12 research outputs found
Mise en évidence du PSTvD et TCDVd en France sur plantes ornementales et culture de tomates
International audienc
Total arterial compliance estimated by stroke volume-to-aortic pulse pressure ratio in humans
On the basis of the windkessel model, the stroke volume-to-aortic pulse pressure ratio (SV/PP) has been proposed as an estimate of total arterial compliance, but recent studies have questioned this approximation. Aortic pressure was obtained at rest in 31 adults undergoing cardiac catheterization (47 ± 14 yr): controls ( n = 7), patients with dilated cardiomyopathy ( n = 10), and patients with other cardiac diseases ( n = 14). We calculated PP, mean aortic pressure (MAoP), heart period ( T), SV (thermodilution cardiac output/heart rate), total peripheral resistance ( R), total arterial compliance estimated by area method ( Carea), and the time constant of aortic pressure decay in diastole ( RCarea). In the overall population ( n = 31), there was no significant difference between SV/PP and Carea. SV/PP was linearly related to Carea(SV/PP = 0.99 Carea+ 0.05; r = 0.98; P < 0.001); the slope and intercept did not differ from unity and zero, respectively. Similar results were obtained in the three subgroups. These results implied that PP/MAoP and T/ RCareawere proportionally related ( T/ RCarea= 1.18PP/MAoP − 0.07; r = 0.96; P < 0.001). We conclude that for humans at rest 1) SV/PP gave a reliable estimate of Carea, and 2) T normalized by the time constant of aortic pressure decay in diastole was proportionally related to PP/MAoP. This last relationship could be considered an aspect of the coupling between the left ventricle and its load.</jats:p
Severe acute respiratory coronavirus virus 2 (SARS-CoV-2) seroconversion and occupational exposure of employees at a Swiss university hospital: A large longitudinal cohort study
AbstractBackground:The dynamics of coronavirus disease 2019 (COVID-19) seroconversion of hospital employees are understudied. We measured the proportion of seroconverted employees and evaluated risk factors for seroconversion during the first pandemic wave.Methods:In this prospective cohort study, we recruited Geneva University Hospitals employees and sampled them 3 times, every 3 weeks from March 30 to June 12, 2020. We measured the proportion of seroconverted employees and determined prevalence ratios of risk factors for seroconversion using multivariate mixed-effects Poisson regression models.Results:Overall, 3,421 participants (29% of all employees) were included, with 92% follow-up. The proportion of seroconverted employees increased from 4.4% (95% confidence interval [CI], 3.7%–5.1%) at baseline to 8.5% [(95% CI, 7.6%–9.5%) at the last visit. The proportions of seroconverted employees working in COVID-19 geriatrics and rehabilitation (G&R) wards (32.3%) and non–COVID-19 G&R wards (12.3%) were higher compared to office workers (4.9%) at the last visit. Only nursing assistants had a significantly higher risk of seroconversion compared to office workers (11.7% vs 4.9%; P = .006). Significant risk factors for seroconversion included the use of public transportation (adjusted prevalence ratio, 1.59; 95% CI, 1.25–2.03), known community exposure to severe acute respiratory coronavirus virus 2 (2.80; 95% CI, 2.22–3.54), working in a ward with a nosocomial COVID outbreak (2.93; 95% CI, 2.27–3.79), and working in a COVID-19 G&R ward (3.47; 95% CI, 2.45–4.91) or a non–COVID-19 G&R ward (1.96; 95% CI, 1.46–2.63). We observed an association between reported use of respirators and lower risk of seroconversion (0.73; 95% CI, 0.55–0.96).Conclusion:Additional preventive measures should be implemented to protect employees in G&R wards. Randomized trials on the protective effect of respirators are urgently needed.</jats:sec
Severe acute respiratory coronavirus virus 2 (SARS-CoV-2) seroconversion and occupational exposure of employees at a Swiss university hospital: A large longitudinal cohort study
The dynamics of coronavirus disease 2019 (COVID-19) seroconversion of hospital employees are understudied. We measured the proportion of seroconverted employees and evaluated risk factors for seroconversion during the first pandemic wave
De l’étranger à l’étrange ou la conjointure de la merveille
Le colloque dont les communications sont ici publiées a eu pour ses participants une tonalité particulière. Et le Président de l'Université de Provence a tenu à être présent à l'ouverture des travaux. Cette rencontre était en effet dédiée à deux des membres fondateurs du C.U.E.R. M.A., Marguerite ROSSI et Paul BANCOURT. Ces collègues vont bientôt cesser d'enseigner. Il ne s'agira de retraite que sur le plan administratif puisqu'ils continueront tous les deux, nous le savons, leurs activités scientifiques, en particulier dans le cadre du C.U.E.R. M.A. Ainsi donc avons-nous travaillé cette année sur le thème de l'étrange et de l'étranger, domaines qu'ont particulièrement explorés nos deux collègues dans leurs travaux antérieurs
Par la fenestre
Les auteurs de ces contributions aux Actes du colloque du CUER MA (2002) explorent des domaines variés de la civilisation médiévale : histoire, droit, médecine, théologie, littérature, peinture. Par les textes juridiques et des documents d'archives divers, il apparaît que la fenêtre est une frontière par laquelle tente de se définir le territoire de chacun. Les traités médicaux sur la peste montrent à quel point la fenêtre est perçue comme un lieu ambigu par où peut entrer un air vicié ou sain. L'imagination et la réflexion font de cette béance dans le mur l'espace de la marginalité, mais aussi du passage possible vers un autre monde, que ce soit par les moyens de l'écriture, de la peinture ou de l'art du vitrail. Les études littéraires sur l'emploi de ce motif de « la vue par la fenêtre » portent sur l'épopée, le roman, la lyrique, l'hagiographie, le théâtre. Les variations textuelles que suscite ce motif témoignent d'une littérature qui réfléchit sur ses moyens et offre des points de vue sur le texte en train de se construire
Tendances actuelles de la critique en médiévistique
Pour ce nouveau numéro, Perspectives Médiévales a souhaité engager la réflexion sur les tendances actuelles de la pensée critique et de la recherche en médiévistique. Plusieurs axes ont été envisagés : la théorie littéraire, l'interdisciplinarité, la recherche à l'étranger. Nos lecteurs trouveront ici des coups de projecteur qui n'ont aucune prétention à l'exhaustivité. Mais nous espérons apporter quelques pierres destinées à construire la réflexion dans un débat qui n'est malheureusement pas encore assez au cœur de notre réflexion sur notre discipline : quelles relations la médiévistique entretient-elle avec la théorie littéraire ? On trouvera dans ce numéro des contributions qui brossent un passionnant panorama des rapports que la médiévistique a entretenu avec la théorie littéraire et de la façon dont elle s'est développée au XXe siècle (Patrick Moran et Alain Corbellari). Le développement récent des études de réception du fait littéraire médiéval vu au prisme du "médiévalisme" et de la "médiévalité" pose des questions cruciales d'ordre épistémologique que cernent avec acuité Michèle Gally et Vincent Ferré. Le point de vue de Mihaela Voicu et de Cătălina Gîrbea expose quant à lui une histoire de la médiévistique face aux vicissitudes politico-historiques d'un pays, la Roumanie, qui n'a jamais adbiqué sa passion pour l'étude du Moyen Âge. Marie Bouhaïk-Gironès et Estelle Doudet démontrent avec enthousiasme, précision et nuance l'apport d'une approche interdisciplinaire à notre connaissance du théâtre médiéval, non seulement genre littéraire, mais aussi pratique sociale et fait anthropologique. De même, Marion Uhlig apporte un éclairage essentiel sur la fécondité et les limites de la rencontre entre médiévistique et études post-coloniales, un domaine critique largement ignoré en France et largement frayé outre-atlantique. On trouvera enfin des contributions qui rouvrent les dossiers de champs critiques anciens et parfois délaissés pour discuter de leur actualité dans le champ littéraire médiéval : les approches junguienne (Leonardo Hincapié), griswardienne (Andrea Ghidoni) et l'anthropologie de Victor Turner (Teodoro Patera). Si l'on a pu parler à leur sujet d'effet de mode, quel bilan tirer de leur intérêt et de leur efficacité en terme d'analyse littéraire des dizaines d'années après leur élaboration ? Sébastien Douche
Cultiver les lettres médiévales aujourd'hui
À un moment où la transmission des savoirs et la formation des enseignants sont en pleine redéfinition, où les humanités connaissent une crise de légitimité, le numéro 36 de Perspectives médiévales interroge la place des lettres médiévales dans l’enseignement, la société et la cité. Quelle pertinence y a-t-il à cultiver les lettres médiévales aujourd’hui ? Quels enjeux y a-t-il à les soigner, les faire croître et embellir ? Quels fruits le monde contemporain peut-il récolter de la culture des lettres médiévales ? Les contributions de ce numéro réfléchissent aux voies de transmission et de médiation de la langue et de la littérature du Moyen Âge, à travers plusieurs axes. L’enseignement d’abord, primaire, secondaire et universitaire, en France et à l’étranger : quelle place est donnée, quelle place faut-il donner à la littérature médiévale, et comment inventer ou réinventer démarches pédagogiques et didactiques ? Comment transmettre aux élèves et aux étudiants le goût du Moyen Âge, comment s’appuyer sur le pouvoir de dépaysement de cette période tout en en éclairant la pertinence pour le monde contemporain ? Les productions et pratiques culturelles ensuite : la littérature médiévale est connue du « grand public » par le biais d’écritures ou de réécritures qui convoquent, rappellent, hybrident les langues et les textes. Ses supports matériels, manuscrits et images, prennent place à la fois dans des expositions muséales et savantes, et dans l’imagerie véhiculée par différents médias. Le numéro accorde une large place à des témoignages et des entretiens portant sur des modes divers d’incarnation des textes du Moyen Âge : adaptations, créations ou recréations musicales et théâtrales, visant à incarner et à revivifier les lettres médiévales. Sébastien Douchet avec la collaboration de Sophie Albert et de Patricia Victori
