10 research outputs found

    Le chikungunya (un virus, une maladie - A propos de l'épidémie 2005-2006 à l'Ile de la réunion)

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    NANCY1-Bib. numérique (543959902) / SudocSudocFranceF

    Constantes optiques des halogénures de césium a basses températures dans l'infrarouge lointain

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    The reflection spectra of cesium halides have been analyzed in terms of two Lorentz oscillators. The static dielectric constant εRO increases with temperature. On the opposite, the limit εRV for high frequencies is not sensitive to temperature. The main oscillator frequency decreases when temperature increases. For the secondary oscillators, both frequency and damping are not temperature sensitive, and their strength tends to zero at low temperatures because of negligeable anharmonicity. For CsI the strength of the auxiliary oscillator is negligeable at every temperature up to 290 °K. From Szigeti's theory, compressibility is calculated in terms of the main oscillator frequency. The agreement is good (5 %) at room temperature, and very good (1 %) at 25 °K where the theory, which assumes harmonicity is more applicable. The e*/e ratio is the smallest for the largest anions and appears independent of temperature. The LO frequency for q = 0 is determined by four different methods. At 25 °K, we get 165 cm -1 (CsCl), 118 cm-1 (CsBr), 91 cm-1 (CsI). The TO frequency at 25 °K is also measured : 105 cm-1 (CsCl), 79 cm -1 (CsBr) and 65 cm-1 (CsI). The optic and dielectric constants are calculated at 290 °K, 80 °K and 25 °K in the whole infrared spectrum up to 1 000 μ.L'analyse des spectres de réflexion à l'aide de deux oscillateurs de Lorentz montre que la constante diélectrique statique εRO des halogénures de césium augmente avec la température, par contre sa limite εRV pour les fréquences élevées semble peu sensible. La fréquence de l'oscillateur principal diminue lorsque la température augmente. En ce qui concerne l'oscillateur secondaire, sa fréquence et son amortissement sont peu sensibles à la température, par contre sa force devient négligeable à basse température, sans doute du fait de la diminution de l'anharmonicité des vibrations. Pour l'iodure de césium, la force de l'oscillateur secondaire est très faible jusqu'à 290 °K. La théorie de Szigeti permet de calculer la compressibilité à partir de la fréquence fondamentale du cristal. L'accord est bon à 5 % près à température ordinaire et quasi parfait à 25 °K où la théorie s'applique mieux du fait de la diminution de l'anharmonicité. Le rapport e*/e de la charge apparente des ions à celle de l'électron diminue lorsque la taille de l'anion augmente et n'est pas sensible à la température. La fréquence longitudinale optique est déterminée par quatre méthodes différentes. A 25 °K, on obtient 165 cm-1 (CsCl), 118 cm-1 (CsBr), 91 cm-1 (CsI). Par ailleurs, TO, à 25 °K, est déterminé à 105 cm-1 (Cscl), 79 cm-1 (CsBr), 65 cm-1 (CsI). Les constantes optiques et diélectriques sont calculées à 290 °K, 80 °K et 25 °K dans tout le spectre jusqu'à 1 000 μ

    Constantes optiques du sulfate de glycocolle de l'infrarouge proche a l'infrarouge lointain application a la pyroélectricité

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    Transmission and reflection infrared spectra of triglycine sulphate crystal plates in several orientations have been studied from 1 to 2 000 microns. The dispersion of the neutral axes in a plate perpendicular to the pyroelectric C2 axis has also been observed. From the visible to the hydrogen cyanide maser line at 337 microns these axes rotate by about 16°. A number of internal vibrations have been observed at frequencies greater than 500 cm-1. Only one, at 575 cm-1, disappears above the Curie point. A similar effect is observed for a band of triglycine selenate at 312 cm-1. This lends support to an argument that the transition is displacive with a true symmetry plane above the Curie point. In the far infrared, molecular librations are observed around 200 cm-1 and translations around 40 cm-1. These give broad lines at room temperature, especially in the reflection spectra, showing that there is considerable damping. At low temperature they are split into sharp lines. Their positions are not very temperature sensitive, and none of them has a temperature dependent frequency v ∝ (T — Tc)½ expected for a Cochran's mode. The crystal becomes more transparent in the very far infrared (38 to 5 cm-1) . When the absorption is correlated with the high static dielectric constant using Kramers-Kronig relations it is found to be at so low a frequency (the maximum is at 10-5 cm-1 at room temperature) that only very little absorption is necessary to account for the high static dielectric constant. Thus we have shown that the ferroelectric transition in TGS does not look like an orderdisorder transition. On the other hand, nor is the ferroelectricity associated with a low frequency mode of vibration of the lattice. The optical constants are given for the whole infrared range and may be useful for further experiments.Le spectre infrarouge de plusieurs lames de TGS d'orientations différentes est étudié de 1 à 2 000 microns en transmission et en réflexion. On observe la dispersion des lignes neutres d'une lame perpendiculaire à l'axe pyroélectrique C2. Entre le visible et l'infrarouge lointain (337 microns), la rotation atteint 16°. De nombreuses vibrations internes sont observées dans l'infrarouge proche et moyen avec des fréquences supérieures à 500 cm-1. Une seule de ces bandes, située à 575 cm-1, disparaît au-dessus du point de Curie. On observe un effet identique avec TGSe à 312 cm-1. Cela apporte un argument à l'hypothèse que la transition est « displacive » avec un véritable plan de symétrie au-dessus du point de Curie. Il ne s'agirait donc pas d'une transition ordre-désordre comme certains l'avaient pensé. Dans l'infrarouge lointain, des librations moléculaires sont observées autour de 200 cm-1 et des vibrations de translations vers 40 cm-1. Elles donnent des bandes larges à température ordinaire, particulièrement dans le cas des spectres de réflexion, montrant un amortissement considérable ; à basse température, elles se résolvent en plusieurs composantes. La position de ces raies n'est pas très sensible à la température, et aucune n'a montré la proportionnalité à (T — Tc) ½ que l'on attendrait pour un mode ferroélectrique. La transparence du cristal dans l'infrarouge lointain augmente entre 38 et 5 cm-1, et ce n'est que dans le domaine des fréquences radioélectriques qu'on peut trouver par les relations de Kramers-Kronig l'absorption associée à la constante diélectrique statique. Elle est donc située à une fréquence si basse (le maximum d'absorption se trouve à 10-5 cm-1 à la température ordinaire) qu'une absorption faible suffit pour expliquer la grande constante diélectrique statique. Nous avons donc montré, d'une part que la transition de TGS au point de Curie ne semble pas du type ordre-désordre, et d'autre part que la ferroélectricité n'est pas associée ici à un mode de vibration de basse fréquence du réseau. Les constantes optiques sont données pour tout l'infrarouge et pourront être utiles dans des expériences ultérieures

    A walkthrough of the emerging IoT paradigm: Visualizing inside functionalities, key features, and open issues

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