98 research outputs found

    Pedoclimatic, knowledge and management factors drive European soybean and faba bean yields

    Get PDF
    The low usage of grain legumes in European cropping systems is often attributed to yield gaps due to limiting pedoclimatic conditions, sub-optimal management practices, and farmers’ limited experience and knowledge in growing these crops. The relative contributions of these factors to current grain legume yield gaps at European scale and, in particular, the difference between yields achieved by experienced farmers and those achieved by novices remain unknown. We therefore explored the relationship between yields and these different factors, to identify areas where farmers require more support to close the yield gaps in grain legume production. To this purpose, we conducted a large-scale online farmer survey in nine European countries with a focus on soybean and faba bean. For both crops, classification and regression tree analysis identified country of production as the primary explanatory variable of yield variation and confirmed the hypothesis that greater experience and knowledge is associated with higher yields. However, the effect of several factors differed between the crops, showing the need for legume-specific strategies. Experience and knowledge were particularly important for soybean, although also relevant for faba bean in low-yielding environments. Other important factors identified to determine yield for soybean included farm specialization, agroclimatic zone, the number of years growing grain legumes and the size of farmland, while for faba bean these important factors were pest management and perceived soil fertility. Farmers highlighted drought, weed infestation, and soil characteristics as having critical impacts on yields for both crops, as well as inoculation and irrigation for soybean. Both soybean and faba bean growers emphasized the need for more information on plant protection and cultivar selection. The results indicate the potential to increase legume yields by supporting farmers in the first years of growing grain legumes, especially for crops that have a shorter history in Europe such as soybean

    Osservatorio comorbidità nei grandi anziani con Fibrillazione Atriale

    Get PDF
    La Fibrillazione Atriale (FA) è una patologia correlata all’età - colpisce il 16% degli ultra ottantacinquenni - che aumenta di circa cinque volte il rischio di ictus cerebrale. La terapia anticoagulante ha un ruolo centrale nel trattamento della FA, e la sua applicazione nel paziente anziano è ostacolata dalla presenza di comorbidità, di politerapia e dalla necessità di gestione delle possibili interazioni farmacologiche. Ulteriori elementi di difficoltà derivano dalla interazione tra diversi specialisti, dall’inerzia prescrittiva, dalla complessità del sistema di accesso alle cure e, non ultimo, anche dalle difficoltà di gestione del paziente anziano in terapia anticoagulante da parte dei caregiver familiari. Obiettivo dell’Osservatorio è stato identificare le problematiche dei pazienti con FA riguardo la gestione della terapia anticoagulante in presenza di diverse patologie e terapie concomitanti, attraverso il contributo del Board multistakeholder, dell’analisi della comunicazione on line sulla FA, nonché a due survey su medici e pazienti. È stato delineato un quadro della condizione dei pazienti anziani con FA e delle difficoltà nella gestione quotidiana della malattia, a partire dal quale sono state formulate alcune proposte di intervento rivolte ai decisori, ai clinici e in generale a tutti coloro che sono chiamati alla gestione concreta della malattia insieme a pazienti e caregive

    Frequency of left ventricular hypertrophy in non-valvular atrial fibrillation

    Get PDF
    Left ventricular hypertrophy (LVH) is significantly related to adverse clinical outcomes in patients at high risk of cardiovascular events. In patients with atrial fibrillation (AF), data on LVH, that is, prevalence and determinants, are inconsistent mainly because of different definitions and heterogeneity of study populations. We determined echocardiographic-based LVH prevalence and clinical factors independently associated with its development in a prospective cohort of patients with non-valvular (NV) AF. From the "Atrial Fibrillation Registry for Ankle-brachial Index Prevalence Assessment: Collaborative Italian Study" (ARAPACIS) population, 1,184 patients with NVAF (mean age 72 \ub1 11 years; 56% men) with complete data to define LVH were selected. ARAPACIS is a multicenter, observational, prospective, longitudinal on-going study designed to estimate prevalence of peripheral artery disease in patients with NVAF. We found a high prevalence of LVH (52%) in patients with NVAF. Compared to those without LVH, patients with AF with LVH were older and had a higher prevalence of hypertension, diabetes, and previous myocardial infarction (MI). A higher prevalence of ankle-brachial index 640.90 was seen in patients with LVH (22 vs 17%, p = 0.0392). Patients with LVH were at significantly higher thromboembolic risk, with CHA2DS2-VASc 652 seen in 93% of LVH and in 73% of patients without LVH (p <0.05). Women with LVH had a higher prevalence of concentric hypertrophy than men (46% vs 29%, p = 0.0003). Logistic regression analysis demonstrated that female gender (odds ratio [OR] 2.80, p <0.0001), age (OR 1.03 per year, p <0.001), hypertension (OR 2.30, p <0.001), diabetes (OR 1.62, p = 0.004), and previous MI (OR 1.96, p = 0.001) were independently associated with LVH. In conclusion, patients with NVAF have a high prevalence of LVH, which is related to female gender, older age, hypertension, and previous MI. These patients are at high thromboembolic risk and deserve a holistic approach to cardiovascular prevention

    Dynamique de l'eau et dissipation de l'isoxaflutole et du dicétonitrile en monoculture de maïs irrigué : Effets du mode de travail du sol et de gestion de l'interculture

    No full text
    Les systèmes intensifs de monoculture de maïs ont conduit à une contamination importante des eaux souterraines et superficielles par les pesticides sur le bassin versant Adour-Garonne. Dans une logique de gestion de ce risque environnemental, l'objectif général de cette thèse est d'apporter des éléments de compréhension de la dynamique de l'eau et du devenir de molécules herbicides sous différentes conduites culturales du maïs. Les molécules herbicides étudiées sont l'isoxaflutole et son produit de dégradation possédant l'action herbicide, le dicétonitrile, qui représentent une solution de remplacement de l'atrazine dans les programmes de désherbage. Quatre systèmes de culture du maïs, croisant deux techniques de travail du sol (technique conventionnelle avec labour vs. technique de conservation avec travail superficiel) avec deux modes de gestion de la période d'interculture (sol nu vs. sol couvert par une culture intermédiaire), sont conduits sur une parcelle agricole située sur un sol limoneux hydromorphe de la vallée alluviale de la Garonne. Les dynamiques de l'eau et des herbicides ont été suivies durant deux années (2005 et 2006) en conditions de plein champ à partir d'un dispositif instrumenté. En complément, une caractérisation détaillée de l'hétérogénéité des propriétés physiques du sol et des mécanismes impliqués dans la dissipation des pesticides, notamment la rétention et la dégradation des pesticides par le sol, a été menée en s'appuyant sur une description morphologique des compartiments de sol créés par les opérations culturales successives. Certains des paramètres obtenus ont ensuite été utilisés dans un travail de modélisation des dynamiques de l'eau et des solutés sur les modalités les plus contrastées (i.e. technique conventionnelle / sol nu et technique deconservation / sol couvert), à l'aide du modèle HYDRUS 2D. Les résultats de suivi au champ montrent un fonctionnement hydrodynamique différencié entre les systèmes de travail du sol en 2005. Un drainage plus important sous les modalités en technique conventionnelle durant la période de culture est mesuré mais demeure sans conséquence significative sur les pertes d'herbicide. En 2006, en revanche, aucun effet lié au travail du sol sur le drainage n'a été mis en évidence. Sur cette année là, les pertes d'eau et d'herbicide ont été plus faibles sous les modalités ayant reçu au préalable un couvert végétal en période d'interculture ce qui peut s'expliquer par un ralentissement de la migration de l'eau et des solutés consécutifs à un assèchement du sol par le couvert. L'étude des capacités d'infiltration en surface dans les différentes modalités a permis de mettre en évidence l'importance de la variabilité temporelle des propriétés hydrodynamiques du sol travaillé qui, selon la période à laquelle les mesures sont conduites, peut induire un biais dans l'estimation de ces propriétés. Les mesures de conductivité hydraulique réalisées dans les profils culturaux indiquent des capacités de conduction de l'eau globalement plus faibles mais plushomogènes en technique de conservation qu'en technique conventionnelle. Le travail du sol à la charrue est en effet à l'origine d'une importante variabilité verticale et latérale des propriétés physiques, variabilité que nous identifions également dans les mesures de teneur en eau immobile du sol, à l'origine d'un transport préférentiel des solutés. Au niveau des pesticides étudiés, la rétention des deux composés est corrélée à la teneur en carbone organique des compartiments de sol concernés, se traduisant par une rétention supérieure en technique de conservation. La dégradation de l'isoxaflutole étant essentiellement abiotique, le travail du sol n'a que peu d'effet sur elle et ce sont principalement les conditions du milieu qui influencent la cinétique de dégradation. En revanche, la dégradation du dicétonitrile, d'origine biologique, est plus rapide en technique de conservation et reste sensible aux conditions d'incubation. Là-encore, une variabilité verticale et latérale des propriétés de dégradation en technique conventionnelle lié au travail du sol à la charrue a été mise en évidence, alors qu'en technique de conservation, la variabilité de la dégradation du dicétonitrile est associée à la stratification verticale des matières organiques. La modélisation des phénomènes observés a tout d'abord permis de souligner une déconnection importante entre les mesures physiques réalisées en laboratoire (rétention en eau) et le fonctionnement du sol non perturbé. L'utilisation de mesures de terrain du potentiel matriciel et de la teneur en eau du sol, couplée à une étape de modélisation inverse, a abouti à une bonne représentation de la dynamique de l'eau et des solutés sous les deux modalités étudiées. Les représentations numériques ainsi obtenues indiquent des pertes en herbicide plus faibles en technique de conservation / sol couvert mais soulignent également la nécessité d'une prise en compte simultanée de l'hétérogénéité du milieu sol et du développement racinaire de la plante

    Vertical and Lateral Variations of Soil Immobile Water Fraction in Two Tillage Systems

    Full text link
    A better understanding of water and solute movement in soils is crucial to limit the environmental impact of agricultural practices. Th e objective of this study was to compare preferential fl ow in soil due to mobile-immobile water partitioning at various depths in two tillage systems. Since 2000, an agricultural fi eld has been divided into two plots cultivated using two tillage systems: conventional tillage with moldboard plowing (CT) and conservation tillage with disk harrowing (MT). Th e hydraulic conductivity at −1-cm matric head, K−1, and the immobile water content of diff erent soil compartments identifi ed with a morphological description in each tillage system were measured using tension disk infi ltrometers and a Br− tracer. Measurements were performed in 2005. A higher spatial variability of K−1 was observed in the CT plot than in the MT plot. Th e immobile water fraction at -1-cm matric head under CT ranged from 0.039 to 0.947 with a mean of 0.524 (CV = 55%). Under MT, the immobile water fraction ranged from 0.216 to 0.882 with a mean of 0.631 (CV = 30%). Soil structure variation due to plowing was found to signifi cantly infl uence the soil immobile water fraction under CT, while it was more uniform under MT at the 1-m observation scale
    corecore