17 research outputs found

    Variation of whole body amino acid profile in Eurasian perch Perca fluviatilis L. reared in an inorganic fertilized pond

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    Ten thousand eggs of Eurasian perch ready to hatch were stocked in a cage in a pond where zooplankton population was abundant. The pond was fertilized at the beginning and every week until day 85, with superphosphate and ammonium sulphate to obtain 30 μg l-1 for phosphorus and 600 μg l-1 of nitrogen. This fertilization is known to maintain abundant zooplankton for fish growth, without low dissolved oxygen, high ammonia and pH occurring regularly in fertilized pond, due to blue-green phytoplankton bloom. Water quality was monitored through measurement of temperature, dissolved oxygen, pH, nitrogen, phosphorous and chlorophyll a. Samples of fish were analyzed on the Water Pico-Tag amino acid analysis system. For the study period, survival rate calculated after counting all survival fish reached 7.5%. Final fish body weight averaged 0.850 ± 0.678 g (measured for 600 fish), but some large fish reached up to 2.1 g. During the first week, specific growth rate of fish was very high (SGR = 38% day-1), and then decreased to 8.5% day-1 at harvesting. Average SGR for the whole period was 9.3% day-1. Except glycine, alanine proline and aspartine, whole body amino acid composition remained stable throughout the growing period.Keywords: Water quality, zooplankton, fish growth, protein quality

    Effet de la fertilisation à base des déjections de porc sur la production du zooplancton

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    L’effet de la fertilisation à base des déjections de porc sur la production du zooplancton a été testé dans des seaux en plastique pendant 21 jours. Les milieux fertilisés (T1) et témoins (T0) sont ensemencés en phytoplancton puis en zooplancton (52 ind/l). L’échantillonnage du zooplancton est fait tous les sept (07) jours. De même, les paramètres physico-chimiques et trophique (chlorophylle a) ont été estimés. Les résultats ont montré que les déjections de porc améliorent les propriétés chimiques (nitrite, nitrate, phosphate) et planctoniques des milieux de production (p < 0,05). Ainsi, les milieux fertilisés donnent la meilleure densité maximale zooplanctonique (1071 ind/l) par rapport aux milieux témoins (145 ind/l). La dynamique des peuplements zooplanctoniques indique la dominance des copépodes qui sont les prédateurs des rotifères et des cladocères.Mots clés: Déjections de porc, fertilisation, production du zooplancton, seau en plastique

    Diversité phytoplanctonique et niveau de pollution des eaux du collecteur de Dantokpa (Cotonou-Bénin)

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    La présente étude a été conduite pour apprécier le niveau de pollution des eaux du collecteur de Dantokpa (Cotonou-Bénin) par l’évaluation de la diversité phytoplanctonique en relation avec les caractéristiques physico-chimiques afin de faire ressortir le risque de leur rejet sans traitement dans la lagune de Cotonou. L’analyse des eaux usées prélevées au niveau de trois stations a révélé des teneurs élevées en orthophosphates et en minéraux azotés (ammonium, nitrate et nitrite), une forte conductivité électrique et un faible taux d’oxygène dissous. Au total, 39 espèces phytoplanctoniques ont été identifiées au microscope et surla base des clés d’identification. Cette communauté hétérogène de phytoplancton se répartit dans 5 embranchements (Chlorophytes, Chrysophytes, Cyanophytes, Euglénophytes et Rhodophytes) et 9 classesdominées par les Cyanophycées et les Diatomophycées. La densité phytoplanctonique a été élevée avec une moyenne de 25760 cellules/ml. Les paramètres étudiés témoignent de l’abondance de l’azote, du phosphore et des matières organiques dans les eaux du collecteur. Il est donc nécessaire de les épurer avant leur déversement dans la lagune au risque de provoquer son eutrophisation.Mots clés: phytoplancton, eaux usées, épuration, eutrophisation, Cotonou.

    Effets de substitution des engrais chimiques par Azolla pinnata en riziculture au Nord Bénin

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    La culture du riz au Bénin s’est accrue ces dernières années en raison, de l’importance que prend cette denrée alimentaire dans les ménages et la restauration collective. Cette culture se fait avec des quantités importantes d’engrais chimiques qui, créent des problèmes environnementaux tels que, la pollution des sols et des nappes phréatiques. Azolla, petite fougère aquatique utilisée en riziculture en Asie est, expérimentée dans une exploitation rizicole grâce à des essais de substitution à différentes doses d’engrais. Le dispositif d’évaluation utilisé est composé de blocs à 3 répétitions par traitement comportant 6 traitements. La fertilisation apportée comporte deux fractions : le NPK en fumure de fond au repiquage, et l’urée 30 jours après le repiquage pour les traitements 2, 3, 4 et 5 ; Azolla pour le traitement 1 et l’absence de fertilisation pour le traitement 6 qui est le traitement témoin. La densité de mise en place des plants de riz dans ce dispositif est aux écartements de 20 cm x 20 cm à raison de 3 plants par poquet sur une superficie de 5 m2 par répétition (essai) soit, 15 m2 par traitement. Les mesures de vingt plants fixés et numérotés par casier soit un total de 60 plants identifiés par traitement ont été effectuées sur des plants choisis au centre des casiers pour éviter l’effet de périphérie qui fait développer les plants périphériques mieux que les plants situés au centre des casiers. Les résultats montrent que, la masse de paddy et la masse de matière sèche (production de fourrage) sont significativement plus élevées en fertilisation avec Azolla pinnata qu’en fertilisation chimiques quelque soit la dose d’engrais chimique. L’utilisation de Azolla pinnata permet d’éviter la pollution de l’espace cultivé par lesengrais chimiques et les pesticides.Mots clés: Engrais chimique: N P K et urée, substitution, Azolla, engrais vert, croissance, rendement

    Water quality and productivity of the traditional aquaculture system (whedos) in Oueme delta (Benin)

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    In regard to improve the fish yield of the whedos (traditional fish ponds) by stocking and rearing during the draw-down period, we assessed their water quality comparatively to those of the Oueme River on which they depend. Variables such as pH, K25, NO2- and cladocerans density were similar in both systems while temperature, dissolved oxygen, transparency and microalgal biomass were significantly lower (P<0.05) in the whedos than the river channel. Using multivariate analyses, it was demonstrated that the variability of water quality in the whedos depends not only on their size but also on their width and water height. Moreover, many fish species were observed in the whedos (Clarias, Ctenopoma, Parachanna, Protopterus, Polypterus, Malapterurus, Xenomystus and Brienomyrus) and all display adaptations for survival in low dissolved oxygen conditions. The macrophytes were also abundant in the whedos and very diversified (24 species). In summary, the observations carried out in the whedos during this study show that the quality of their water limits consequently the possibilities to stock many fish species. However, potentiality of improving the fish yield of the whedos by stocking and rearing air breathing fish species during the draw-down period is currently debated.Keywords : Whedo, fisheries management, water quality, plankton, fish stocking

    Partial replacement of fish meal with Azolla meal in diets for Nile tilapia (Oreochromis niloticus L.) affects growth and whole body fatty acid composition

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    The replacement of fishmeal (FM) with Azolla meal (AM) in diets on growth and fatty acid in Nile tilapia, Oreochromis niloticus (initial mean weight: 16.4 g) was studied. Fish were fed with six isonitrogenous (29.2% CP) and isoenergetic (16.9 kJ.g-1) diets containing 0%, 10%, 20%, 30%, 40% and 50% AM respectively, as partial FM substitute. Diet A0 acted as a control. The final weight (51.0-88.3 g), the weight gain (210.8-438.3%) and the SGR (1.3-1.9%day-1) decreased when AM level higher than 10% in diets (P < 0.05). The FCR (1.44 to 2.35) significantly increased when AM level exceeded 20% (P < 0.05). The protein efficiency ratio and the apparent net protein utilization decreased consequently. The fatty acids in the whole fish were significantly influenced by the diets. The replacement of FM by AM produced fish with lower (n-3) highly unsaturated fatty acids mainly docosahexaenoic acid, and higher arachidonic acid (P < 0.05). The n-3/n-6 fatty acid ratio ranged from 0.08 to 0.17, and was lower in fish fed A40 and A50 (P < 0.05). The findings suggest that high AM in diets affects Nile tilapia growth and the fern could be incorporated in diets up to 30% without any adverse effect on fish fatty acid composition. However, alternative additional source of lipid must be used to improve the quality of fish fed AM-diets.Keywords: Azolla, Fish meal replacement, Growth, Fatty acids, Oreochromis niloticus, bioconversio

    Influence de l’état d’eutrophisation de la lagune de Gbèzoumè (Ouidah) sur sa faune aquatique

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    L’objectif de cette étude est de révéler l’influence de l’état d’eutrophisation de la lagune de Gbèzoumè au Bénin, sur sa faune aquatique. Les  mesures des paramètres physico-chimiques de pollution ont été faites insitu et au laboratoire avec des appareils tels que le chromatographe ionique ICS-1000, le multiparamètre pH /Oximètre WTW 340i. La méthode de Lorenzen a été de même utilisée. Il en ressort que les teneurs en oxygène dissous sont insuffisantes (en deçà de 3 mg/L). Les concentrations en nitrites sont par ailleurs au-delà de la normale. Les teneurs en chlorophylle ont révèlé que la lagune de Gbèzoumè est eutrophe. C’est ce qui a donc influencé négativement l’état physiologique des espèces de poissons échantillonnées.© 2013 International Formulae Group. All rights reserved.Mots clés : eutrophisation, oxygène dissous, paramètres physico-chimiques, Bénin

    Survival and growth of Clarias gariepinus larvae fed with freshwater zooplankton from pig dung

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    Survival and growth performance of Clarias gariepinus larvae fed with freshwater zooplankton was compared to those fed with Artémia salina. Clarias gariepinus larvae at the end of yolk sac resorption with 2.8 ± 0.1 mg initial weight were fed ad libitum to live zooplankton for 08 days in concrete basins (without water renewal). The latter were regrouped in two treatments (T1 and T2) of three replicates each. The treatment T2 basins were previously fertilized with pig dung for mass production of freshwater local zooplankton. The treatment T1 larvae were fed with Artémia nauplii whereas those of T2 were fed with freshwater local zooplankton. The average final weight and the specific growth rate of larvae fed with Artemia (respectively 9.74 ± 0.20 mg and 15.49 ± 0.26%.day-1) were significantly different (p ˂ 0.05) from those raised with freshwater zooplankton (respectively 8.93 ± 0.31 mg and 14.40 ± 0.43%.day-1). Freshwater local zooplankton produced with pig dung was proved efficient for feeding early stage of African catfish clarias gariepinus larvae rearing, in fertilized concrete basin without water renewal. It could be used in substitution to the Artemia which was not accessible to rural pisciculturists.Keywords: Clarias gariepinus, freshwater zooplankton, growth, pig dung, survival.RESUMELes performances de survie et de croissance des larves de Clarias gariepinus nourries au zooplancton d’eau douce ont été comparées avec celles des larves nourries à Artémia salina. Des larves de Clarias gariepinus en fin de résorption du sac vitellin de poids initial de 2,8 ± 0,1 mg sont nourries ad libitum au zooplancton vivant pendant 08 jours dans des bassins en béton (sans renouvellement d’eau). Ces derniers sont regroupés en deux traitements (T1 et T2) de trois réplicas chacun. Les bassins du traitement T2 sont préalablement fertilisés avec des déjections de porc pour une production massive du zooplancton local d’eau douce. Les larves du traitement T1 sont nourries aux nauplii d’Artémia tandis que celles du traitement T2 sont nourries au zooplancton local d’eau douce. Le poids final moyen et le taux de croissance spécifique des larves nourries à Artemia (respectivement de 9.74 ± 0.20 mg et 15.49 ± 0.26%.j-1) sont significativement différents (p < 0.05) de ceux des larves élevées avec du zooplancton d’eau douce (respectivement de 8.93 ± 0.31 mg et 14.40 ± 0,43%.j-1). Le zooplancton local d’eau douce produit avec les déjections de porc s’est révélé efficace pour l’alimentation des premiers stades de l’élevage larvaire du poisson-chat africain Clarias gariepinus dans des bassins fertilisés sans renouvellement d’eau. Il peut donc être utilisé en substitution de l’Artémia qui n’est pas accessible aux pisciculteurs ruraux.Mots clés : Clarias gariepinus, croissance, déjections de porc, survie, zooplancton d’eaudouce

    Effect of pig dung fertilizer on zooplankton production

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    Objectives: To test the effect of pig dung fertilizer on zooplankton production in research station on wetlands at the University of Abomey-Calavi in Benin.Methodology and Results: The fertilization was carried out using pig dung inside treatment T1 buckets, whereas the control medium (T0) was not fertilized. The medium was seeded with phytoplankton. Each bucket was seeded with zooplankton with initial density of 52 individual/l. The zooplankton density evolution was followed through sampling every seven days from the seeding. The trophic and physico-chemical parameters were recorded. The pig dung utilization improved the chemical properties of the medium water. That fertilization had a significant effect (p < 0.05) on plankton production. Thus, the fertilized media offered the best phytoplankton biomass and the best zooplankton maximum density of 1071 individual/l.Conclusions and application of findings: The zooplankton production is realizable with pig dung. The dynamic of zooplankton population, points out copepods dominance which are rotifers and cladocerans predators.Key-words: pig dung, fertilization, zooplankton productio

    Recherche de la dose optimale des dejections de porc pour la production plurispecifique du zooplancton

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    Différentes doses de déjections de porc ont été utilisées pour la production plurispécifique du zooplancton dans le but de déterminer la dose optimale. En effet, cinq doses ont été testées (D0 = 0 g.m-3 ; D1 = 300 g.m-3 ; D2 = 600 g.m-3 ; D3 = 900 g.m-3 et D4 = 1200 g.m-3) dont un témoin. Les milieux de culture sont ensemencés en phytoplancton puis en zooplancton (21,05 μg.l-1). L’évolution de la densité zooplanctonique est suivie, tous les 07 jours, pendant 28 jours. De même, les paramètres physico-chimiques et trophique ont été appréciés. Les résultats ont montré que la production primaire est élevée dans les milieux fertilisés avec les doses D2, D3 et D4. La meilleure production de la biomasse zooplanctonique est obtenue avec la dose D2 (423,33 ± 432,62 μg.l-1) ; mais la différence n’est pas significative avec les autres doses (p > 0,05). De même, cette dose permet de maintenir constante la densité maximale zooplanctonique pendant 07 jours. La dose de 600 g.m-3 des déjections de porc sèches est donc la dose optimale, à utiliser, pour la production plurispécifique et massive du zooplancton.Mots clés: Déjections de porc, dose optimale, production du zooplancton
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