7 research outputs found

    Ruxolitinib inhibits cytokine production by human lung macrophages without impairing phagocytic ability

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    International audienceBackground: The Janus kinase (JAK) 1/2 inhibitor ruxolitinib has been approved in an indication of myelofibrosis and is a candidate for the treatment of a number of inflammatory or autoimmune diseases. We assessed the effects of ruxolitinib on lipopolysaccharide (LPS)- and poly (I:C)-induced cytokine production by human lung macrophages (LMs) and on the LMs’ phagocytic activity. Methods: Human LMs were isolated from patients operated on for lung carcinoma. The LMs were cultured with ruxolitinib (0.5 × 10 −7 M to 10 –5 M) or budesonide (10 –11 to 10 –8 M) and then stimulated with LPS (10 ng·ml −1 ) or poly (I:C) (10 μg·ml −1 ) for 24 h. Cytokines released by the LMs into the supernatants were measured using ELISAs. The phagocytosis of labelled bioparticles was assessed using flow cytometry. Results: Ruxolitinib inhibited both the LPS- and poly (I:C)-stimulated production of tumor necrosis factor alpha, interleukin (IL)-6, IL-10, chemokines CCL2, and CXCL10 in a concentration-dependent manner. Ruxolitinib also inhibited the poly (I:C)- induced (but not the LPS-induced) production of IL-1ß. Budesonide inhibited cytokine production more strongly than ruxolitinib but failed to mitigate the production of CXCL10. The LMs’ phagocytic activity was not impaired by the highest tested concentration (10 –5 M) of ruxolitinib. Conclusion : Clinically relevant concentrations of ruxolitinib inhibited the LPS- and poly (I:C)-stimulated production of cytokines by human LMs but did not impair their phagocytic activity. Overall, ruxolitinib’s anti-inflammatory activities are less intense than (but somewhat different from) those of budesonide—particularly with regard to the production of the corticosteroid-resistant chemokine CXCL-10. Our results indicate that treatment with a JAK inhibitor might be a valuable anti-inflammatory strategy in chronic obstructive pulmonary disease, Th1-high asthma, and both viral and non-viral acute respiratory distress syndromes (including coronavirus disease 2019)

    juillet-octobre 2022

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    Ressentir le musée Allez-y ; touchez, sentez, goûtez, écoutez. Ce numéro de La lettre de l’Ocim rassemble des contributions qui explorent chacune à sa façon les manières dont une visite au musée peut être aujourd’hui bien plus qu’une expérience qui se fait en silence et avec la passivité d’un regard curieux, mais en retrait. Sujet phare dans le monde muséal et patrimonial, la muséologie des sens – ou muséologie sensible – dépasse une pratique muséale focalisée sur la seule mise en exposition de l’objet pour rendre compte d’une expérience fondée sur les différentes manières dont les visiteurs perçoivent et assimilent les contenus en faisant appel à tous leurs sens. Longtemps absents dans les pratiques de médiation au musée, le toucher, l’odorat ou l’ouïe permettent un contact sensoriel intime entre le visiteur et ce qui est exposé. Cela crée ainsi un rapprochement physique et émotionnel qui se traduit en une visite plus mémorable et, par conséquent, une meilleure compréhension des thèmes exposés. Une telle approche multisensorielle éveille ainsi un autre sens jusqu’ici peu exploité au musée : l’intuition du visiteur ; ce ressenti qui nous permet de dépasser la seule information qui nous est présentée et de lier celle-ci à notre propre vécu et nos expériences personnelles. Cela nous amène à interpréter et comprendre les contenus selon notre propre intelligence émotionnelle. Aujourd’hui la muséologie sensible est en plein essor, avec l’implication stratégique de tous les sens comme fondement du design universel ; la possibilité de créer des reproductions pour toucher et sentir les œuvres ; l’incorporation des odeurs dans les salles d’exposition pour mieux appréhender le passé (et même le futur) ; l’impact des tonalités de couleurs et des jeux de lumières dans la création de cartes mentales (mental maps) pour mieux situer le visiteur dans l’espace et dans le temps ; l’écoute pour évoquer des mémoires ou nous connecter à des espaces lointains… La réponse de nos collègues à notre appel à articles a été telle qu’il nous est apparu tout naturel de produire ce numéro double de La lettre de l’Ocim. Plutôt que de tenter d’en faire une sélection, nous avons souhaité laisser toute la place à la mise en valeur de la créativité dans le secteur. Nous remercions les auteurs et autrices pour leurs contributions et leur engagement continu à partager leurs expériences, projets et innovations avec les lecteurs de la revue. Mathieu Viau-Courville, directeur de l’Oci
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