91 research outputs found

    Quand dire, c'est faillir: (anti-)utopies linguistiques dans Gulliver's Travels, de Jonathan Swift.

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    Le choix du roi et la différence des sexes

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    La langue de l'(anti)utopie dans le quatrième voyage de Gulliver's Travels (1726): les frontières du genre utopique en question.

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    Scientific progress and its impact on linguistic thought: the problematics of figurative speech in Jonathan Swift's <em>Gulliiver's Travels<em> (1726)

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    Communication lors du séminaire de recherche Programme C "Expériences de la modernité XVIIe-XVIIIe siècles

    Science, Language and Ethics in Swift’s <em>A Voyage to Laputa</em>

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    Scientific progress and its impact on linguistic thought: the problematics of figurative speech in Jonathan Swift's <em>Gulliiver's Travels<em> (1726)

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    Communication lors du séminaire de recherche Programme C "Expériences de la modernité XVIIe-XVIIIe siècles

    Lire le quatrième voyage de Gulliver's Travels avec Jean-Jacques Lecercle: "contre-interpellation" du genre utopique et déplacement des frontières génériques

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    International audienceThis article analyses the fourth book of Gulliver's Travels (1726) through the prism of narrative utopia, a genre inherited from a long-standing literary tradition and which embodies, or ‘weaves into text’, a mode of thinking (utopianism). The aim is to highlight the way in which Jonathan Swift seizes on the generic conventions of literary utopia, displaces and redeploys them within the historical, cultural and linguistic context of the early eighteenth century. While Gulliver's journey to Houyhnhmnland seems indeed to offer the reader a model of an ideal society, we shall see how this model is subtly undermined and deconstructed by the satirist, who sets out to reveal the shadowy side of the modernity of his time.The process of deconstruction is woven into a narrative that places the issue of language at its core. In the light of Jean-Jacques Lecercle's work on interpellation and counter-interpellation, our study focuses on the language in the narrative (diegetic elements) as well as the language of the narrative (stylistic devices), and aims at showing how Jonathan Swift calls into question the utopian mode of thinking by displacing the narrative into the territory of anti-utopia.L’article propose une analyse du quatrième voyage de Gulliver’s Travels (1726) au prisme de l’utopie narrative, genre littéraire hérité d’une longue tradition, et qui vient incarner, ou « mettre en texte », un mode de pensée (l’utopisme). Il s’agit de faire ressortir la manière dont Jonathan Swift s’empare des conventions génériques de l’utopie, les déplace et les re-déploie dans la conjoncture historique, culturelle et linguistique du début du XVIIIe siècle. Or, si le voyage de Gulliver chez les Houyhnhmns semble bel et bien offrir au lecteur un modèle de société idéale, celui-ci se voit en même temps déconstruit par le satiriste, qui s’emploie à dévoiler la part d’ombre de la modernité de son temps. Cette entreprise de déconstruction est tissée au cœur d’un récit qui place en son cœur la problématique linguistique. À la lumière des travaux de Jean-Jacques Lecercle sur l’interpellation et la contre-interpellation, notre étude prend pour objet la langue dans le récit (éléments diégétiques) ainsi que la langue du récit (procédés stylistiques), et vise à montrer comment Jonathan Swift met en question le mode de pensée utopique en déplaçant le récit dans le territoire de l’anti-utopie

    Jonathan Swift's linguistic ideas : from language policy to linguistic fiction

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    Jonathan Swift (1667-1745), figure phare de la littérature anglaise du XVIIIe siècle, fut un auteur particulièrement en prise avec la modernité de son temps. Êtres de langage, les hommes articulent leur rapport au monde dans la langue : face aux évolutions culturelles et sociétales de l’Angleterre au début du XVIIIe siècle, Swift saisit les enjeux de la question de la langue, à la fois symptôme et agent puissant de changements profondément inquiétants à ses yeux. Cette thèse étudie le rapport, à première vue paradoxal, que Jonathan Swift entretient avec la langue anglaise. Seront tout d’abord rappelées les idées majeures de la pensée linguistique des XVIIe et XVIIIe siècles qui ont nourri sa réflexion sur les langues et le langage. A Proposal for Correcting, Improving and Ascertaining the English Tongue (1712) fera ensuite l’objet d’une étude détaillée : couchées pour l’essentiel dans cet essai, les idées de Swift font ressortir une position conservatrice, celle d’un censeur volontiers puriste, bien décidé à juguler les mésusages de ses contemporains. En revanche, le propos conservateur de Swift est continûment démenti par sa pratique d’homme de lettres : son goût immodéré pour les jeux de mots ou les langues inventées manifeste une créativité linguistique foisonnante qui fait voler en éclats les normes et prescriptions pourtant sincèrement défendues par ailleurs. Une lecture de Gulliver’s Travels (1726) tâchera d’éclairer le paradoxe : il s’agira de montrer de quelle manière le jeu dans la langue caractérisant ce récit de fiction permet à Swift d’élaborer une autre forme de résistance à la modernité.Jonathan Swift (1667-1745), a leading figure in 18th-century English literature, was particularly concerned with the modernity of his time, that of the Enlightenment, which saw the triumph of the lights of reason. As beings of language, men articulate their relationship to the world in language: faced with the cultural and societal changes in England at the beginning of the 18th century, Swift grasped the issues at stake in the question of language, which was both seen as a symptom and as a powerful agent of changes that were profoundly disturbing in his eyes. This dissertation studies the relationship—which may seem paradoxical at first sight—that Jonathan Swift maintains with the English language. It begins by recalling the major ideas of seventeenth- and eighteenth-century linguistic thought that informed his thinking about language and languages. A Proposal for Correcting, Improving and Ascertaining the English Tongue (1712) will then be studied in detail: Swift's opinions, which are essentially set out in this pamphlet, reveal a very conservative position, that of a deliberately purist censor, determined to curb the misuses of his contemporaries. However, Swift's conservative views are continually contradicted by his practice as a man of letters: his immoderate taste for puns or invented languages shows a profuse linguistic creativity that shatters the norms and prescriptions that are sincerely defended elsewhere. A reading of Gulliver's Travels (1726) will attempt to shed light on the paradox: it will show how playing with language, a characteristic feature of this fictional narrative, enables Swift to develop another form of resistance to modernity

    Les idées linguistiques de Jonathan Swift: entre réaction et contre-révolution.

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