648 research outputs found

    The microwave spectrum of solar millisecond spikes

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    The microwave radiation from solar flares sometimes shows short and intensive spikes which are superimposed on the burst continuum. In order to determine the upper frequency limit of their occurrence and the circular polarization, a statistical analysis was performed on digital microwave observations from 3.2 to 92.5 GHz. Additionally, fine structures were investigated with a fast 32-channel spectrometer at 3.47 GHz. It was found that about 10 percent of the bursts show fine structures at 3.2 and 5.2 GHz, whereas none occurred above 8.4 GHz. Most of the observed spikes were very short and their bandwidth varied from below 0.5 MHz to more than 200 MHz. Simultaneous observations at two further frequencies showed no coincident spikes at the second and third harmonic. The observations can be explained by the theory of electron cyclotron masering if the observed bandwidths are determined by magnetic field inhomogeneities or if the rise times are independent of the source diameters. The latter would imply source sizes between 50 and 100 km

    The Placement Activity on the Canadian Employment Agency

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    Cet article étudie différents aspects du service de placement de l'Agence canadienne d'emplois. On y observe que l'Agence fournit des services rapides de références et de placement. La valeur du service public de placement provient principalement du temps de recherche qu'il contribue à réduire. Le service améliore ainsi le fonctionnement du marché du travail en diminuant le chômage frictionnel. Pour les personnes qui sont placées par les centres d'emplois du Canada, le temps consacré à la recherche de travail est plus court. Le fait que le chercheur d'emplois placé par les efforts d'un centre d'emplois passe entre 13 et 14 semaines à la recherche de travail alors que la personne qui trouve un poste autrement doit y consacrer environ 18 semaines signifie une diminution de la durée de la recherche de 4 à 5 semaines qui peut être attribuée au programme de placement de l'Agence. En 1977 et en 1978, les centres d'emplois ont aidé à réduire de 4 à 5 semaines le temps de la recherche d'un poste pour chaque personne qui a été placée. En résumé, on peut en conclure que le recours au centre d'emplois accélère le processus de la recherche en le réduisant de façon significative.Même si l'Agence canadienne de placement est au second rang parmi les méthodes de recherche d'emplois, grâce à son travail de références des candidats aux employeurs, celle-ci n'offre au marché du travail qu'un postulant sur trois et elle ne réussit à en placer qu'un sur cinq. Ce fait démontre que les centres d'emplois du Canada n'alimentent encore qu'une faible partie du marché du travail. Ils ne disposent pas d'un nombre suffisant d'emplois vacants pour placer tous les postulants. En outre, ils ne bénéficient pas d'un éventail assez vaste de postes vacants pour satisfaire un très grand nombre de chercheurs d'emplois. La plupart des ouvertures de postes proviennent de trois secteurs d'activité: les services publics et privés, le commerce de gros et de détail, l'industrie manufacturière. Presque la moitié des emplois comblés sont des postes d'employés de bureau, de commis-vendeurs et d'employés de services divers. Il ne se fait que peu de placement dans les occupations primaires, professionnelles et administratives. En conséquence, les centres d'emplois doivent déployer beaucoup d'efforts pour accroître le nombre de postes vacants à combler et obtenir ainsi une part plus considérable des emplois qui se présentent dans tous les types d'occupations et dans toutes les industries. C'est là la seule manière pour l'Agence canadienne d'emplois de jouer pleinement son rôle dans le processus de placement et d'améliorer ainsi la performance du marché du travail canadien.This paper studies three aspects of the job matching process of the Canada Employment Centres

    The Rise of Service Employment in the Canadian Economy

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    L'emploi dans le secteur des services au Canada a augmenté rapidement au cours des trois dernières décennies. À l'heure actuelle, deux travailleurs canadiens sur trois sont employés dans des entreprises de service. Le travailleur canadien ne se trouve plus sur la ferme ou dans l'industrie, mais dans les services. À l'intérieur de ce secteur d'activité, la plus forte hausse de l'embauchage s'est produite dans des entreprises qui ne relèvent pas du commerce proprement dit, mais principalement de l'administration publique, de l'enseignement et des soins hospitaliers. Ces trois dernières branches de l'activité fournissent de l'emploi à un travailleur sur cinq.Le profit de la main-d'oeuvre dans les entreprises de service diffère de celui de l'industrie en ce que les premières recourent davantage aux femmes et aux employés à temps partiel ou saisonniers. Plusieurs de ces entreprises paient de bas salaires et font appel aux travailleurs secondaires de la famille, d'où un roulement de la main-d'oeuvre plus élevé.L'étude expose ensuite les raisons de l'augmentation de l'emploi dans les entreprises de service et tente de l'expliquer par une hypothèse qu'on peut exprimer ainsi: ou il faut attribuer la croissance rapide de l'embauchage dans les services à une demande plus forte de services que de produits manufacturés ou, considération complémentaire, à un accroissement plus lent de la productivité par employé dans les services. L'analyse de la tendance du produit national réel dans le secteur des services, de la tendance de la proportion des dépenses en services par rapport aux dépenses totales en biens et services ainsi que la part des services utilisés comme intrants secondaires par le secteur des produits manufacturés révèle que l'économie canadienne n'a pas connu une plus forte demande de services que de biens manufacturés. Puisque maintenant l'élasticité de la demande de revenus est semblable à celle des biens, le déplacement de l'embauchage vers les services ne peut être attribué à des différences sectorielles dans l'élasticité. En conséquence, le déplacement de la demande n'a pas été la cause de la croissance de l'emploi dans les services.L'explication première de l'importance croissante de l'embauche dans les entreprises de service réside dans le facteur complémentaire, c'est-à-dire l'écart dans le taux d'augmentation de la productivité du travail. Le rendement par employé (ou par heure-personne) a crû beaucoup plus lentement dans le secteur des services que dans celui des produits manufacturés. En conséquence, la croissance moindre de laproductivité du travail dans les entreprises de service, qui est surtout attribuable à un accroissement plus lent du capital investi par travailleur, de la qualité du travail elle-même auquel s'ajoute un taux plus rapide de diminution des heures de travail, a contribué à la majoration de l'embauche dans ce secteur de l'économie canadienne.Bien que l'accroissement de la productivité ait été plus faible dans les services, les salaires y ont suivi de près ceux du secteur de biens manufacturés qui est plus productif. Cette tendance a entraîné de plus fortes majorations dans les prix des services, soit approximativement le double des prix des biens. Par conséquent, la politique économique des gouvernements, dont l'objectif est de réduire l'inflation, doit se concentrer sur les services.On espère que les développements technologiques futurs dans les entreprises de service, innovations, accumulation de capitaux, économie d'échelle, favoriseront l'élévation de la productivité par employé ou heure-personne. Les perspectives varient beaucoup cependant selon les types d'activité. L'écart du taux de productivité entre les deux secteurs se rétrécira considérablement. L'influence d'une augmentation plus lente de la productivité sur l'accroissement de l'embauche diminuera dans les entreprises de service. À l'avenir, la croissance de l'emploi dans ce secteur dépendra davantage des facteurs ayant trait à la demande comme les changements dans les revenus, dans les goûts et dans la durée des loisirs. En tant que contribuables, les canadiens sont à réexaminer les exigences croissantes des services publics en matière d'éducation, de soins médicaux et de fonctionnarisme. La forte poussée de ces services, qui résulte partiellement de l'afflux des naissances, est sur le point de prendre fin. Nous pouvons donc nous attendre à un déclin proportionnel dans certains services publics, notamment dans le domaine de l'éducation.Le secteur des services compte plus de femmes et de travailleurs à temps partiel comparé au secteur industriel. La durée de l'emploi y est plus courte et une grande majorité des personnes qui quittent le travail pour s'inscrire à l'assurance-chômage proviennent des entreprises de service. À cause de l'importance croissante des services, le roulement de la main-d'oeuvre et, par conséquent, le chômage frictionnel augmentent dans l'économie. Ceci revêt une grande importance en ce qui concerne les politiques macroéconomiques qui ont pour but de stabiliser l'économie de façon qu'elle puisse donner tout son potentiel, ce qui s'obtient présentement par un taux de chômage élevé. De plus, il faudrait apporter certaines modifications aux politiques de main-d'oeuvre de façon à améliorer la diffusion de l'information sur les marchés du travail et, par ce moyen, le processus de la recherche de travail.Le chômage frictionnel est devenu plus grave, mais le chômage cyclique a diminué grâce à la croissance rapide des entreprises de service. Celles-ci sont beaucoup moins sensibles aux fluctuations cycliques dans la production et dans l'emploi. Étant donné que la production des services ne peut être emmagasinée sous forme d'inventaires, ce secteur ne se ressent pas de ces fluctuations qui sont attribuables aux changements dans le volume des inventaires. Le secteur industriel, d'autre part, est sensible à ces fluctuations cycliques causées par les grandes variations dans les inventaires.This paper analyzes the trends in employment shares by industry and presents an employment profile of the service-producing and goods-producing sectors and examines some of the reasons for the shift to service jobs

    A study of starting time in great hard X-ray flares

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    An analysis of the starting time in ten great hard X-ray bursts observed with the X-Ray Burst Spectrometer (HXRBS) is presented. It is shown that the impulsive phase of nine of them is composed of a preflash phase, during which the burst is observed up to an energy limit ranging from some tens of keV to 200 keV, followed ten to some tens of seconds afterwards by a flash phase, where the count rate rises simultaneously in all detector channels. For two events strong gamma-ray line emission is observed and is shown to start close to the onset of the flash phase

    ZAK is required for doxorubicin, a novel ribotoxic stressor, to induce SAPK activation and apoptosis in HaCaT cells

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    Doxorubicin is an anthracycline drug that is one of the most effective and widely used anticancer agents for the treatment of both hematologic and solid tumors. The stress-activated protein kinases (SAPKs) are frequently activated by a number of cancer chemotherapeutics. When phosphorylated, the SAPKs initiate a cascade that leads to the production of proinflammatory cytokines. Some inhibitors of protein synthesis, known as ribotoxic stressors, coordinately activate SAPKs and lead to apoptotic cell death. We demonstrate that doxorubicin effectively inhibits protein synthesis, activates SAPKs, and causes apoptosis. Ribotoxic stressors share a common mechanism in that they require ZAK, an upstream MAP3K, to activate the pro-apoptotic and proinflammatory signaling pathways that lie downstream of SAPKs. By employing siRNA mediated knockdown of ZAK or administration of sorafenib and nilotinib, kinase inhibitors that have a high affinity for ZAK, we provide evidence that ZAK is required for doxorubicin-induced proinflammatory and apoptotic responses in HaCaT cells, a pseudo-normal keratinocyte cell line, but not in HeLa cells, a cancerous cell line. ZAK has two different isoforms, ZAK-α (91 kDa) and ZAK-β (51 kDa). HaCaT or HeLa cells treated with doxorubicin and immunoblotted for ZAK displayed a progressive decrease in the ZAK-α band and the appearance of ZAK-β bands of larger size. Abrogation of these changes after exposure of cells to sorafenib and nilotinib suggests that these alterations occur following stimulation of ZAK. We suggest that ZAK inhibitors such as sorafenib or nilotinib may be effective when combined with doxorubicin to treat cancer patients

    Energetics and dynamics of simple impulsive solar flares

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    Flare energetics and dynamics were studied using observations of simple impulsive spike bursts. A large, homogeneous set of events was selected to enable the most definite tests possible of competing flare models, in the absence of spatially resolved observations. The emission mechanisms and specific flare models that were considered in this investigation are described, and the derivations of the parameters that were tested are presented. Results of the correlation analysis between soft and hard X-ray energetics are also presented. The ion conduction front model and tests of that model with the well-observed spike bursts are described. Finally, conclusions drawn from this investigation and suggestions for future studies are discussed

    Dynamic evolution of the source volumes of gradual and impulsive solar flare emissions

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    This study compares flare source volumes inferred from impulsive hard X-rays and microwaves with those derived from density sensitive soft X-ray line ratios in the O VII spectrum. The data for this study were obtained with the SMM Hard X-Ray Burst Spectrometer, Earth-based radio observatories, and the SOLEX-B spectrometer on the P78-1 satellite. Data were available for the flares of 1980 April 8, 1980 May 9, and 1981 February 26. The hard X-ray/microwave source volume is determined under the assumption that the same electron temperature or power law index characterizes both the source of hard X-rays and the source of microwaves. The O VII line ratios yield the density and volume of the 2 X 10 to the 6th K plasma. For all three flares, the O VII source volume is found to be smallest at the beginning of the flare, near the time when the impulsive hard X-ray/microwave volume reaches its first maximum. At this time, the O VII volume is three to four orders of magnitude smaller than that inferred from the hard X-ray/microwave analysis. Subsequently, the O VII source volume increases by one or two orders of magnitude then remains almost constant until the end of the flare when it apparently increases again
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