635 research outputs found

    Biomonitoring of the genotoxic potential of aqueous extracts of soils and bottom ash resulting from municipal solid waste incineration, using the comet and micronucleus tests on amphibian (Xenopus laevis) larvae and bacterial assays (MutatoxR and Ames tests)

    Get PDF
    The management of contaminated soils and wastes is a matter of considerable human concern. The present study evaluates the genotoxic potential of aqueous extracts of two soils (leachates) and of bottom ash resulting from municipal solid waste incineration (MSWIBA percolate), using amphibian larvae (Xenopus laevis). Soil A was contaminated by residues of solvents and metals and Soil B by polycyclic aromatic hydrocarbons and metals. MSWIBA was predominantly contaminated by metals. Two genotoxic endpoints were analysed in circulating erythrocytes taken from larvae: clastogenic and/or aneugenic effects (micronucleus induction) after 12 days of exposure and DNA-strand-breaking potency (comet assay) after 1 and 12 days of exposure. In addition, in vitro bacterial assays (MutatoxR and Ames tests) were carried out and the results were compared with those of the amphibian test. Physicochemical analyses were also taken into account. Results obtained with the amphibians established the genotoxicity of the aqueous extracts and the comet assay revealed that they were genotoxic from the first day of exposure. The latter test could thus be considered as a genotoxicity-screening tool. Although genotoxicity persisted after 12 days’ exposure, DNA damage decreased overall between days 1 and 12 in the MSWIBA percolate, in contrast to the soil leachates. Bacterial tests detected genotoxicity only for the leachate of soil A (Mutatox). The results confirm the ecotoxicological relevance of the amphibian model and underscore the importance of bioassays, as a complement to physicochemical data, for risk evaluation

    Administration des transfusions sanguines à l'hôpital ou à domicile ? Le choix des patients atteints de cancer

    Get PDF
    National audienceLa réalisation de transfusions sanguines est fréquente au cours du traitement des pathologies cancéreuses. Une anémie et/ou une thrombopénie surviennent habituellement après une chimiothérapie et/ou un envahissement médullaire et caractérisent le plus souvent un stade avancé de la maladie cancéreuse où le pronostic vital peut être engagé à court terme. La grande majorité de ces transfusions sanguines ont lieu à l'hôpital, en hospitalisation de jour principalement. Néanmoins, certains établissements de transfusion sanguine disposent de centres de soins ou d'équipes mobiles pouvant pratiquer la transfusion sanguine à domicile (TAD). Par exemple, en collaboration avec l'établissement régional de transfusion sanguine Rhône-Alpes, le Centre de Lutte Contre le Cancer de Lyon - Léon Bérard (CLB) organise depuis plusieurs années une partie des transfusions sanguines de ses patients au domicile. Ces transfusions ont été développées dans le cadre plus global d'un réseau de soins à domicile et d'une structure d'hospitalisation à domicile coordonnés par l'hôpital, et qui prennent en charge une part importante des traitements anticancéreux (chimiothérapies, alimentation parentérale, antibiothérapie, contrôle de la douleur...). Le site transfusionnel de Lyon, appartenant à l'Etablissement Français du Sang (EFS) réalise près de 800 transfusions à domicile chaque année, et deux médecins transfuseurs participent à cette activité. En pratique, les modalités d'administration de la TAD sont les suivantes : pour les patients suivis par la coordination des soins à domicile du centre, le médecin coordinateur des soins à domicile décide, sur la base des numérations sanguines, de la nécessité d'une transfusion et la prescription est alors transmise à l'antenne transfusionnelle de l'EFS. Pour certains patients transfusés fréquemment, la décision peut être prise directement par le médecin transfuseur en concertation avec la coordination.Le médecin transfuseur de l'EFS prend alors rendez-vous avec le patient. Il apporte les produits sanguins au domicile, met en place la perfusion et reste pendant tout le temps d'administration le jour de la transfusion. S'il est indépendant du centre, le médecin transfuseur est donc identifié par les patients comme un professionnel de santé avec des compétences particulières dans la transfusion, travaillant en étroite collaboration avec la coordination des soins à domicile et avec lequel ils pourront être en rapports répétés

    Administration des transfusions sanguines à l'hôpital ou à domicile ? Le choix des patients atteints de cancer

    Get PDF
    La réalisation de transfusions sanguines est fréquente au cours du traitement des pathologies cancéreuses. Une anémie et/ou une thrombopénie surviennent habituellement après une chimiothérapie et/ou un envahissement médullaire et caractérisent le plus souvent un stade avancé de la maladie cancéreuse où le pronostic vital peut être engagé à court terme. La grande majorité de ces transfusions sanguines ont lieu à l'hôpital, en hospitalisation de jour principalement. Néanmoins, certains établissements de transfusion sanguine disposent de centres de soins ou d'équipes mobiles pouvant pratiquer la transfusion sanguine à domicile (TAD). Par exemple, en collaboration avec l'établissement régional de transfusion sanguine Rhône-Alpes, le Centre de Lutte Contre le Cancer de Lyon - Léon Bérard (CLB) organise depuis plusieurs années une partie des transfusions sanguines de ses patients au domicile. Ces transfusions ont été développées dans le cadre plus global d'un réseau de soins à domicile et d'une structure d'hospitalisation à domicile coordonnés par l'hôpital, et qui prennent en charge une part importante des traitements anticancéreux (chimiothérapies, alimentation parentérale, antibiothérapie, contrôle de la douleur...). Le site transfusionnel de Lyon, appartenant à l'Etablissement Français du Sang (EFS) réalise près de 800 transfusions à domicile chaque année, et deux médecins transfuseurs participent à cette activité. En pratique, les modalités d'administration de la TAD sont les suivantes : pour les patients suivis par la coordination des soins à domicile du centre, le médecin coordinateur des soins à domicile décide, sur la base des numérations sanguines, de la nécessité d'une transfusion et la prescription est alors transmise à l'antenne transfusionnelle de l'EFS. Pour certains patients transfusés fréquemment, la décision peut être prise directement par le médecin transfuseur en concertation avec la coordination.Le médecin transfuseur de l'EFS prend alors rendez-vous avec le patient. Il apporte les produits sanguins au domicile, met en place la perfusion et reste pendant tout le temps d'administration le jour de la transfusion. S'il est indépendant du centre, le médecin transfuseur est donc identifié par les patients comme un professionnel de santé avec des compétences particulières dans la transfusion, travaillant en étroite collaboration avec la coordination des soins à domicile et avec lequel ils pourront être en rapports répétés.transfusion sanguine ; choix des patients

    La mécanisation du décorticage du fonio au Mali et au Burkina Faso. Etude de cas

    Full text link

    Non-Local Control of Single Surface Plasmon

    Full text link
    Quantum entanglement is a stunning consequence of the superposition principle. This universal property of quantum systems has been intensively explored with photons, atoms, ions and electrons. Collective excitations such as surface plasmons exhibit quantum behaviors. For the first time, we report an experimental evidence of non-local control of single plasmon interferences through entanglement of a single plasmon with a single photon. We achieved photon-plasmon entanglement by converting one photon of an entangled photon pair into a surface plasmon. The plasmon is tested onto a plasmonic platform in a Mach-Zehnder interferometer. A projective measurement on the polarization of the photon allows the non-local control of the interference state of the plasmon. Entanglement between particles of various natures paves the way to the design of hybrid systems in quantum information networks.Comment: 6 pages, 3 figure

    Theory of a cylindrical Langmuir probe parallel to the magnetic field and its calibration with interferometry

    Get PDF
    International audienceA theory for data interpretation is presented for a cylindrical Langmuir probe in plasma parallel to the magnetic field direction. The theory is tested in a linear low-temperature plasma device Aline, in a capacitive radio-frequency (RF) discharge. The probe is placed on a 3D manipulator and a position scan is performed. To exclude strong RF perturbations the probe is RF compensated. Using the theory electron densities are obtained from the current at the plasma potential, where no sheath is present. Results are calibrated by line-integrated density measurements of a 26.5 GHz microwave interferometer. Reasonable agreement is observed for probe and interferometer measurements. Furthermore, preceding, more general probe theory is compared to the one developed in the current work and the application limits are discussed
    corecore