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Value-Added Trade and Regionalization. GTAP Eleventh Annual Conference "Future of Global Economy", Helsinki, Finland.
For nearly two decades, growth of international trade has been underpinned by the development of intermediate goods cross exchanges resulting from a new international division of labour. The share of trade in inputs, also called vertical trade, has dramatically increased. Simultaneously, there has been some fear of excessive regionalization in trade. In this situation, the traditional trade measures based on the values of goods crossing borders are inappropriate to measure how self-centred are different regions. This paper suggests a new measure of international trade: “value-added trade”. Compared to “standard” trade, “value-added trade” is net of double-counted vertical trade and reallocates trade flows to input-producing industries. A database of value-added trade is made using the GTAP trade and input-output database for 66 regions (mostly countries) and 55 sectors in 1997 and 2001. In 2001, 26% of international trade were "only" vertical specialization trade, up from 25% in 1997. The share of services in value-added trade is much more important than in standard trade. East Asia still relies more heavily on extra-regional final markets than North America or Europe.Globalization;Vertical trade;Regionalization;
États-Unis : l'heure des comptes
Alors que la tourmente financière sévit depuis l’année dernière et que le marché de l’immobilier connaît une crise sans précédent, le soutien des autorités monétaires et budgétaires à l’économie (baisse de 5,25 % à 2 % du taux objectif des Fed funds et plan de relance de 150 milliards de dollars) a permis jusqu’au deuxième trimestre d’atténuer les effets de la crise sur la croissance. Mais les effets de l’assouplissement monétaire sont gommés par la hausse des spreads et le plan de relance apparaît aujourd’hui comme un feu de paille. Dès le troisième trimestre, l’activité devrait refléter l’état des fondamentaux et supporter le poids des déséquilibres. Après les bonnes performances du premier semestre, l’économie pourrait entrer en récession dès l’été 2008. Après 2 % en 2007, la croissance atteindrait 1,4 % en 2008 et 0,4 % en 2009. [Premier paragraphe
Perspectives 2008-2009 : Etats-Unis : l'heure des comptes.
Cette publication n'a pas de résumé
crise immobilière aux Etats-Unis : l'éclatement de la bulle.
La crise financière qui s’est déclenchée l’été dernier sur l’ensemble des marchés est partie du segment le plus à risque du crédit hypothécaire américain. Prenant appui en 2002 sur un marché déjà tendu, le dernier cycle de l’immobilier a bénéficié de conditions exceptionnelles pour prolonger son essor. L’abondance de liquidité a dopé l’innovation financière et conduit les organismes prêteurs à une prise de risque de crédit élevée en offrant des produits attrayants à des populations pas toujours solvables. Mais, si ces organismes ont réussi à reporter le risque sur une large gamme d’investisseurs, les ménages ont dû faire face à leurs propres engagements financiers dès lors que la hausse des prix s’est terminée et que, surtout, les conditions de prêt se sont normalisées.
Perspectives 2008-2009 : Amérique latine : hors de la tourmente ?.
Cette publication n'a pas de résumé
Perspectives 2007-2008. Amérique latine : les bénéfices du passé.
Cette publication n'a pas de résumé
Amérique latine : les bénéfices du passé
Après quatre années d’expansion, l’année 2006 aura probablement été le haut du cycle de croissance en Amérique latine. La croissance régionale s’est établie à plus de 5 % et le premier semestre 2007 reste vigoureux même si un tassement commence à s’imprimer. Des tensions apparaissent dans la plupart des pays et le ralentissement américain pèse sur la demande étrangère. De plus, la panique financière de cet été a durci légèrement les conditions d’accès aux financements externes. Néanmoins, la confiance des investisseurs vis-à-vis de la région devrait rester solide du fait de la qualité des fondamentaux. Le ralentissement devrait donc se confirmer dans les prochains trimestres mais la croissance resterait bonne, autour de 4,4 % en 2007 et 3,7 % en 2008. [Premier paragraphe
Le secteur de santé : éclairage sur des mesures techniques
Sur la question de la dépense de santé, les principaux partis politiques semblent en accord : on ne change rien, ou pas grand chose ; les difficultés vécues par le gouvernement Juppé en 1995 expliquent en partie cet " affichage " quasi général de la classe politique. Au-delà du consensus et des déclarations de principe (qualité des soins, grand respect des professions de santé, meilleure coordination entre ville et hôpital, prévention), c'est dans la nuance et par des mesures techniques que se distinguent les programmes. Il faut néanmoins y être attentif, car lorsqu'une mesure technique, comme le paiement à la pathologie, est susceptible de modifier le mode de fonctionnement d'un secteur représentant près de 5 % du PIB et des emplois français -- i.e. le secteur hospitalier français, un éclairage et une évaluation sont, au minimum, nécessaires. Au total, le secteur de la santé représente près de 10 % du PIB et constitue un des trois postes de dépenses les plus importants des ménages (...)
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