66 research outputs found

    La littérature russe

    Get PDF
    La littérature russ

    Dérivation et structure des noms russes- Le cas des substantifs avec le suffixe (-ets)

    Get PDF
    Dérivation et structure des noms russes- Lecas des substantifs avec le suffixe (-ets

    Évolution du temps d’exposition aux écrans à la suite des mesures de restriction liées à la pandémie de la COVID-19 : une étude quantitative menée chez les enfants âgés de 3 à 6 ans dans un quartier du Havre

    No full text
    A la suite du confinement de mars 2020 instauré pour lutter contre la COVID-19, les habitudes de vie ont été bousculées. Il a été constaté chez les jeunes enfants, à travers le monde, une détérioration des comportements influençant la santé incluant le temps quotidien passé devant les écrans. Les recommandations de bon usage des écrans pour les enfants de 3 à 6 ans étaient déjà peu suivies avant la pandémie de la COVID-19, comme en témoigne une étude quantitative réalisée en 2019 par Julie Malo dans un quartier du Havre. Nous avons repris le même schéma d’étude et la même population afin de réaliser une étude comparative dans l’objectif d’évaluer l’impact des mesures de restriction de la COVID-19 sur le temps d’écran des enfants âgés de 3 à 6 ans. MATERIEL ET METHODE : Etude comparative quantitative interrogeant, via un questionnaire, les parents des enfants de 3 à 6 ans scolarisés dans les écoles maternelles d’un quartier du Havre. L’étude s’est déroulée en juin 2021. RESULTATS : 233 questionnaires valides ont été recueillis sur les 729 questionnaires distribués en juin 2021. Les moyennes de temps d’écran ont été calculées sur 369 questionnaires valides en septembre 2019 et 233 questionnaires valide en juin 2021. Un t test à variance inégale (test t de Welch) a été réalisé pour comparer les moyennes de temps d’écran. Entre 2019 et 2021, il a été mis en évidence une augmentation non significative de 10 minutes du temps moyen d’écran les jours sans école et une diminution non significative de 9,79 minutes les jours d’école. En 2021, 31,33 % des enfants ont un écran dans leur chambre contre 25,34 % en 2019 et 43,35 % des parents déclarent qu’ils leur arrivent de laisser leur enfant regarder seul les écrans contre 35,26 % en 2019. DISCUSSION : L’augmentation du temps d’écran les jours sans école concorde avec les autres études contrairement à la diminution du temps d’écran les jours d’école. CONCLUSION : L’absence de significativité des résultats ne permet pas de conclure à une modification du temps d’écran au sein de la population étudiée, entre 2019 et 2021. La sous-estimation du temps d’écran par les parents peut être en cause

    Évolution du temps d’exposition aux écrans à la suite des mesures de restriction liées à la pandémie de la COVID-19 : une étude quantitative menée chez les enfants âgés de 3 à 6 ans dans un quartier du Havre

    No full text
    A la suite du confinement de mars 2020 instauré pour lutter contre la COVID-19, les habitudes de vie ont été bousculées. Il a été constaté chez les jeunes enfants, à travers le monde, une détérioration des comportements influençant la santé incluant le temps quotidien passé devant les écrans. Les recommandations de bon usage des écrans pour les enfants de 3 à 6 ans étaient déjà peu suivies avant la pandémie de la COVID-19, comme en témoigne une étude quantitative réalisée en 2019 par Julie Malo dans un quartier du Havre. Nous avons repris le même schéma d’étude et la même population afin de réaliser une étude comparative dans l’objectif d’évaluer l’impact des mesures de restriction de la COVID-19 sur le temps d’écran des enfants âgés de 3 à 6 ans. MATERIEL ET METHODE : Etude comparative quantitative interrogeant, via un questionnaire, les parents des enfants de 3 à 6 ans scolarisés dans les écoles maternelles d’un quartier du Havre. L’étude s’est déroulée en juin 2021. RESULTATS : 233 questionnaires valides ont été recueillis sur les 729 questionnaires distribués en juin 2021. Les moyennes de temps d’écran ont été calculées sur 369 questionnaires valides en septembre 2019 et 233 questionnaires valide en juin 2021. Un t test à variance inégale (test t de Welch) a été réalisé pour comparer les moyennes de temps d’écran. Entre 2019 et 2021, il a été mis en évidence une augmentation non significative de 10 minutes du temps moyen d’écran les jours sans école et une diminution non significative de 9,79 minutes les jours d’école. En 2021, 31,33 % des enfants ont un écran dans leur chambre contre 25,34 % en 2019 et 43,35 % des parents déclarent qu’ils leur arrivent de laisser leur enfant regarder seul les écrans contre 35,26 % en 2019. DISCUSSION : L’augmentation du temps d’écran les jours sans école concorde avec les autres études contrairement à la diminution du temps d’écran les jours d’école. CONCLUSION : L’absence de significativité des résultats ne permet pas de conclure à une modification du temps d’écran au sein de la population étudiée, entre 2019 et 2021. La sous-estimation du temps d’écran par les parents peut être en cause

    Évolution du temps d’exposition aux écrans à la suite des mesures de restriction liées à la pandémie de la COVID-19 : une étude quantitative menée chez les enfants âgés de 3 à 6 ans dans un quartier du Havre

    No full text
    A la suite du confinement de mars 2020 instauré pour lutter contre la COVID-19, les habitudes de vie ont été bousculées. Il a été constaté chez les jeunes enfants, à travers le monde, une détérioration des comportements influençant la santé incluant le temps quotidien passé devant les écrans. Les recommandations de bon usage des écrans pour les enfants de 3 à 6 ans étaient déjà peu suivies avant la pandémie de la COVID-19, comme en témoigne une étude quantitative réalisée en 2019 par Julie Malo dans un quartier du Havre. Nous avons repris le même schéma d’étude et la même population afin de réaliser une étude comparative dans l’objectif d’évaluer l’impact des mesures de restriction de la COVID-19 sur le temps d’écran des enfants âgés de 3 à 6 ans. MATERIEL ET METHODE : Etude comparative quantitative interrogeant, via un questionnaire, les parents des enfants de 3 à 6 ans scolarisés dans les écoles maternelles d’un quartier du Havre. L’étude s’est déroulée en juin 2021. RESULTATS : 233 questionnaires valides ont été recueillis sur les 729 questionnaires distribués en juin 2021. Les moyennes de temps d’écran ont été calculées sur 369 questionnaires valides en septembre 2019 et 233 questionnaires valide en juin 2021. Un t test à variance inégale (test t de Welch) a été réalisé pour comparer les moyennes de temps d’écran. Entre 2019 et 2021, il a été mis en évidence une augmentation non significative de 10 minutes du temps moyen d’écran les jours sans école et une diminution non significative de 9,79 minutes les jours d’école. En 2021, 31,33 % des enfants ont un écran dans leur chambre contre 25,34 % en 2019 et 43,35 % des parents déclarent qu’ils leur arrivent de laisser leur enfant regarder seul les écrans contre 35,26 % en 2019. DISCUSSION : L’augmentation du temps d’écran les jours sans école concorde avec les autres études contrairement à la diminution du temps d’écran les jours d’école. CONCLUSION : L’absence de significativité des résultats ne permet pas de conclure à une modification du temps d’écran au sein de la population étudiée, entre 2019 et 2021. La sous-estimation du temps d’écran par les parents peut être en cause

    Evaporation en film mince dans un caloduc rainuré

    No full text
    Les caloducs à rainures axiales sont fortement utilisés dans le domaine spatial et en particulier pour le contrôle thermique des satellites de communication. Au sein du caloduc, la problématique liée à l'évaporation dans la zone d'injection du flux se caractérise par une évaporation intense dans la zone microscopique d'accrochage du ménisque (interface liquide-vapeur) à la paroi solide. Cette zone constitue une des conditions aux limites essentielles pour le calcul des conductances thermiques macroscopiques à l'évaporateur. Cette zone prépondérante de transfert thermique (typiquement de 30 à 60% du flux sur moins de 1 % de la surface) est couramment modélisée par une évaporation en film mince. Les bases physiques et les hypothèses associées de ce modèle conduisent à un système d'équations différentielles dont la résolution numérique est délicate en raison d'une sensibilité extrême aux conditions initiales. Néanmoins, les résultats obtenus permettent une interprétation originale de la relation entre l'angle d'accrochage d'un ménisque liquide sur une paroi et de l'évolution longitudinale (motrice de l'écoulement liquide) du rayon de courbure de ce ménisque au sein des rainures. Evaporative thin film inside a grooved heat pipe: Axially grooved heat pipes are widely used in space applications like thermal control of communications satellites. Inside the heat pipe, evaporation mostly takes place in microscopic region where the meniscus (liquid-vapour interface) is attached to the solid wall. This zone is one of the most important boundary condition to calculate the evaporating heat transfer conductance. An evaporating thin liquid film is commonly used to model this preponderant heat transfer region (typically from 30 to 60% of the heat flux though less than 1% of the surface). This model leads to a system of differential equations that is very tricky to solve due to extreme sensitivity of initial conditions. Nevertheless, relation between wetting contact angle and meniscus curvature inside grooves is re-examined in respect of the obtained results
    corecore