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Caryotype de Glossina palpalis gambiensis, Vanderplank, 1949 : comparaison avec d'autres espèces du groupe palpalis et du groupe morsitans
Glossina palpalis gambiensis possède, comme les autres espèces du sous-genre Nemorhina (Groupe palpalis), quatre autosomes (2 L1 + 2 L2) et deux chromosomes sexuels (XX ou XY). Les espèces du sous-genre Glossina (Groupe morsitans), possèdent en outre un jeu de petits chromosomes surnuméraires, hétérochromatiques, dont le nombre varie d'une espèce, ou sous-espèce, à l'autre. Les euchromosomes (L1, L2, X) sont très semblables dans les deux sous-genres. Par contre, le chromosome Y, hétérochromatique, est presque acrocentrique chez G. f. fuscipes et G. m. morsitans, alors qu'il est métacentrique chez G. p. gambiensis, G. p. palpalis, G. tachinoides, G. austeni, G. m. submorsitans et G.m. centrali
Stérilisation des mâles de Glossina tachinoides West. par irradiation aux rayons gamma
Dans la perspective d'une application pratique de la méthode de lutte par lâchers de mâles stériles, les conséquences de l'irradiation gamma de mâles adultes de Glossina tachinoides West, ont été étudiées. Les doses d'irradiation optimales se situent entre 15500 et 17000 rads. A ces doses, la stérilité des mâles est totale, mais leur vigueur sexuelle n'est pas diminuée et leur longévité demeure satisfaisante. Ces doses sont inférieures à celles qui sont nécessaires pour obtenir une stérilité totale chez les mâles de Glossina morsitans morsitans News
L'appareil reproducteur mâle des glossines (Diptera-muscidae) : les étapes de sa formation chez la pupe la spermotogénèse
Revue des connaissances actuelles sur la cytogénétique des glossines (Diptera)
Les caryotypes de douze espèces de Glossines ont été décrits par différents auteurs, au cours des six dernières années. Toutefois, parmi celles-ci, sept espèces seulement ont été relativement bien étudiées: deux espèces du groupe palpalis (G. fuscipes fuscipes et G. tachinoides), quatre espèces du groupe morsitans (G. m. morsitans, G. m. centralis, G. m. submorsitans et G. austeni) et une espèce du groupe fusca (G. fusca congolensis) La carte des chromosomes polyténiques a pu, en outre, être établie chez une espèce (G. m. morsitans) (Résumé d'auteur
Piroplasmose du porc : infection naturelle à Piroplasma trautmanni Knut et du Toit, 1921, à Bambari (République Centrafricaine)
A Bambari (République centrafricaine) chez une truie soignée pour une métrite, il a été observé une infestation à Piroplasma trautmanni. Les tiques récoltées appartiennent à l'espèce Rhipicephalus senegalensis. L'auteur, après une étude morphologique du parasite, présente une série de microphotographies des différentes formes parasitaire
L'élevage de Glossina palpalis gambiensis Vanderplank, 1949 (Diptera-Muscidae) à Maisons-Alfort
Un élevage de Glossina palpalis gambiensis a débuté, en juillet 1972, au laboratoire d'entomologie de l'IEMVT, à Maisons-Alfort (France) à partir de 126 femelles parentales issues de pupes et femelles sauvages récoltées en Haute-Volta. Cet élevage a été créé dans le but d'étudier, en laboratoire, la biologie de cette espèce et les conditions de production en élevage de masse, en vue d'une application, en Haute-Volta, de la technique de lutte par lâchers de mâles stériles. L'auteur fait le point des résultats obtenus depuis l'origine de l'élevage jusqu'en septembre 1975. La souche a été en "phase d'expansion" pendant 2 ans (août 1972-août 1974), avec un coefficient d'accroissement moyen de 0,00672. Depuis août 1974, les effectifs sont maintenus à un niveau moyen constant de 4 800 femelles environ, par retrait des pupes ou adultes en excédent (3 000 pupes et 180 femelles environ par mois). Ces résultats permettent de faire des prévisions pour l'établissement d'un élevage de masse de cette espèce en Afriqu
Marquage des Glossines au moyen de radio-isotopes
Quatre radio-isotopes injectés, par voie intraveineuse, au lapin utilisé comme animal hôte, ont été expérimentés pour le marquage des glossines, dans le but d'étudier, sur le terrain, La dynamique des populations. Les radioéléments étudiés sont: le Chrome 51, le Cobalt 57, le Fer 59 et le Zinc 65. Les deux premiers corps ont une vitesse d'élimination trop rapide pour présenter un intérêt comme marqueur chez les glossines. Le Fer 59 et le Zinc 65 présentent par contre des propriétés très intéressantes pour le marquage des glossines. Le repas radioactif doit être cependant pris par 1'1mecte avant la 4"-' heure suivant l'injection au lapin pour 1e Fer 59, avant la 3e heure pour le Zinc 65. Ces isotopes ne présentent, aux doses utilisées, aucune toxicité ni pour le donneur de sang, ni pour les insectes ayant absorbé ces radioéléments. Les glossines marquées sont détectables pendant plus de 5 semaines. Les femelles cèdent une partie de leur radioactivité à leurs descendants. Ceux-ci sont ainsi marqués et peuvent être détectés pendant une longue période. (Résumé d'auteur
Une nouvelle technique de dissection rapide des glandes salivaires et de l'intestin des glossines
Enquête entomologique dans la région des savanes (République du Togo)
La répartition des glossines, dans la région des savanes, se caractérise par: 1. - Absence de Gl. morsitans, tout au moins dans l'étendue des zones prospectées. 2. - Présence de Gl. tachinoides et de Gl. palpalis gambiensis, qui coexistent fréquemment. Ces deux espèces se rencontrent dans une végétation de type galerie, mais fixées à proximité de points d'eau permanents. Gl. tachinoides est l'espèce dominante. Du fait de l'absence de Gl. morsitans, l'élevage des bovins est possible dans les savanes comprises entre les cours d'eau. On donne d'autre part une liste des espèces de Tabanidae capturés au cours de cette enquêt
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