1,735 research outputs found

    Article "injure"

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    article "injure" paru dans le Dictionnaire de la Violence de Michela Marzano (did.), Paris, PUF. ISBN978-2-13-057734-8Approche du sens linguistique de l'injure, par distinction avec d'autres termes, dont insulte, cet article s'intéresse plus particulièrement au caractère performatif de l'injure et à ses effets

    Tabous et temporalité : la dimension interculturelle du temps

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    International audienceLangue et culture sont interdépendantes. Cette publication rend compte de situations relatives à la didactique des langues et de la littérature dont l'analyse révèle que les problématiques interculturelles de l'enseignement du Français Langue Etrangère sont comparables à celles rencontrées dans un cadre d'enseignement de français langue maternelle. Elle aborde en particulier la question du politiquement correct. Elle montre que la problématique de l'interculturel existe également sur le plan temporel et joue un rôle dans les incompréhensions intergénérationnelles, révélant la nécessité constante d'une conscience diachronique/épistémologique

    Violence verbale dans le discours des mouvements antagonistes : le cas de ‘Mariage pour tous’ et ‘Manif pour tous’

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    International audienceEn France, le vote du Mariage pour tous a permis au mouvement de la manif pour tous d’émerger. Ce mouvement continue d’exister comme mouvement d’action collective cherchant à exercer une pression normative sur les représentations sociales des identités sexuées et de la famille à travers une idéologisation de la langue. Nous nous intéressons ici à la violence verbale liée à ce phénomène ainsi qu’au processus de « re-signification » utilisé par les contre-discours. Force est de constater la manière dont les valeurs, les espaces, les discours semblent se répartir en fonction d’un système en opposition binaire, dichotomique. Ainsi, au discours de la manif pour tous qui procède par une focalisation sur certains termes pour en contrôler le sens, répondent des contre-discours, créatifs, anti-normatifs, qui tendent au contraire à ouvrir sur de nouveaux sens

    L'adhésion comme événement personnel et historique.: L'exemple des verts

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    édité par Ballardini, E., Pederzoli, R., Reboul-Touré, S., Tréguer-Felten, G.International audienceThe event would be that which arises without any logic, by the fact of the most total chance. Most of what we call events are not, because they are long-standing facts. Any fact which one can expect cannot be, thus, event. So we start from the premise that the event as such does not exist: it is always the result of a process. "A fragment of reality, the event is just as much manufacturing as it is manufactured" (Farge 1997: 1). We wonder about the fact that political action only exists first of all through event-driven speech (perhaps excluding terrorist action) in which we can or not to join, and for which one can or not to commit. From a personal point of view, the fact of engaging then joining a party is an action, a setting in motion (political), which can be described as a datable fact, result of an event process own individual biography. So we propose to reflect on political engagement as an event, from the perspective of a theory of action, in the sense that political engagement can be defined as a setting in motion from a particular fact playing the role motive or driving force in the decision to engage. In this context the event as such does not exist; there is only the fact of participating in the event process which allows what we call event (media, international politics, election, natural disasters, attacks, etc.) to occur. We will seek to know if this fact, isolated in discourse, can be categorized and, more generally, if we can identify discursive categories of events suitable for triggering political engagement. For this, we worked in the perspective of discourse analysis from a corpus of 42 semi-open individual interviews carried out with French (22) and Italian (20) green environmental activists carried out between 2000 and 2002.L'événement serait ce qui surgit sans aucune logique, par le fait du hasard le plus total. La plus grande partie de ce que nous appelons événement n'en sont pas, car ce sont des faits préparés de longue date. Tout fait auquel on peut s'attendre ne saurait être, ainsi, événement. Aussi partons-nous du postulat que l'événement en tant que tel n'existe pas : c'est toujours le résultat d'un processus. " Fragment de réalité, l'événement est tout autant fabriquant que fabriqué " (Farge 1997 : 1). Nous nous interrogeons sur le fait que l'action politique n'existe d'abord que par l'intermédiaire d'une mise en discours événementielle (à l'exclusion peut-être de l'action terroriste) à laquelle l'on peut ou non adhérer, et pour laquelle on peut ou non s'engager. D'un point de vue personnel, le fait de s'engager puis d'adhérer à un parti est une action, une mise en mouvement (politique), que l'on peut décrire comme un fait datable, résultat énoncé d'un processus événementiel biographique individuel propre. Aussi proposons nous de réfléchir sur l'engagement politique comme événement, dans la perspective d'une théorie de l'action, au sens où l'engagement politique peut se définir comme une mise en mouvement à partir d'un fait particulier jouant le rôle de motif ou de moteur dans la décision de s'engager. Dans ce cadre l'événement en tant que tel n'existe pas ; seul existe le fait de participer au processus événementiel qui permet à ce que nous appelons événement (médiatique, politique internationale, élection, catastrophes naturelles, attentats, etc.) de survenir. Nous chercherons à savoir si ce fait, isolé dans le discours, peut-être catégorisé lors de son énonciation et, plus généralement, si l'on peut dégager des catégories discursives d'événements propres à déclencher l'engagement politique. Pour cela, nous avons travaillé dans la perspective de l'analyse de discours à partir d'un corpus de 42 entretiens individuels semi ouverts réalisés avec des militants écologistes verts français (22) et italiens (20) réalisés entre 2000 et 2002

    De la communication chimique à la parole

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    International audienceEach language is developed by a specific species. Languages are functional. And so is the spoken articulated human language. They appear to be used as tools for the survival of each individual among the different species. There are probably many reasons to the origins of the Human spoken language. Assuming it is the result of a long and slow global evolution seems right. The great apes who came just before did not speak, but used other languages. The Human race developed spoken language against and over other diverse possible languages. We notice that animals use a chemical language that they all are very able to distinguish and use in a very sure manner, except for Humans. Crossing various researches in linguistics, ethology, neuropsychology and biology, leads us to think that the reasons the spoken articulated human language appeared are correlated to the simultaneous disappearance of the use of chemical languages by humans called pheromones.Les langages sont spécifiques aux espèces qui les développent. Ils possèdent une dimension fonctionnelle, liée à la survie des individus au sein d'une espèce. C'est également le cas de la langue parlée articulée humaine. Les origines du langage parlé chez l'Homme sont probablement multiples, et son émergence le résultat d'une longue et lente évolution générale. Les grands singes qui ont immédiatement précédés l'homme ne parlaient pas, mais utilisaient d'autres langages. L'espèce humaine a sans doute développé la parole au détriment d'autres aptitudes langagières, diverses. Le croisement des données issues des travaux actuels en linguistique, éthologie, neuropsychologie et biologie nous conduit à proposer l'émergence d'un langage parlé articulé chez l'homme comme conséquence simultanée de la disparition d'une utilisation animale et récurrente d'un langage chimique - les phéromones - que tous les animaux sont capables de distinguer de façon sûre, sauf, apparemment, l'Homme

    L’attaque courtoise : un modèle d’interaction pragmatique au service de la prise de pouvoir en politique

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    International audienceNotre modèle théorique est celui de la violence verbale tel qu’il a été développé par Moïse, Auger, Romain, Fracchiolla depuis 2004 (en particulier Fracchiolla et al., 2013ab ; Moïse et al., 2008abc). Il s’inscrit dans le cadre d’analyse de la linguistique interactionnelle et du concept de face décrit par Goffman (1973ab) qui a établi que toute rencontre sociale est potentiellement menaçante pour la face des interlocuteurs. Goffman (1973b) nomme travail de figuration ce qui consiste pour tout..

    Novel method to quantify physical dose enhancement due to gold nanoparticles in proton therapy

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    Investigation into the effects of high-Z nano materials in proton therapy

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    High-Z nano materials have been previously shown to increase the amount of dose deposition within the tumour due to an increase in secondary electrons. This study evaluates the effects of high-Z nano materials in combination with protons, and the impact of proton energy, nanoparticle material and concentration. These effects were studied in silico through Monte Carlo simulation and experimentally through a phantom study, with particular attention to macroscale changes to the Bragg peak in the presence of nanoparticles. Three nanoparticle materials were simulated (gold, silver and platinum) at three concentrations (0.01, 0.1 and 6.5 mg ml(-1)) at two clinical proton energies (60 and 226 MeV). Simulations were verified experimentally using Gafchromic film measurements of gold nanoparticles suspended in water at two available high concentrations (5.5 mg ml(-1) and 1.1 mg ml(-1)). A significant change to Bragg peak features was evident, where at 226 MeV and 6.5 mg ml(-1), simulations of gold showed a 4.7 mm longitudinal shift of the distal edge and experimentally at 5.5 mg ml(-1), a shift of 2.2 mm. Simulations showed this effect to be material dependent, where platinum having the highest physical density caused the greatest shift with increasing concentration. A dose enhancement of 6%  ±  0.05 and 5%  ±  0.15 (60 MeV and 226 MeV, respectively) was evident with gold at 6.5 mg ml(-1) to water alone, compared to the 21%  ±  0.53 observed experimentally as dose to film with 5.5 mg ml(-1) of gold nanoparticles suspended in water at 226 MeV. The introduction of nanoparticles has strong potential to enhance dose in proton therapy, however the changes to the Bragg peak distribution that occur with high concentrations need to be accounted for to ensure tumour coverage
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