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    The use of a national macro-environmental framework in selecting the appropriate airport ownership and management model.

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    The continuous increase in air traffic has placed pressure on governments to develop their airports in order to accommodate increasing demand. As a result, governments are opting to implement different airport ownership and management models, especially privatization, to finance the development of projects, improve operational and financial efficiency, and to enhance the quality of service of their airports. However, it has been observed that this trend towards airport privatization, especially in developing countries, has to a large extent been guided by international consultants who seldom appreciate local political, cultural and economic contexts within which airports are managed. Consequently, there have been many examples of privatization transactions, not achieving the required and expected outcomes. Therefore, this study proposes a framework to identify the airport ownership and management model that best suits the local circumstances of a country. The framework is based on five national macro-environmental factors that are found to be significantly influencing the efficiency of airports. These national macro-environmental factors are identified by first measuring the efficiency of a sample of international airports using Data Envelopment Analysis (DEA), and secondly by conducting a truncated regression coupled with Simar and Wilson bootstrapping technique to test the significance of a set of national macro-environment factors on airport efficiency. The identification of these factors fills in the gap in the literature that is related to the relationship between the airport performance and non-discretionary variables. Finally, the proposed framework helps policymakers to identify which ownership and management model is most appropriate given prevailing national macro-environmental conditions.PhD in Transport System

    Fracture Mechanics for Delamination on Composite Structures in Compression

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    Variable wing span using the compliant spar concept

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    Claudien et la parole politique : de la délégation de parole dans l'invective à la parrhêsia

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    International audienceDans ses poèmes politiques, et particulièrement dans le Contre Rufin, Claudien entend imposer l’action de Stilicon à un public qui ne lui est pas forcément acquis, et attaquer en Rufin une figure légitime du gouvernement de l’Empire : comment imposer sa voix dans un contexte historique et politique qui limite la liberté de parole ? La uox poetae n’est pas la seule à retentir dans ce poème : l’objectif de cet article est de déterminer comment les passages de discours direct des personnages permettent au poète de dire ce qu’il ne peut pas dire en son nom. Notre démonstration s'appuie sur les similitudes thématiques, stylistiques et linguistiques qui rapprochent les propos du poète et les propos rapportés des personnages. En brouillant les frontières entre récit et discours des personnages, Claudien fait de ces derniers des doubles d’un narrateur d’épopée, et donne à son propos encomiastique ou polémique le souffle de la voix épique. Et, par des effets d’échos et de structure, des figures d’autorité viennent confirmer la vision politique de Claudien, tandis que le discours de ses cibles, en s’annulant lui-même, vient décrédibiliser celles-ci. Entre modèles et contre-modèles, les personnages servent de relais et confirment ou complètent ce que dit le poète lui-même, selon le degré d’irrévérence du contenu. Chez Claudien, la délégation de parole ouvre sur la parrhêsia, parce qu’elle masque la parole du poète : grâce à elle, il parvient à dépasser la poésie de circonstance et à tenir un discours qui ne soit pas seulement le reflet du discours officiel, mais bien un discours qui porte sa vision personnelle du pouvoir impérial et de Rome
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