1,870 research outputs found

    Normal forms approach to diffusion near hyperbolic equilibria

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    We consider the exit problem for small white noise perturbation of a smooth dynamical system on the plane in the neighborhood of a hyperbolic critical point. We show that if the distribution of the initial condition has a scaling limit then the exit distribution and exit time also have a joint scaling limit as the noise intensity goes to zero. The limiting law is computed explicitly. The result completes the theory of noisy heteroclinic networks in two dimensions. The analysis is based on normal forms theory.Comment: 21 page

    RAPPORT NATIONAL SUR L'ETAT DE LA BIODIVERSITE

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    Informations de base sur la République du Cap Vert L'archipel du Cap Vert est constitué par dix îles et huit îlots situés à environ 500 km de la côte occidentale africaine. Sa superficie est de 4033 km2. Les îles sont d'origine volcanique et sont implantées sur la zone sud-ouest de la plate-forme sénégalaise sur la croûte océanique d'âge comprise entre 140 et 120 millions d'années. Le relief est très accidenté dans les îles les plus jeunes (Fogo, Santiago, Santo Antão et S. Nicolau), mais relativement plat dans les îles plus anciennes (Maio, Boavista e Sal). Les sols sont peu évolués, avec des horizons pédologiques peu différenciés. Par sa situation géographique, dans une zone d'aridité météorologique, le climat du Cap Vert est sahélien du type tropical sec, soumis aux vents alizés du nordest, avec des températures modérées (environ 24ºC) et une faible amplitude thermique dû à l'environnement atlantique. Les précipitations sont généralement faibles sur l'ensemble du pays, ne dépassant pas les 300 mm de moyenne annuelle pour les 65% du territoire situé à moins de 400 m d'altitude. Les zones sous l'influence des alizés étant encore plus sèches (150 mm de moyenne annuelle). Sur les versants situés à plus de 500 m d'altitude faisant face aux alizés, on peut atteindre ou dépasser les 700 mm. Les pluies sont irrégulières et généralement mal distribuées dans le temps et dans l'espace. Le peuplement et son influence sur la biodiversité Après leur colonisation par les humains au cours du XVème siècle, les îles du Cap Vert ont été soumises à une forte exploitation des ressources biologiques. Des facteurs anthropiques avec conséquences directe et indirecte sur la végétation, tels que l'agriculture pluviale, dans la plupart des cas pratiquée sur les fortes pentes des versants, l'utilisation du bois de feu, le surpâturage et l'introduction des espèces exotiques ont contribué à la dégradation graduelle de la végétation et des habitats de l'archipel. Le rôle de ces facteurs a été encore accentué par l'action passif des facteurs intrinsèques tels que l'insularité et la fraction importante du territoire occupée par des zones arides et semi-arides. La végétation des zones arides et semi-arides qui occupent, au Cap Vert, plus de 70% du sol arable du territoire, a un faible pouvoir de régénération. Sa flore insulaire est sensible par le fait d'avoir évolué en l'absence de prédateurs et d'être issues de petites populations avec une diversité génétique limitée et par une aire de dissémination très limitée. La diversité des espèces Il existe au Cap Vert, 110 espèces de bryophytes dont 15 sont endémiques. Du total, 36% sont extinctes ou menacées. Parmi les endémiques 40% sont menacées. Les espèces d’angiospermes sont en nombre de 240 dont 45 sont endémiques. A noter que 27% du total sont extinctes ou menacées. Parmi les endémiques, 54% sont en danger de disparition. La biodiversité animale cours des risques majeures de survie. Des 37 espèces de gastéropodes existantes, 15 sont endémiques dont 67% sont menacées. Les arachnides sont au nombre de 111 dont 46 sont endémiques. Parmi les endémiques, 78% sont menacées. Il existe 470 espèces d'insectes (coléoptères) dont 155 sont endémiques. 84% des taxa endémiques sont menacées. On suppose que du total des 470 espèces, 64% sont disparues ou en danger. L'état actuel de la faune et de la flore a été donné par la Première Liste Rouge du Cap Vert, publiée en 1996 et qui indique un certain nombre de statistiques effrayantes : sont menacées plus de 26% des angiospermes, plus de 40% des bryophytes, plus de 65% des ptéridophytes et plus de 29% des lichens ; plus de 47% des oiseaux, 25% des reptiles terrestres, 64% des coléoptères, plus de 57% des arachnides, plus de 59% des mollusques terrestres. L'archipel du Cap Vert est situé dans la zone tropicale où, selon Nunan (1992), si on exclue les espèces migratoires on peu compter environ 273 espèces de poissons, dont 70% sont endémiques. La liste des espèces de poissons des îles du Cap Vert est assez diversifiée et compte environ une centaine d'espèces appartenant à différentes familles. En matière de diversité biologique marine l'exploitation des ressources dans la ZEE (Zone Economique Exclusive) sont encore loin d'atteindre le potentiel estimé. Néanmoins, il existe quelques espèces qui sont en danger, notamment les tortues et les langoustes. Dans les eaux capverdiennes il existe 5 espèces de tortues : Dermocelys coriacea, Chelonia mydas, Eretmochelys imbricata, Caretta caretta et Lepidochelys olivacea. Les tortues sont d'une façon générale soumises à une exploitation irrationnelle depuis des décades. La viande et les oeufs, surtout de la tortue mâle sont très appréciés. La carapace est utilisée dans la bijouterie (boucles, bagues, colliers, etc.). Parmi les quatre familles de langoustes connues, l'archipel du Cap Vert recèle deux : la Palinuridae (langouste rose, verte et marron) et la Scyllaride (langouste de pierre). A signaler également une espèce endémique, le Palinuris charlestoni. Toutes les espèces existantes au Cap Vert sont exploitées, souvent à la limite de la durabilité. La République du Cap Vert et la Convention sur la Biodiversité Le Cap Vert a signé la Convention sur la biodiversité en juin 1992 et l'a ratifié en mars 1995. Pour remplir les obligations découlant de l'adoption de la Convention, le pays a complété sa Stratégie Nationale et Plan d'Action sur la Biodiversité en février 1999. Une institution responsable pour la mise en oeuvre de la politique nationale en matière de l'environnement a été créée, le Secrétariat Exécutif pour l'Environnement (SEPA). Le Plan d'Action National a identifié 21 objectifs divisés en huit groupes thèmatiques et contient des activités jusqu'à l'an 2010. Parallèlement à ces actions, la Loi de Base pour l'Environnement, le Code de l'Environnement, le Code de l'Eau et le Code Forestier ont été adoptés. Ce nouveau Code Forestier a été élaboré afin d'actualiser les normes pour une gestion durable des ressources et le transfert des compétences aux régions et communautés. Au niveau stratégique le Cap Vert a élaboré son Programme d'Action National pour l'Environnement (PANA) et a développé le Programme d'Action National de Lutte Contre la Désertification (PAN-LCD) en utilisant l'approche participative faisant appel à tous les acteurs de la société civile y inclus les associations et ONG. Au niveau international le Cap Vert a adhéré aux conventions telles que la biodiversité, les changements climatiques et le contrôle de la désertification. Le pays a également signé les conventions suivantes : Convention des Nations Unies sur le Droit de la Mer, Convention relative à la Protection du Patrimoine Mondial Culturel et Naturel, Convention de Bâle sur les mouvements trans-frontaliers, Convention internationale pour la Prévention de la pollution par des bateaux, Convention de Vienne sur la protection de la couche de l'ozone, Protocole de Montréal sur les substances qui appauvrissent la couche de l'ozone. La mise en oeuvre de la stratégie nationale sur la Diversité Biologique permettra une meilleure gestion de l'eau, des ressources naturelles et des espaces, l'introduction de nouvelles espèces et de nouvelles technologies alternatives pour l'agriculture et l'élevage ainsi que la création de nouveaux emplois alternatifs, à partir des activités génératrices de revenus, et de diminuer ainsi, la pression sur les ressources naturelles.GEF/PNU

    Análise sensorial da aparência de cinco tipos de palmitos: com e sem rotulagem.

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    O palmito é considerado uma iguaria tipicamente brasileira e de grande aceitação no mercado, tanto interno quanto externo, sendo que, nos EUA e na Europa, esse compete com produtos como alcachofra e aspargo. É classificado como uma hortaliça não convencional e pode ser extraído de várias espé cies de palmeiras, sendo que a escolha destas depende de fatores como disponibilidade, palatabilidade, cor, formato e rendimento, além da facilidade de extração. No Brasil, antes da década de 60, a extração era feita de forma predatória e concentrava-se no palmito do tipo Juçara, nativo da Mata Atlântica. Como este apresenta um ciclo longo e sua palmeira não perfilha (necessita de replantio) sua presença natural foi quase exterminada. Devido ao aumento da fiscalização por órgãos oficiais impedindo a devastação predatória, ao custo do reflorestamento e ao alto preço do produto no mercado externo, houve um incentivo ao plantio comercial e produção racional de palmito industrializado. Para isso, houve uma busca por gêneros da família Palmae que fornecessem palmito de boa qualidade em curto prazo. As espécies de maior importância sócio-econômica e ambiental são: Juçara, Açaí, Pupunha, Palmeira Real e Babaçu. Portanto, o objetivo desse trabalho foi avaliar a preferência dos palmitos quanto a aparência do produto em salmoura sem e com a rotulagem. Inicialmente foi aplicado um questionário para caracterizar o perfil do consumidor e em seguida foi realizado os testes de ordenação da preferência (1= desgostei e 5= gostei) quanto à aparência dos palmitos. Para ambos os testes foram utilizados 50 provadores, que ordenaram as amostras da esquerda para a direita conforme a cor e preferência. A interpretação dos dados obtidos nos testes de ordenação de preferência visual foi de acordo com a ABNT (1994). Para os resultados (5 amostras e 50 respostas) constatou-se que, para que haja diferença significativa entre as amostras ao nível de 5% de significância, a diferença entre o somatório de cada par de amostras deve ser igual ou maior que 44. Com o resultado da caracterização do grupo dos provadores, foi possível notar que a forma de consumo ficou em sua maioria no consumo do tipo salada e em recheio de salgados. Já os itens observados que decidiriam a compra de um determinado palmito foram: data de validade, preço e o tipo de palmito seriam os mais importantes. Quanto à preferência dos palmitos sem rotulo, os resultados mostraram a seguinte ordem nos valores dos somatórios: Babaçu (119) < Pupunha (132) < Juçara (154) < Palmeira Real (170) < Açaí (175). Verificou-se, portanto, que houve diferença significativa (p?0,05) entre o Babaçu e os palmitos Palmeira Real e Açaí, porém o não ocorreu diferença na preferência entre as demais. Quanto a preferência dos palmitos com rotulagem em relação a embalagem, verificou-se que as somatórias foram: Babaçu (117) < Palmeira Real (150) < Juçara (153) < Açaí (162) < Pupunha (168) com diferença significativa (p?0,05) entre o Babaçu e os palmitos Açaí e Pupunha. Desta maneira conclui-se que a rotulagem afetou significativamente a escolha do produto, com exceção do Babaçu que obteve resultados inferiores nos dois testes

    Effects of Calcium Pyruvate Supplementation During Training On Body Composition, Exercise Capacity, and Metabolic Responses To Exercise

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    Objective: We evaluated the effects of calcium pyruvate supplementation during training on body composition and metabolic responses to exercise. Method: Twenty-three untrained females were matched and assigned to ingest in a double blind and randomized manner either 5 g of calcium pyruvate (PYR) or a placebo (PL) twice daily for 30 d while participating in a supervised exercise program. Prior to and following supplementation, subjects had body composition determined via hydrodensiometry; performed a maximal cardiopulmonary exercise test; and performed a 45-min walk test at 70% of pre-training VO2 max in which fasting pre- and post exercise blood samples determined. Results: No significant differences were observed between groups in energy intake or training volume. Univariate repeated measures ANOVA revealed that subjects in the PYR group gained less weight (PL 1.2 ± 0.3, PYR 0.3 ± 0.3 kg, P = 0.04), lost more fat (PL 1.1 ± 0.5; PYR −0.4 ± 0.5 kg, P = 0.03), and tended to lose a greater percentage of body fat (PL 1.0 ± 0.7; PYR −0.65 ± 0.6%, P = 0.07), with no differences observed in fat-free mass (PL 0.1 ± 0.5; PYR 0.7 ± 0.3 kg, P = 0.29). However, these changes were not significant when body composition data were analyzed by MANOVA (P = 0.16). There was some evidence that PYR may negate some of the beneficial effects of exercise on HDL values. No significant differences were observed between groups in maximal exercise responses or metabolic responses to submaximal walking. Conclusions: Results indicate that PYR supplementation during training does not significantly affect body composition or exercise performance and may negatively affect some blood lipid levels

    All-particle cosmic ray energy spectrum measured by the HAWC experiment from 10 to 500 TeV

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    We report on the measurement of the all-particle cosmic ray energy spectrum with the High Altitude Water Cherenkov (HAWC) Observatory in the energy range 10 to 500 TeV. HAWC is a ground based air-shower array deployed on the slopes of Volcan Sierra Negra in the state of Puebla, Mexico, and is sensitive to gamma rays and cosmic rays at TeV energies. The data used in this work were taken from 234 days between June 2016 to February 2017. The primary cosmic-ray energy is determined with a maximum likelihood approach using the particle density as a function of distance to the shower core. Introducing quality cuts to isolate events with shower cores landing on the array, the reconstructed energy distribution is unfolded iteratively. The measured all-particle spectrum is consistent with a broken power law with an index of 2.49±0.01-2.49\pm0.01 prior to a break at (45.7±0.1(45.7\pm0.1) TeV, followed by an index of 2.71±0.01-2.71\pm0.01. The spectrum also respresents a single measurement that spans the energy range between direct detection and ground based experiments. As a verification of the detector response, the energy scale and angular resolution are validated by observation of the cosmic ray Moon shadow's dependence on energy.Comment: 16 pages, 11 figures, 4 tables, submission to Physical Review

    The Transcription Factor GLI1 Mediates TGFb1 Driven EMT in Hepatocellular Carcinoma via a SNAI1-Dependent Mechanism

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    The role of the epithelial-to-mesenchymal transition (EMT) during hepatocellular carcinoma (HCC) progression is well established, however the regulatory mechanisms modulating this phenomenon remain unclear. Here, we demonstrate that transcription factor glioma-associated oncogene 1 (GLI1) modulates EMT through direct up-regulation of SNAI1 and serves as a downstream effector of the transforming growth factor-b1 (TGFb1) pathway, a well-known regulator of EMT in cancer cells. Overexpression of GLI1 increased proliferation, viability, migration, invasion, and colony formation by HCC cells. Conversely, GLI1 knockdown led to a decrease in all the above-mentioned cancer-associated phenotypes in HCC cells. Further analysis of GLI1 regulated cellular functions showed that this transcription factor is able to induce EMT and identified SNAI1 as a transcriptional target of GLI1 mediating this cellular effect in HCC cells. Moreover, we demonstrated that an intact GLI1-SNAI1 axis is required by TGFb1 to induce EMT in these cells. Together, these findings define a novel cellular mechanism regulated by GLI1, which controls the growth and EMT phenotype in HCC.National Institutes of Health Grants CA100882 and CA128633 (to LRR) and CA165076; the Mayo Clinic Center for Cell Signaling in Gastroenterology (NIDDK P30DK084567) (to MEFZ); the Mayo Clinic Cancer Center (CA15083), the Mayo Clinic Center for Translational Science Activities (NIH/NCRR CTSA Grant Number KL2 RR024151), and an American Gastroenterological Association Foundation for Digestive Health and Nutrition Bridging Grant (to LRR)

    The 2HWC HAWC Observatory Gamma Ray Catalog

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    We present the first catalog of TeV gamma-ray sources realized with the recently completed High Altitude Water Cherenkov Observatory (HAWC). It is the most sensitive wide field-of-view TeV telescope currently in operation, with a 1-year survey sensitivity of ~5-10% of the flux of the Crab Nebula. With an instantaneous field of view >1.5 sr and >90% duty cycle, it continuously surveys and monitors the sky for gamma ray energies between hundreds GeV and tens of TeV. HAWC is located in Mexico at a latitude of 19 degree North and was completed in March 2015. Here, we present the 2HWC catalog, which is the result of the first source search realized with the complete HAWC detector. Realized with 507 days of data and represents the most sensitive TeV survey to date for such a large fraction of the sky. A total of 39 sources were detected, with an expected contamination of 0.5 due to background fluctuation. Out of these sources, 16 are more than one degree away from any previously reported TeV source. The source list, including the position measurement, spectrum measurement, and uncertainties, is reported. Seven of the detected sources may be associated with pulsar wind nebulae, two with supernova remnants, two with blazars, and the remaining 23 have no firm identification yet.Comment: Submitted 2017/02/09 to the Astrophysical Journa

    Search for very-high-energy emission from Gamma-ray Bursts using the first 18 months of data from the HAWC Gamma-ray Observatory

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    The High Altitude Water Cherenkov (HAWC) Gamma-ray Observatory is an extensive air shower detector operating in central Mexico, which has recently completed its first two years of full operations. If for a burst like GRB 130427A at a redshift of 0.34 and a high-energy component following a power law with index -1.66, the high-energy component is extended to higher energies with no cut-off other than from extragalactic background light attenuation, HAWC would observe gamma rays with a peak energy of \sim300 GeV. This paper reports the results of HAWC observations of 64 gamma-ray bursts (GRBs) detected by Swift\mathit{Swift} and Fermi\mathit{Fermi}, including three GRBs that were also detected by the Large Area Telescope (Fermi\mathit{Fermi}-LAT). An ON/OFF analysis method is employed, searching on the time scale given by the observed light curve at keV-MeV energies and also on extended time scales. For all GRBs and time scales, no statistically significant excess of counts is found and upper limits on the number of gamma rays and the gamma-ray flux are calculated. GRB 170206A, the third brightest short GRB detected by the Gamma-ray Burst Monitor on board the Fermi\mathit{Fermi} satellite (Fermi\mathit{Fermi}-GBM) and also detected by the LAT, occurred very close to zenith. The LAT measurements can neither exclude the presence of a synchrotron self-Compton (SSC) component nor constrain its spectrum. Instead, the HAWC upper limits constrain the expected cut-off in an additional high-energy component to be less than 100 GeV100~\rm{GeV} for reasonable assumptions about the energetics and redshift of the burst.Comment: 19 pages, 6 figures, published in Ap

    Daily monitoring of TeV gamma-ray emission from Mrk 421, Mrk 501, and the Crab Nebula with HAWC

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    We present results from daily monitoring of gamma rays in the energy range 0.5\sim0.5 to 100\sim100 TeV with the first 17 months of data from the High Altitude Water Cherenkov (HAWC) Observatory. Its wide field of view of 2 steradians and duty cycle of >95>95% are unique features compared to other TeV observatories that allow us to observe every source that transits over HAWC for up to 6\sim6 hours each sidereal day. This regular sampling yields unprecedented light curves from unbiased measurements that are independent of seasons or weather conditions. For the Crab Nebula as a reference source we find no variability in the TeV band. Our main focus is the study of the TeV blazars Markarian (Mrk) 421 and Mrk 501. A spectral fit for Mrk 421 yields a power law index Γ=2.21±0.14stat±0.20sys\Gamma=2.21 \pm0.14_{\mathrm{stat}}\pm0.20_{\mathrm{sys}} and an exponential cut-off E0=5.4±1.1stat±1.0sysE_0=5.4 \pm 1.1_{\mathrm{stat}}\pm 1.0_{\mathrm{sys}} TeV. For Mrk 501, we find an index Γ=1.60±0.30stat±0.20sys\Gamma=1.60\pm 0.30_{\mathrm{stat}} \pm 0.20_{\mathrm{sys}} and exponential cut-off E0=5.7±1.6stat±1.0sysE_0=5.7\pm 1.6_{\mathrm{stat}} \pm 1.0_{\mathrm{sys}} TeV. The light curves for both sources show clear variability and a Bayesian analysis is applied to identify changes between flux states. The highest per-transit fluxes observed from Mrk 421 exceed the Crab Nebula flux by a factor of approximately five. For Mrk 501, several transits show fluxes in excess of three times the Crab Nebula flux. In a comparison to lower energy gamma-ray and X-ray monitoring data with comparable sampling we cannot identify clear counterparts for the most significant flaring features observed by HAWC.Comment: 18 pages, 10 figures, accepted for publication in The Astrophysical Journa
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