60 research outputs found

    Les poissons des eaux continentales africaines : diversité, écologie, utilisation par l'homme

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    Fish fauna survey on the Upper Maroni (French Guyana) between 2000 and 2002 with some ecological considerations

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    This paper presents data collected in the Upper Maroni, French Guiana during 5 field missions from 2000 to 2002. A total of 123 known species, classified into 34 families, was captured. Fish communities sampled vary during the year depending on the season. On a daily cycle, fish composition also clearly varies, with a predominance of Siluriformes and Gymnotiformes during the night. Our results give a historical overview of the fish fauna in Upper Maroni 20 years ago. At this time, threatened fishes were already recorded due to overfishing and in certain areas, habitat alteration (turbidity and pollution)

    Synodontis ngouniensis, new species (Siluriformes: Mochokidae) from the Ngounié and Nyanga basins, Gabon and Republic of Congo.

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    Synodontis ngouniensis, new species, is described. It is endemic to the Ngounié River (Ogooué River basin) and the Nyanga River basin. It is distinguished from all other Synodontis species of the Lower Guinea Ichthyofaunal Province by: a dorsal spine with a smooth anterior margin except for the presence of 1-4 feeble serrations on the distal part; a maxillary barbel with a smooth membrane, which is proximally at least as broad as the barbel thread and situated on the posterior basal two third of the barbel; 12-19 mandibular teeth; 10-13 gill rakers on the ceratobranchial of the first branchial arch; a triangular humeral process, and a striking colour pattern of black overall background colour with irregular whitish lines and dots

    Vingt Ans de Lutte contre l’Onchocercose : Bilan Écologique

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    Maladie largement répandue en Afrique intertropicale l’onchocercose est un fléau, tant social qu’économique, qui provoque, à son stade ultime, une cécité irréversible. Avant l’instauration des premières mesures de lutte anti-vectorielle, on estimait à près de trois millions le nombre d’onchocerquiens en Afrique occidentale. La maladie est transmise par un petit moucheron Diptère, Simulium damnosum, qui présente une phase larvaire et nymphale aquatique. Ce sont les gîtes larvaires de ce vecteur, biefs à courant rapide des rivières, que le Programme de Lutte contre l’Onchocercose en Afrique de l’Ouest (OCP : Onchocerciasis Control Programme) traite lors ses campagnes de lutte. Comme toute lutte insecticide OCP représente une menace importante pour l’environnement. C’est pourquoi le programme s’est doté d’un réseau de surveillance des écosystèmes aquatiques, couvrant l’ensemble de la zone exposée aux épandages d’insecticides. Au total, près de dix équipes de chercheurs ichtyologues et entomologistes, de nationalités diverses, ont durant vingt ans effectué une surveillance régulière de la faune aquatique susceptible d’être atteinte par les traitements larvicides. C’est la première fois au monde qu’une telle entreprise a été mise en place sur une si grande échelle d’espace et de temps. Sont exposées ici les conclusions du bilan écologique.À l’état naturel, les communautés d’invertébrés aquatiques de la zone sont essentiellement composées de “collecteurs moissonneurs” et de “collecteurs filtreurs”. Après 20 années d’épandages insecticides, la tendance générale montre que les populations de “collecteurs” sont toujours affectées par les traitements larvicides, mais que le stress est différent en fonction des insecticides employés. Après arrêt des traitements insecticides, il y a de façon générale un retour à une structure communautaire sensiblement identique à celle observée avant les premiers épandages.L’ensemble des paramètres étudiés, qu’ils concernent la richesse et la structure des communautés de poissons ou la biologie des espèces ne montrent pas d’effets décelables de vingt années d’épandages dans les rivières traitées. En revanche, les variations observées montrent que des facteurs d’origine naturelle (hydrologie, saisons…) ou anthropique (barrages), peuvent avoir une influence particulière sur les peuplements de poissons. Ces facteurs semblent avoir une pression d’autant plus importante qu’ils se produisent en synergie. Dans un souci d’économie, mais aussi d’un point de vue éthique, vis-à-vis de l’environnement, OCP limite ses épandages d’insecticides aux seuls gîtes productifs en larves de S. damnosum. De ce fait, par rapport aux milliers de kilomètres de rivières qui auraient pu théoriquement être traitées, beaucoup ne le furent que rarement, voire parfois jamais. Ainsi subsistent de vastes zones refuges qui peuvent servir de réservoir potentiel et permettent en cas d’arrêt des traitements une recolonisation des biefs par la faune.La conclusion générale rassurante du suivi de 20 années de surveillance écologique de la faune non-cible est qu’il n’y a jamais eu d’effets drastiques du fait des larvicides employés même lorsque les peuplements, notamment les invertébrés, ont subi des cycles de traitements longs et-ou d’assez forte toxicité. Il faut, à cet égard, tenir compte de l’attention particulière qui a été accordée, par les instances opérationnelles d’OCP, aux recommandations du Groupe Écologique, même si ce suivi scrupuleux a pu, parfois, limiter l’efficacité de la lutte proprement dite contre les simulies

    Piranhas enivrés : des poissons et des hommes en Guyane

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