'abord antéro-inférieure, un second de 12 patients traités parbrochage. Tous les patients ont été hospitalisés 24 h après la chirurgie et ont été suivi pendant 1 an. Nous avons comparé les résultats des deuxtechniques en étudiant: le temps opératoire, le saignement, délai de consolidation, la douleur et la fonction selon le score de constant.  L'analyse statistique des résultats fonctionnels et radiologiques a montré la supériorité d'une technique par rapport à l'autre ; ainsi l'âge moyen global était de 32,6 ans (+/- 13,7), le sex-ratio (H/F) était de 1. Le temps opératoire moyen est de 35 min pour la plaque à crochet contre 45 minutes pour le brochage, le délai moyen de consolidation était de 6,1 (+/-0,7) semaines dans le groupe traité par plaque vissée, et de 6 (+/-0,7) semaines dans le groupe traité par embrochage (p = 0,5), le score de Constant absolu moyen était respectivement de 86 (+/-10,4) et de 90,92 (+/-2,5) (p =0,04). L'analyse uni variée a montré une association statistiquement significative entre les paramètres d'évaluation et les deux techniques chirurgicales étudiées. Par conséquent, l'étude a noté la  supériorité de la plaque à crochet contre l'embroche dans les fractures instables du quart externe de la clavicule

    Résultats fonctionnels des lésions des tendons fléchisseurs de la main: à propos de 90 cas

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    Les auteurs rapportent une série de 90 patients, présentant une section tendineuse des fléchisseurs de la main, et suivis avec un recul moyen de 8 mois (min: 2 mois; max: 13 mois). La lésion était localisée dans 12% des cas en zone I, 46% des cas en zone II, 2% en zone III et 25% des cas en zone IV et V. Pour le pouce (13 patients), 10 cas en zone T2 et 3 cas en zone T3. La technique opératoire utilisée était les sutures tendineuses en cadre de Kessler modifié, associée à un surjet épitendineux. Nous avons  obtenus 54% de très bons résultats, 34% de résultats moyens et 12% de mauvais résultats. Pour le pouce les résultats semble moins bons avec un taux de résultats médiocre de 48%. Certes les chiffres de cette série sont moins bons que ceux des autres séries publiées dans la littérature. Les facteurs influençant les résultats sont d'abord l'utilisation d'immobilisation postopératoire systématique ainsi que le mécanisme d'agression, et la localisation à la zone II et au pouce. Les complications mécaniques sont représentées par 7% de rupture, toutes au niveau de pouce, et 31% des adhérences tendineuses (soit 30 cas), dont 19 en zone II, l'infections (22%) et 4% des cas d'algodystrophies.Key words: Tendons fléchisseurs, main, réparation, résultats fonctionnel

    Nonunion of Fractures of the Ulna and Radius Diaphyses: Clinical and Radiological Results of Surgical Treatment

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    Aseptic nonunion of the radius and ulna is a major complication of forearm fractures, accounting for 2% to 10% of all forearm fractures. The aim of our study is to evaluate the functional and radiological results of surgical treatment of diaphyseal aseptic nonunion of the radius and ulna, with autologous bone grafting, decortication and internal plate fixation. A series of 21 patients (26 nonunions) was retrospectively reviewed, the average age was 35 years with a mean of 31,58 years (range 12-44 years) . The fractures included isolated radius (n=6) and ulna (n=10), and both radius and ulna (n=5). The Grace and Eversmann score was used to evaluate our results. Fifteen had very good results, five good and one average. Consolidation of the two bones was attained in 6.2 months. Therefore, the functional prognosis of the upper limb imposes the need for an adequate treatment. This management strategy has enabled us to have satisfactory results. However, the best treatment of nonunion remains the preventive treatment with an optimal management and care of the forearm fractures

    L’ostéotomie de scarf dans le traitement de l’hallux valgus: à propos de 19 cas

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    L'ostéotomie de Scarf constitue une technique chirurgicale bien décrite, grâce à ses résultats excellents, elle est considérée comme un traitement de choix de l’hallux valgus. Le but de ce travail est de décrire le  profil épidémiologique et radio-clinique des hallux valgus, ainsi qu’évaluer les résultats radiologiques et fonctionnels des patients traités par la technique classique d’ostéotomie de Scarf. Nous avons mené une  étude rétrospective, concernant 22 ostéotomies de Scarf chez 19 patients, opérés d'hallux valgus entre  mai 2009 et janvier 2013. Le recul moyen était de 22,5 mois (3-42 mois). L'âge moyen des patients au moment de l'intervention était de 49 ans, avec des extrêmes de 19 et 75 ans. Tous les patients ont  bénéficié d'une évaluation clinique et radiologique préopératoire et postopératoire ainsi qu’une analyse  statistique. Au dernier recul, selon des critères subjectifs, nos résultats étaient très satisfaisants dans 42%, satisfaisants dans 52% et déçus dans 6%, et en fonction du score de l’AOFAS, les résultats étaient nettement améliorée avec un AOFAS préopératoire de 57 % à 84% en postopératoire. Concernant les résultats radiologiques, la déformation métatarsophalangienne (angle M1P1) a été corrigée (43,63 °-12,8°) avec une p très significative (p <0,001). D’autre part une amélioration de l’Angle moyen M1M2, passer de 18,18° préopératoire à 12,95° au dernier recul, avec une correction significative (p <0,001). Le valgus épiphysaire de premier métatarsien (AADM) a été statistiquement amélioré (p <0,001), passer de 24,45° à 7,91°.Concernant les complications nous avons noté un cas de sepsis précoce superficiel géré par une antibiothérapie adaptée, deux cas de névrome et un cas d’ostéonécrose. Par contre on n’a pas noté aucune fracture per opératoire du premier métatarsien. Nous concluons que l’ostéotomie de Scarf est une technique reproductible fiable, en pleine évolution.Key words: Hallux valgus, ostéotomie, Scar

    Hip Arthroplasty in a Patient with Transfemoral Amputation: A New Tip

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    Femoral fractures in amputation stump are challenging injuries to manage. The authors describe a case of a 51-year-old patient with a right above knee amputation, who had a right hip femoral neck fracture. In this technical note, we describe a technical and surgical procedure with intraoperative tips and tricks, in which we use commonly available materials, for the safe management in such clinical situations

    Juxta-Articular Myxoma of the Knee Joint

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