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Microwave-stimulated Raman adiabatic passage in a Bose-Einstein condensate on an atom chip
We report the achievement of stimulated Raman adiabatic passage (STIRAP) in
the microwave frequency range between internal states of a Bose-Einstein
condensate (BEC) magnetically trapped in the vicinity of an atom chip. The
STIRAP protocol used in this experiment is robust to external perturbations as
it is an adiabatic transfer, and power-efficient as it involves only resonant
(or quasi-resonant) processes. Taking into account the effect of losses and
collisions in a non-linear Bloch equations model, we show that the maximum
transfer efficiency is obtained for non-zero values of the one- and two-photon
detunings, which is confirmed quantitatively by our experimental measurements
Méprise sur la reprise:Perspectives 2004-2005 pour l’économie française
Avec une hausse de 0,2 % seulement en moyenne annuelle, l’économie française a connu en 2003 sa plus faible croissance depuis la récession de 1993 et a, pour la première fois depuis 1997, progressé à un rythme inférieur à celui enregistré dans la zone euro en raison du mauvais résultats de son commerce extérieur. Toutefois, avec un record de jours ouvrables et un dispositif de départs en retraite anticipée qui pourrait servir d’appel d’air aux demandeurs d’emplois, l’année 2004 ne démarre pas sans atouts. Les conditions qui permettraient à l’économie française de profiter pleinement de la reprise internationale, en relançant la demande interne et tout particulièrement l’investissement, semblent réunies. Si tel était le cas, la demande interne consoliderait et accentuerait la reprise, et engagerait la France sur un sentier de croissance suffisant pour lui permettre de combler son retard de production et de respecter ses engagements vis-à-vis de Bruxelles en réduisant significativement le déficit public. Malheureusement, le cheminement que nous envisageons à l’horizon 2005 s’annonce plus erratique : sous les effets retardés de la hausse passée de l’euro et de politiques économiques mal orientées, l’économie française connaîtrait en 2004 un régime de croissance molle (1,5 % en rythme annuel), ne renouant que progressivement avec sa croissance potentielle en 2005 (2,3 % en rythme annuel).With an annual rate of 0.2%, the French economy underwent in 2003 the lowest growth since the 1993 recession. For the first time since 1997, it also grew more slowly that the euro area owing to its asthenic external trade. However, France will benefit in 2004 from a record number of workable days and early retirement measures which will help the unemployed. Hence, the French economy may well take advantage of the international recovery to boost domestic demand and investment. Growth might, thus, be sustained enough for France to respect its public deficit obligations towards Brussels. Unfortunately, we forecast a more uneven path until 2005: the lagged effects of the appreciation of the euro and restrictive economic policies will depress an otherwise buoyant growth rate to some sluggish 1.5% in 2004 and a return to the long term potential of 2.3% in 2005
France : reprise à bas régime !:Perspectives 2004-2005 pour l'économie française
L’année 2004 est incontestablement une année de reprise. Alors que la croissance de l’économie française avait été pratiquement nulle en 2003 (0,5 % en moyenne annuelle), elle devrait atteindre, cette année, 2,5 %. Ce redémarrage de l’économie résulte pour l’essentiel de la croissance de la consommation des ménages, malgré un climat peu porteur — faiblesse du pouvoir d’achat due à un marché du travail peu dynamique et à une accélération de l’inflation. Pour consommer, les ménages ont réduit leur épargne et recouru à l’emprunt. Cette évolution a été favorisée par le faible niveau des taux d’intérêt. La première condition pour que la croissance dure en 2005 est donc le maintien des taux d’intérêt à un niveau faible. Mais il faut aussi, pour que la croissance soit durable, que s’enclenche une spirale vertueuse d’augmentation des investissements productifs et des créations d’emplois. La bonne situation financière des entreprises permet d’envisager la réalisation de ce scénario. La croissance devrait donc atteindre 2,6 % en 2005. Elle favoriserait, à terme, la baisse du chômage et la reprise de la hausse des salaires. Bien entendu, des risques existent qui pourraient conduire à une rechute de l’économie en 2005. Pour l’essentiel, ils émanent de l’environnement international : poursuite de la hausse des prix du pétrole, ralentissement marqué de la croissance dans le monde, etc. Les risques internes paraissent plus limités, même si le gouvernement prend le risque d’un retour trop rapide à l’équilibre des finances publiques, ce qui devrait peser sur la croissance de 2005 (– 0,4 %). L’éclatement éventuel de la bulle immobilière en cours pourrait également remettre en cause les perspectives positives de cette l’année prochaine.Following near zero growth in 2003, recovery has taken up in 2004 with an expected GDP increase of 2.5 %. Consumption constitutes the main engine for growth in a weak environment of low purchasing power - caused by a stagnant job market and accelerating inflation - where households, helped by low interest rates, resorted to borrowing and spending their previously accumulated savings. For growth to last over 2005, rates must therefore remain low, and investment and job creation need to finally catch up, thus fostering consumption. The present corporate financial health should allow 2.6 % GDP growth in 2005, which will in turn reduce unemployment and boost wages. Significant uncertainties remain though, both internationally (major oil crisis, global slowdown...) and, albeit to a lesser extent, internally (accelerated deficit-targeting fiscal crunch, already forecast to contribute – 0.4 % to growth; or house price bubble bust)
La France emmêlée:Perspectives 2003-2004 pour l’économie française
Après trois années de forte croissance (3,6 % en moyenne de 1998 à 2000), la France a connu un ralentissement en 2001 (1,8 %) qui s’est prolongé en 2002 (1,2 %). Pour 2003 et 2004, nous faisons l’hypothèse que l’économie française progressera de manière modérée, à un rythme légèrement inférieur à celui de la zone euro : la croissance dans l’hexagone serait respectivement de 0,4 % et 1,5 % contre 0,5 % et 1,6 % pour la zone euro. La croissance française resterait inférieure à son potentiel, conséquence directe du comportement prudent des agents privés français face aux incertitudes sur la politique fiscale et des contraintes sur la politique budgétaire
La France emmêlée:Perspectives 2003-2004 pour l’économie française
Après trois années de forte croissance (3,6 % en moyenne de 1998 à 2000), la France a connu un ralentissement en 2001 (1,8 %) qui s’est prolongé en 2002 (1,2 %). Pour 2003 et 2004, nous faisons l’hypothèse que l’économie française progressera de manière modérée, à un rythme légèrement inférieur à celui de la zone euro : la croissance dans l’hexagone serait respectivement de 0,4 % et 1,5 % contre 0,5 % et 1,6 % pour la zone euro. La croissance française resterait inférieure à son potentiel, conséquence directe du comportement prudent des agents privés français face aux incertitudes sur la politique fiscale et des contraintes sur la politique budgétaire
France : les illusions perdues. Perspectives 2003-2004 pour l'économie française.
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France : les illusions perdues:Perspectives 2003-2004 pour l’économie française
Après trois années de forte croissance (3,6 % en moyenne de 1998 à 2000), la France a connu un ralentissement en 2001 (1,8 %) qui s’est prolongé en 2002 (1,2 %). Pour 2003 et 2004, nous faisons l’hypothèse que l’économie française progressera de manière modérée, à un rythme légèrement inférieur à celui de la zone euro : la croissance dans l’Hexagone serait, en moyenne annuelle, de 0,8 % en 2003 et de 1,6 % en 2004 contre 0,9 % et 1,8 % pour la zone euro. La croissance française resterait inférieure à son potentiel, conséquence directe des ajustements faits pour rétablir le bilan des entreprises, des incertitudes sur la politique monétaire et des contraintes sur la politique budgétaire
Correlation between static and dynamic polarimetric properties and the texture of surface-stabilised ferroelectric liquid crystal cells
International audienceSnapshot Mueller matrix polarimetry was performed for static and dynamic analyses of surface-stabilised ferroelectric liquid crystal cells under an electric field. A strong correlation between the static (at fixed voltage) and dynamic (upon field reversal) polarimetric properties and the texture of ferroelectric liquid crystal cells was established. The birefringence properties were different between a rooftop/zigzag-textured cell and a stripe-textured cell. The trajectory of the optic axis, plotted over the transition between two addressed states, was analysed for each cell. The shape of the trajectories could be explained by a reversible motion of the smectic layers while switching
France : reprise à bas régime !:Perspectives 2004-2005 pour l'économie française
L’année 2004 est incontestablement une année de reprise. Alors que la croissance de l’économie française avait été pratiquement nulle en 2003 (0,5 % en moyenne annuelle), elle devrait atteindre, cette année, 2,5 %. Ce redémarrage de l’économie résulte pour l’essentiel de la croissance de la consommation des ménages, malgré un climat peu porteur — faiblesse du pouvoir d’achat due à un marché du travail peu dynamique et à une accélération de l’inflation. Pour consommer, les ménages ont réduit leur épargne et recouru à l’emprunt. Cette évolution a été favorisée par le faible niveau des taux d’intérêt. La première condition pour que la croissance dure en 2005 est donc le maintien des taux d’intérêt à un niveau faible. Mais il faut aussi, pour que la croissance soit durable, que s’enclenche une spirale vertueuse d’augmentation des investissements productifs et des créations d’emplois. La bonne situation financière des entreprises permet d’envisager la réalisation de ce scénario. La croissance devrait donc atteindre 2,6 % en 2005. Elle favoriserait, à terme, la baisse du chômage et la reprise de la hausse des salaires. Bien entendu, des risques existent qui pourraient conduire à une rechute de l’économie en 2005. Pour l’essentiel, ils émanent de l’environnement international : poursuite de la hausse des prix du pétrole, ralentissement marqué de la croissance dans le monde, etc. Les risques internes paraissent plus limités, même si le gouvernement prend le risque d’un retour trop rapide à l’équilibre des finances publiques, ce qui devrait peser sur la croissance de 2005 (– 0,4 %). L’éclatement éventuel de la bulle immobilière en cours pourrait également remettre en cause les perspectives positives de cette l’année prochaine.Following near zero growth in 2003, recovery has taken up in 2004 with an expected GDP increase of 2.5 %. Consumption constitutes the main engine for growth in a weak environment of low purchasing power - caused by a stagnant job market and accelerating inflation - where households, helped by low interest rates, resorted to borrowing and spending their previously accumulated savings. For growth to last over 2005, rates must therefore remain low, and investment and job creation need to finally catch up, thus fostering consumption. The present corporate financial health should allow 2.6 % GDP growth in 2005, which will in turn reduce unemployment and boost wages. Significant uncertainties remain though, both internationally (major oil crisis, global slowdown...) and, albeit to a lesser extent, internally (accelerated deficit-targeting fiscal crunch, already forecast to contribute – 0.4 % to growth; or house price bubble bust)
Symmetric microwave potentials for interferometry with thermal atoms on a chip
International audienceA trapped atom interferometer involving state-selective adiabatic potentials with two microwave frequencies on a chip is proposed. We show that this configuration provides a way to achieve a high degree of symmetry between the two arms of the interferometer, which is necessary for coherent splitting and recombination of thermal (i.e., noncondensed) atoms. The resulting interferometer holds promise to achieve high contrast and long coherence time, while avoiding the mean-field interaction issues of interferometers based on trapped Bose-Einstein condensates
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