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A perspective of synthetic aperture radar for remote sensing
The characteristics and capabilities of synthetic aperture radar are discussed so as to identify those features particularly unique to SAR. The SAR and Optical images were compared. The SAR is an example of radar that provides more information about a target than simply its location. It is the spatial resolution and imaging capability of SAR that has made its application of interest, especially from spaceborne platforms. However, for maximum utility to remote sensing, it was proposed that other information be extracted from SAR data, such as the cross section with frequency and polarization
An Empirical Analysis of Substitution Between Engineers and Technicians in Canada
Les prévisions de la main-d'oeuvre pour l'orientation de l'enseignement n'a fait aucun cas de la possibilité de substitution entre des professions différentes. La plus grande partie des études théoriques et empiriques est fondée sur l'hypothèse que des professions très précises sont déterminées par la technologie. Les critiques s'en sont pris dernièrement à cette hypothèse de la rigidité technologique. En dépit de l'importance de cette assertion, très peu d'études empiriques et systématiques sur le sujet de la substitution de compétence ont été entreprises jusqu'à présent. Cette étude se veut une recherche bilatérale sur les données occupationnelles dans les provinces du Canada, particulièrement deux professions les ingénieurs et les techniciens scientifiques dont les programmes et les coûts de formation sont, pour la plupart, différents. Nous sommes cependant enclins à penser que ces deux classes de main-d'oeuvre très spécialisées peuvent être interverties, bien qu'il n'y ait pas d'évidence empirique le confirmant.LE CONCEPT DE SUBSTITUTION DE COMPÉTENCELa substitution de compétence signifie la substitution entre des genres de travail différents, déterminés par les qualifications, les études, l'entraînement et les caractéristiques du travailleur, etc. Pour fins d'analyse, on divise en deux classes la substitution de compétence. En premier lieu, la substitution fonctionnelle est celle qui se produit lorsque des techniques différentes de production exigent des fonctions différentes, impliquant des différences quant à l'éducation requise. L'autre genre de substitution, étant donné la nature des fonctions dictées par le travail et la technologie correspondante, est la substitution conditionnée par la formation, c'est-à-dire les antécédents académiques exigés pour occuper tel poste. Ces deux formes de substitution sont interreliées. Il arrive souvent que la substitution de gens ayant des qualifications académiques différentes implique une adaptation simultanée de la technologie. De plus, la substitution selon l'instruction peut demander une formation sur le lieu même de travail. Si cette formation exigée est considérable, ce processus sera beaucoup plus une mutation de catégorie pour une personne donnée qu'une substitution de compétence.QUESTIONS DE DÉFINITION DU TRAVAIL ET CLASSIFICATION DES TRAVAILLEURSLe fait que la compétence du technicien et de l'ingénieur puisse être acquise par l'expérience au travail même (parfois complétée par des études à temps partiel), cause des problèmes de définition sérieux. On s'interroge à savoir si ces catégories de compétence doivent se limiter à des qualifications officiellement reconnues, soit diplôme universitaire, diplôme d'école technique ou l'adhésion à une corporation professionnelle; ou si cette classe de techniciens doit comprendre tous les genscapables d'effectuer efficacement le travail en question. Ce problème se double du fait qu'il arrive souvent que les techniciens effectuent du travail considéré comme du travail d'ingénieur et peuvent même parfois diriger des ingénieurs; d'autre part, les ingénieurs peuvent consacrer beaucoup de leur temps à des tâches qui pourraient tout aussi bien être effectuées par des techniciens. De plus, les meilleurs cours de technologie peuvent former des techniciens plus qualifiés que les ingénieurs issus d'écoles de génie plus faibles.Les données analysées au cours de cette recherche sont celles du recensement de 1961 au Canada, et nous sommes enclins à mettre en doute la valeur des critères utilisés pour la catégorisation d'occupations. Il semble qu'un certain nombre de techniciens ont été comptés au nombre des ingénieurs et que l'ampleur de surestimation du nombre d'ingénieurs varie selon les provinces. Ainsi, plus du quart des ingénieurs varie selon les provinces. Ainsi, plus du quart des ingénieurs canadiens selon le recensement ne possèdent pas de diplôme universitaire, bien que seulement un faible pourcentage de ceux qui ont obtenu le statut d'ingénieur y soient parvenu sans diplôme.CONCLUSIONLa partie empirique de l'étude consiste en une analyse descriptive de la fluctuation du rapport des techniciens aux ingénieurs dans les provinces, suivie d'une évaluation économétrique de la substitution.Le Canada possède un des plus faibles rapports de techniciens à ingénieurs parmi les pays fortement industrialisés, bien que ce rapport soit plus grand que celui qui existe aux États-Unis. Il semble généralement que plus un pays est riche, moins il y a de techniciens par ingénieurs et cette relation vaut pour le niveau de prospérité parmi les provinces du Canada. La fluctuation considérable du rapport de techniciens par ingénieurs selon les régions nous permet de penser qu'il y a substitution. Cependant, l'évaluation de l'élasticité de substitution dans une fonction de production à plus de deux intrants est très difficile. Griliches 1 a proposé une méthode pour évaluer l'ampleur relative des différentes fluctuations de substitution et son approche de la demande dérivée a été utilisée au cours de notre étude. De plus, nous avons pu utiliser l'approche de Griliches afin d'évaluer une limite inférieure de l'élasticité de substitution entre techniciens et ingénieurs.L'élasticité de la substitution entre techniciens et ingénieurs semble plus considérable que celle entre techniciens ou ingénieurs et tout autre genre de travail et quelle est plus grande que zéro de façon significative. En fait, nous sommes en mesure de croire que cette élasticité est assez grande.Ces conclusions doivent être vues en prenant en considération la faible dimension de l'échantillonnage, les doutes sur la véracité des données du recensement et les éventuelles déviations causées par l'omission du facteur capital de l'analyse. Cependant même une grande déviation de ces facteurs ne pourrait modifier notre conclusion générale. Ces conclusions doivent être perçues dans l'optique de l'importance de cette substitution pour les centres de main-d'oeuvre, la planification de l'enseignement et en tenant compte du manque d'études empririques antérieures en ce domaine. Nous espérons que cette tentative rudimentaire stimulera l'intérêt pour cette question à l'avenir.1 GRILICHES, Zvi, « Notes on the Role of Education in Production Functions and Growth Accounting »,Conference on Education and Income, Madison, Wisconsin, nov.15-18, 1968.The author analyzes substitution between engineers and technicians through the application of a derived demand equation model to 1961 Census data and concludes that there is considerable substitution between these groups. The conclusion is qualified by noting certain weaknesses of the data. The results should be viewed in the context of the importance of substitution for manpower and educational planning and the lack of empirical study to date
The Paradox of Unemployment and Job Vacancies : Some Theories Confronted by Data
Les causes principales du paradoxe résultant de la simultanéité du chômage et de la disponibilité d'emplois sont les suivantes: les changements subits du niveau et des composantes de l'activité économique, l'imperfection des voies d'accès aux marchés du travail, la répugnance des employeurs et des planificateurs sociaux à considérer le travail comme une ressource à développer et à planifier à long terme plutôt qu'à le traiter « comme un robinet qu'on ouvre et qu'on ferme à discrétion suivant les conditions économiques immédiates ».Une des conséquences de cette dernière attitude fut que le « pipe-line » de la main-d'oeuvre s'est en réalité rompu au cours de la période de faible croissance qui a marqué les années 1967 à 1972. « Une fois ainsi brisé, il devenait impossible de le remettre en état au moment de l'expansion soudaine qui a commencé en 1973 ».L'article souligne que l'assurance-chômage favorise quelque peu le paradoxe précédent, mais que la presse a vraiment amplifié son importance. Les attaques contre le régime d'assurance-chômage visaient surtout à détourner l'attention des véritables problèmes.Les chercheurs n'ont découvert aucune confirmation statistique qu'une proportion accrue des gens conseillés par les centres de main-d'oeuvre du Canada aux employeurs éventuels ne s'y rendaient que pour la forme en vue de conserver leurs droits aux prestations. La confirmation de ce fait aurait été de nature à affermir la prétention que l'assurance-chômage favorisait le chômage de personnes qui ne veulent pas travailler.Parmi les personnes qui avaient été recommandées aux employeurs, il ne s'en trouvait qu'un très petit nombre dans le premier quart de 1974 qui refusaient des emplois, alors que le chômage s'accroissait et que les réclamations étaient attentivement scrutées.Toutefois, les chercheurs ont découvert des signes d'une augmentation considérable du taux des rejets de la part des employeurs. En effet, entre 1969 et la première moitié de 1974, le pourcentage des candidats embauchés est tombé de 45.2 à 29.3.Aussi, conclure que la plupart des travailleurs alors en chômage n'étaient pas considérés comme acceptables, comme beaucoup le prétendent, traduit un état quasi désespéré de postes vacants.En d'autres mots, le marché du travail était déséquilibré structurellement. Les caractéristiques de la main-d'oeuvre (âge, sexe, qualification, formation, métier, expérience, perfectionnement, lieu de résidence) ne correspondaient pas aux besoins des employeurs.Au sujet de la qualification, par exemple, on observait de fortes hausses dans la disponibilité des emplois, mais peu ou pas d'accroissement des embauchages dans les postes administratifs, les sciences naturelles, le génie, les mathématiques, la médecine et les autres sciences de la santé. Par contre, il y avait diminution des emplois vacants dans le cas des commis-vendeurs où les embauchages furent considérables.Le taux de chômage était continuellement plus haut chez les femmes que chez les hommes, chez les jeunes que chez les adultes. Le groupe d'âge de moins de 21 ans comptait pour 32 pour cent de l'ensemble des sans-travail au milieu de 1974, mais il ne représentait que 13 pour cent des réclamants.La raison en était qu'une forte proportion des jeunes chômeurs n'avaient pas encore réussi à obtenir un premier emploi et qu'ils n'étaient pas admissibles aux prestations d'assurance-chômage.Ce qui en ressort, c'est que l'assurance-chômage n'a guère de signification lorsqu'il s'agit pour elle d'aider ceux pour qui le chômage est un problème aigu. Ceci contredit le reproche que l'on fait aux jeunes de tirer profit du régime d'assurance-chômage.L'immigration peut aider à résoudre les postes vacants dans certains cas particuliers, mais elle ne saurait y répondre d'une façon globale. Y croire équivaudrait à perpétuer l'approche actuelle qui consiste à ouvrir et à fermer le robinet au besoin, source principale des problèmes actuels en matière de main-d'oeuvre.Ce qui importe le plus, c'est améliorer les façons d'utiliser les ressources humaines, en particulier, les jeunes, les femmes et les groupes minoritaires. Il nous faut beaucoup plus pour leur faciliter la découverte d'emplois qui les satisfassent. Tout ce qui faciliterait tant pour les maisons d'enseignement que pour les employeurs un budget de fonctionnement à plus long terme ferait disparaître un des obstacles majeures à la planification de la main-d'oeuvre. Il suffirait d'un peu plus d'imagination pour remplacer par quelque formule originale, surtout pour les jeunes, la formation en usine et l'expérience acquise.Postes vacants et chômage élevé peuvent coexister, mais l'assurance-chômage n'est pas la raison principale de ce paradoxe.The purpose of this paper is to see just how well available data enable us to come to grips with the apparent paradox of simultaneous job vacancies and unemployment
Gas chromatographic-mass spectrometric analysis of tar compounds formed during pyrolysis of rice husks
Pyrolysis of agricultural waste to produce fuel gas involves formation of tars as noxious by-products. In this paper the qualitative analysis of tars formed during pyrolysis of rice husks is presented, based on identification by gas chromatography—mass spectrometry and interpolation of retention times on a polyaromatic hydrocarbon index scale. The influence of some reaction parameters on product formation is briefly discussed
Effective Post-PLRA Settlement Models: A Case Study of Arizona\u27s Protective Segregation Lawsuit
Superluminal, subluminal, and negative velocities in free-space electromagnetic propagation
In this Chapter the time-domain analysis of the velocity of the
electromagnetic field pulses generated by a spatially compact source in free
space is presented. Recent simulations and measurements of anomalous
superluminal, subluminal, and negative velocities are discussed. It is shown
that such velocities are local and instantaneous in nature and do not violate
either causality or special relativity. Although these effects are mainly
confined to the near- and intermediate-field zones, some of them seem
paradoxical and still lack adequate physical interpretation.Comment: This is an extended account (21 pages, 9 figures) of my previous
work: PRL 102, 02040
What is the best workup for hypocalcemia?
Unexplained hypocalcemia can usually be diagnosed by a limited number of serum tests when the cause isn't obvious from the history (recent neck surgery or renal failure): calcium corrected for serum albumin); creatinine; phosphorus; magnesium; parathyroid hormone (PTH). The most common causes, categorized according to the results of these tests, are (strength of recommendation: C, expert opinion, case series, and physiologic principles): high PTH, high phosphorus, and high creatinine: renal failure; high PTH, low or normal phosphorus, and normal creatinine: vitamin D deficiency or pancreatitis; low PTH, high phosphorus, and normal creatinine: inadequate parathyroid gland function or hypomagnesemia
What's the best treatment for sebaceous cysts?
Punch biopsy excision appears to be superior to traditional wide elliptical excision for the treatment of sebaceous cysts when intervention is necessary (strength of recommendation [SOR]: B, based on 1 small randomized study). No rigorous metho- dological studies have compared punch biopsy excision of sebaceous cysts with the minimal excision technique
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